dela loi. Codification. Rapports annuels de la Commission supĂ©rieure de codification; Tables de concordance; LĂ©gislatif et rĂ©glementaire. Dossiers lĂ©gislatifs; Etudes d'impact des lois; Les avis du Conseil d'État rendus sur les projets de loi; Application des lois; Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s; Statistiques de la

Art. 18-1, Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis Pendant le dĂ©lai s'Ă©coulant entre la convocation de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale appelĂ©e Ă  connaĂźtre des comptes et la tenue de celle-ci, les piĂšces justificatives des charges de copropriĂ©tĂ©, notamment les factures, les contrats de fourniture et d'exploitation en cours et leurs avenants, la quantitĂ© consommĂ©e et le prix unitaire ou forfaitaire de chacune des catĂ©gories de charges, ainsi que, le cas Ă©chĂ©ant, une note d'information sur les modalitĂ©s de calcul des charges de chauffage, de refroidissement et de production d'eau chaude sanitaire collectifs, sont tenues Ă  la disposition de tous les copropriĂ©taires par le syndic, selon des modalitĂ©s prĂ©cisĂ©es par dĂ©cret en Conseil d'Etat. Les versions de ce document 18-1 modifiĂ©, en vigueur du 24 juillet 1994 au 27 mars 2014 Voir 18-1 modifiĂ©, en vigueur du 27 mars 2014 au 25 octobre 2020 Voir 18-1 cette version en vigueur depuis le 25 octobre 2020 Comparer les textes Revues liĂ©es Ă  ce document Ouvrages liĂ©s Ă  ce document ArrĂȘtĂ©sroyaux du 12.5.2014 erportant exĂ© ution de l’arti le 2, par. 1, 1°, alinĂ©a 6, de la loi du 2 avril 1965 relative Ă  la prise en harge des se ours a ordĂ©s par les entres pu li s d’aide so iale (M.. 17.6.2014) (Inforum n° 284562). Article 1er. - L’arti le 2, par. 1er, 1° de la loi du 2 avril 1965 relative Ă  la prise en Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expĂ©rience sur notre site. Si vous continuez Ă  utiliser ce dernier, nous considĂ©rerons que vous acceptez l'utilisation des policy Laloi du 25 mars 2009 a créé l'article 18-1 A de la loi du 10 juillet 1965 dont les dispositions s'appliquent depuis le 28 mars 2009 bien entendu aux contrats de syndic conclus postĂ©rieurement Ă  cette date, mais Ă©galement Ă  tous les contrats de syndic en cours Ă  cette date, prĂ©valant sur toutes dispositions contractuelles antĂ©rieures. Aucun contrat de syndic "Vu les articles 24, 25 c et 25-1 de la loi du 10 juillet 1965, ensemble l'article 19 du dĂ©cret du 17 mars 1967 ; Attendu, selon ces textes, que, lorsque l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires n'a pas dĂ©cidĂ© Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires et que le projet n'a pas recueilli au moins le tiers des voix, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale peut statuer Ă  la majoritĂ© prĂ©vue Ă  l'article 24 de la loi du 10 juillet 1965 ; Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ© Montpellier, 30 dĂ©cembre 2014, que, l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires de la rĂ©sidence Les Portes du Soleil du 31 mars 2011 n'ayant pas votĂ© le projet de rĂ©solution relatif Ă  la dĂ©signation du syndic en raison de l'insuffisance de copropriĂ©taires prĂ©sents, une seconde assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, convoquĂ©e le 27 juin 2011 en application de l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965, a adoptĂ© une rĂ©solution dĂ©signant le syndic et approuvant les conditions de son contrat ; que M. X... a assignĂ© le syndicat des copropriĂ©taires en annulation de cette dĂ©cision ; Attendu que, pour rejeter la demande, l'arrĂȘt retient que le contrat prĂ©sentĂ© Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ne comporte pas de modification substantielle par rapport Ă  celui prĂ©sentĂ© Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 31 mars 2011 et que les modifications vont dans un sens favorable au syndicat ; Qu'en statuant ainsi, alors que le projet de dĂ©libĂ©ration soumis Ă  la seconde assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale statuant en application de l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 doit ĂȘtre identique Ă  celui sur lequel l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale n'a pas statuĂ© Ă  la majoritĂ© de l'article 25, la cour d'appel a violĂ© les textes susvisĂ©s ; PAR CES MOTIFS CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrĂȘt rendu le 30 dĂ©cembre 2014, entre les parties, par la cour d'appel de Montpellier ; remet, en consĂ©quence, la cause et les parties dans l'Ă©tat oĂč elles se trouvaient avant ledit arrĂȘt et, pour ĂȘtre fait droit, les renvoie devant la cour d'appel d'Aix-en-Provence ; Condamne le syndicat des copropriĂ©taires rĂ©sidence Les Portes du Soleil aux dĂ©pens ; Vu l'article 700 du code de procĂ©dure civile, rejette la demande du syndicat des copropriĂ©taires rĂ©sidence Les Portes du Soleil et le condamne Ă  payer Ă  M. X... la somme de 3 000 euros ; Dit que sur les diligences du procureur gĂ©nĂ©ral prĂšs la Cour de cassation, le prĂ©sent arrĂȘt sera transmis pour ĂȘtre transcrit en marge ou Ă  la suite de l'arrĂȘt cassĂ© ; Ainsi fait et jugĂ© par la Cour de cassation, troisiĂšme chambre civile, et prononcĂ© par le prĂ©sident en son audience publique du douze mai deux mille seize. MOYEN ANNEXE au prĂ©sent arrĂȘt Moyen produit par Me Haas, avocat aux Conseils, pour M. X.... Il est fait grief Ă  l'arrĂȘt attaquĂ© D'AVOIR dĂ©boutĂ© M. X... de sa demande en nullitĂ© de la rĂ©solution n° 2 de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ; AUX MOTIFS PROPRES QUE le projet de contrat joint au projet de rĂ©solution n° 6 prĂ©sentĂ© lors de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ne comportait pas de modification substantielle, la sociĂ©tĂ© candidate aux fonctions de syndic ayant, pour l'essentiel, rĂ©duit Ă  la baisse ses tarifs, Ă©tendu ses prestations, aucun texte d'ordre public ne sanctionnant de nullitĂ© une telle modification qui va dans un sens favorable au syndicat des copropriĂ©taires et donc, Ă  chaque copropriĂ©taire ; qu'en toute hypothĂšse, le principe mĂȘme de la dĂ©signation et l'approbation du contrat ont Ă©tĂ© votĂ©s Ă  la majoritĂ© de l'article 25 ; ET AUX MOTIFS ADOPTÉS QU'aux termes des articles 25 c et 25-1, alinĂ©a 2, de la loi du 10 juillet 1965 ne sont adoptĂ©es qu'Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires les dĂ©cisions concernant la dĂ©signation ou la rĂ©vocation du ou des syndics et des membres du conseil syndical et que lorsque le projet n'a pas recueilli au moins le tiers des voix de tous les copropriĂ©taires, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, si elle est convoquĂ©e dans le dĂ©lai maximal de trois mois, peut statuer Ă  la majoritĂ© de l'article 24, Ă  savoir celle des voix exprimĂ©es des copropriĂ©taires prĂ©sents ou reprĂ©sentĂ©s ; qu'en l'occurrence, la convocation Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 31 mars 2011 dĂ©finit l'objet de la dĂ©libĂ©ration comme Ă©tant l'Ă©lection du syndic, dĂ©finition de la durĂ©e et approbation du contrat » et propose de dĂ©signer la Sarl CL Conseils pour une durĂ©e de trois ans et d'approuver les conditions du contrat de syndic joint Ă  la convocation ; que la convocation Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 rĂ©solution n° 2 est rĂ©digĂ©e en des termes identiques ; qu'il ne peut donc ĂȘtre soutenu que n'a pas Ă©tĂ© soumis Ă  un second vote le projet prĂ©cĂ©dent alors qu'ont Ă©tĂ© respectĂ©es les formalitĂ©s substantielles de l'article 19 du dĂ©cret du 17 mars 1967 qui imposent de soumettre Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale un projet de contrat pour dĂ©terminer les conditions de la mission du syndic, Ă  savoir essentiellement la dĂ©finition de ses attributions et fixer le montant de ses honoraires sans que les modifications apportĂ©es entre temps au contrat par le syndic et qui vont dans le sens d'une offre plus avantageuse puissent conduire Ă  retenir qu'il s'agirait d'un nouveau projet de rĂ©solution au sens des dispositions rappelĂ©es ci-dessus ; qu'en tout Ă©tat de cause, la contestation est totalement vaine pour cette raison que cette seconde dĂ©libĂ©ration a Ă©tĂ© prise Ă  la majoritĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires puisqu'elle a rĂ©uni 535 tantiĂšmes sur dĂšs lors que, comme l'indique exactement M. X..., la copropriĂ©tĂ© est divisĂ©e en tantiĂšmes, alors qu'il ne peut feindre d'ignorer que les 635 tantiĂšmes mentionnĂ©s correspondent Ă  ceux dĂ©tenus par les 27 copropriĂ©taires prĂ©sents ou reprĂ©sentĂ©s Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011 ; ALORS, 1° QUE si l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 prĂ©voit que lorsqu'une dĂ©cision devant, en principe, ĂȘtre prise Ă  la majoritĂ© des tous les copropriĂ©taires, n'a pas recueilli cette majoritĂ© lors d'une premiĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, une nouvelle assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, si elle est convoquĂ©e dans le dĂ©lai maximal de trois mois, peut statuer Ă  la majoritĂ© de l'article 24, son application suppose que la dĂ©cision ait Ă©tĂ© soumise Ă  un vote lors de la premiĂšre assemblĂ©e ; qu'en validant la dĂ©libĂ©ration n° 2 de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011, portant dĂ©signation du syndic, prise Ă  la majoritĂ© de l'article de la loi du 10 juillet 1965, cependant que cette dĂ©libĂ©ration n'avait Ă©tĂ© soumise Ă  aucun vote lors de la prĂ©cĂ©dente assemblĂ©e prĂ©cĂ©dente du 31 mars 2011, la cour d'appel a violĂ© les articles 24, 25 c et 25-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 ; ALORS, 2° et en tout Ă©tat de cause, QUE le recours Ă  l'article 25-1 de la loi du 10 juillet 1965 suppose que le projet de dĂ©libĂ©ration soumis Ă  la seconde assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale soit le mĂȘme que celui qui n'a pas recueilli, lors de la premiĂšre assemblĂ©e, la majoritĂ© de tous les copropriĂ©taires ; qu'en considĂ©rant que si les deux projets de contrats de syndic successivement proposĂ©s au vote des copropriĂ©taires comportaient des diffĂ©rences, celles-ci n'emportaient pas de modification substantielle et Ă©taient plus avantageuses pour les copropriĂ©taires, aprĂšs avoir pourtant relevĂ© ces diffĂ©rences portaient notamment sur la durĂ©e du contrat et sur la rĂ©munĂ©ration du syndic, ce dont il rĂ©sultait qu'elles portaient sur des Ă©lĂ©ments essentiels du contrat et qu'il importait, peu dans ces conditions, que les nouvelles conditions soient plus avantageuses pour les copropriĂ©taires, la cour d'appel a violĂ© les articles 24, 25 c et 25-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 ; ALORS, 3°, QUE la dĂ©signation du syndic et l'approbation des termes de son contrat Ă©tant indivisibles, seul un syndic dont les termes du contrat ont Ă©tĂ© approuvĂ©s Ă  la majoritĂ© de tous les copropriĂ©taires est valablement dĂ©signĂ© ; qu'en considĂ©rant que lors de l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 27 juin 2011, la dĂ©signation de la sociĂ©tĂ© CL Conseils en qualitĂ© de syndic avait recueilli la majoritĂ© des voix des copropriĂ©taires pour en dĂ©duire que cette dĂ©signation Ă©tait rĂ©guliĂšre au regard des dispositions de l'article 25 de la loi du 10 juillet 1965 sans rechercher, comme elle y avait Ă©tĂ© invitĂ©e, si la durĂ©e du contrat n'avait pas Ă©tĂ© approuvĂ©e seulement Ă  la majoritĂ© des copropriĂ©taires prĂ©sents ou reprĂ©sentĂ©s, la cour d'appel n'a pas donnĂ© de base lĂ©gale Ă  sa dĂ©cision au regard de l'article 25 c de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965." Par Christophe Buffet Avocat au barreau d'Angers Modificationde l’article 55 du dĂ©cret n°67-223 du 17 mars 1967. La loi n°65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis et son dĂ©cret d’application n°67-223 du 17 mars 1967 rĂ©gissent le fonctionnement et l’organisation des copropriĂ©tĂ©s. Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątisChronoLĂ©gi Article 48 - Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 11 juillet 1965 Naviguer dans le sommaire Article 48Version en vigueur depuis le 11 juillet 1965 Le chapitre II de la loi du 28 juin 1938 tendant Ă  rĂ©gler le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles divisĂ©s par appartement est abrogĂ©. L'article 664 du code civil demeure en haut de la page Associationloi de 1901. En droit français des associations, l'expression « association loi de 1901 » dĂ©signe une association Ă  but non lucratif qui relĂšve de la loi du 1er juillet 1901 1 et du dĂ©cret
ASSOCIATION SOUPIR STATUTS ARTICLE 1 - CONSTITUTION ET DENOMINATION Il est fondĂ© entre les adhĂ©rents aux prĂ©sents statuts une association rĂ©gie par la loi du 1er juillet 1901 et par le dĂ©cret du 16 aoĂ»t 1901 ayant pour dĂ©nomination STOCK SA. En cas de vacance, le conseil d'administration pourvoit provisoirement au remplacement de ses membres. Il est procĂ©dĂ© Ă  leur remplacement dĂ©finitif par la plus prochaine assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Les pouvoirs des membres ainsi Ă©lus prennent fin Ă  l'Ă©poque oĂč devrait normalement expirer le mandat des membres remplacĂ©s. ARTICLE 9 - REUNIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Le conseil d'administration se rĂ©unit une fois au moins tous les six mois, sur convocation du prĂ©sident, ou sur la demande de la majoritĂ©... Article 32 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire fonds, car it faut, des l'ou- verture du chantier, ver- ser des acomptes aux entreprises. Les copro- prietaires ne peuvent se soustraire au paiement de ces appels de fonds. Ce- pendant, ils ont inter& a debattre et a fixer, lors de l'assemblee generale, la date et le montant de ces appels. Lorsque des tra- le syndic peut engager des depenses importantes sans demander 'accord de l'as- semblee generale. II dolt cependant consulter le conseil syndical. Quant l'appel de fonds, it ne peut depasser l... Article code civil ModifiĂ© par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970 ModifiĂ© par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 Créé par Loi 1803-03-08 promulguĂ©e le 18 mars 1803 ModifiĂ© par Loi 1927-08-10 art. 13 Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Les juges peuvent, sans prĂ©judice de la rĂ©paration du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que sĂ©questre, saisie et autres, propres Ă  empĂȘcher ou faire cesser une atteinte Ă  l'intimitĂ© de la vie privĂ©e ces mes... Article code civil ModifiĂ© par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970 ModifiĂ© par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 Créé par Loi 1803-03-08 promulguĂ©e le 18 mars 1803 ModifiĂ© par Loi 1927-08-10 art. 13 Chacun a droit au respect de sa vie privĂ©e. Les juges peuvent, sans prĂ©judice de la rĂ©paration du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que sĂ©questre, saisie et autres, propres Ă  empĂȘcher ou faire cesser une atteinte Ă  l'intimitĂ© de la vie privĂ©e ces m... Loi du 6 juillet 1989, article 17 c commentaire puisqu'il ne prend en consideration ni le prix des terrains ni celui de 'habitat recent et ancien. Renouvellement du bail A la fin du bail, au moment de sa reconduc- tion, le loyer est, en regle generale, seulement revise en fonction de l'indice du coat de la construction, comme chaque armee. Dans le cas oti le pro- prietaire souhaite une re- evaluation plus importante, it doff respecter toute une procedure. Si le locataire accepte, eventuellement apres arbitrage d' une com- mission de concil... Article 10 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire type de charges est que, contrairement aux charges precedentes, la repartition ne se fait pas en fonction des milliemes mais de l'uti- lite que represente chaque service collectif ou ele- ment d'equipement com- mun pour chaque lot. Charges d'ascenseur it est constant d'admettre qu'un appartement situe au rez- de-chaussee doitetre dispense de payer les charges d'ascenseur dans la mesure cependant oti l'ascenseur ne dessert pas egalement un sous-sol abritant des caves ou un parking qu'utilise le... Article 21 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire reunir la majorite des voix de tous les coproprietaires. Le role du conseil syndical II assiste le syn- dic dans ses peut saisir le syndic si une question lui parait impor- tante panne d'ascenseur, violation du reglement inte- rieur. Le syndic dolt le consulter pour les ques- tions diverses concemant la gestion de la copropriete. Le conseil syndical par- ticipe egalement a la preparation de l'assem- blee generale annuelle. II donne aussi son avis sur les devis, marches et contra... dissertation sur le dopage Article 42 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire recettes et depenses, etat des dettes et des creances, situation de tresorerie, budget previsionnel ; - l'assemblee s'est pronon- cee sur une question qui n'etait pas inscrite a rordre du jour ou mal formulee ; - Ia question n'a pas ete votee a Ia majoHte. L'annulation de toutes les decisions de l'assemblee Les coproprietaires peuvent demander l'annulation de toute l'assemblee generale dans les cas suivants - la convocation n'a pas ete redigee dans les formes prescrites ; - I'ordre du jour n... Article 24 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire Les limites aux ini- tiatives du syndic Le syndic dolt obligatoirement consulter le conseil syndical des que le prix des travaux depasse un certain montant. L'assemblee generale peut attribuer au conseil syndical la mission de selectionner l'entreprise a qui sera confiee la realisation des travaux. Lorsqu'il estime que le prix demands par 'entrepre- neur est trop sieve, le conseil syndical peut de- mander a d'autres profes- sionnels d'etablir de nou- veaux devis. Le prix des travaux Les cop... Dissertation citation La rĂšgle de l'article 1134 Code civil est la consĂ©quence de l'autonomie de la volontĂ© la volontĂ© est toute puissante ; elle engage l'individu Ă  l'Ă©gal de la loi » Nous etudierons dans un premier temps l’influence que possĂšde l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil I puis il s’en suivra une Ă©tude sur le dĂ©clin croissant de l’autonomie de la volontĂ© dans le contrat II. I- L’influence de l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil Ce qui peut contribuer Ă  l’influence de l’autonomie de la volontĂ© sur le Code civil est en premier l’accord des volontĂ©s ce qui est l’élĂ©ment essentiel du contrat A mais Ă©galement la libertĂ© contractuelle du c... Article 8 delĂ  loi du 10 juillet 1965 commentaire de service en appartement constitue ce qu'on appelle un changement d'affecta- tion d'un local prive. Les travaux pourront etre realises sans avoir demander l'autorisation de l'assemblee generale dans les cas suivants - le reglement de copro- priete a prevu de telles transformations ; - la chambre de service etait dĂ©jĂ  utilisee comme appartement ; - les travaux de transforma- tion ne contreviennent pas A la destination de I'im- meuble et ne nuisent pas aux autres coproprietaires. II resulte de... Titre» le PrĂ©fet, Nous avons l'honneur, conformĂ©ment aux dispositions de l'article 5 de la loi du 1er juillet 1901 et de l'article 1er du dĂ©cret d'application du 16 aoĂ»t 1901 de procĂ©der Ă  la dĂ©claration de l'association STOCK SA. Article 4 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire - les passages et les corri- dors. Le reglement de copropriete II precise les conditions d'utilisation des lots, les regles de fonc- tionnement et les pou- voirs de l'assemblee ge- nerale, les modalites de fonctionnement du conseil syndical. Tout reglement de copro- priete doit faire l'objet dune publication au fichier immobilier. Ce fichier est conserve et tenu a jour par le bureau de conservation des hypo- theques du lieu de la situa- tion de l'immeuble. L'assemblee gene- rale Composee de... La responsabilitĂ© du gouvernement devant le Parlement depuis la loi constitutionnelle du 23 juillet 2008 » droit Cette rĂ©forme a voulu corriger les erreurs du passĂ©. Pour cela, il convenait alors d'appuyer sur un point important dans l'Ă©quilibre des pouvoirs la responsabilitĂ© dugouvernement. A Un exĂ©cutif plus encadrĂ© par le Parlement Et c'est sur ce point que la rĂ©forme insiste. La rĂ©vision de l’article 34/1 de 2008 apporte une nouveautĂ© elle permet aux assemblĂ©e parlementaire de voter desrĂ©solutions, mais pour Ă©viter les dĂ©rives qui s’étaient produites sous la 3e et la 4e RĂ©publique, la reforme a en... LOI no 2001-434 du 21 mai 2001 tendant Ă  la pr?judice des dates comm?moratives propres ? chacun des d?partements d'outre-mer. Article 4 Le dernier alin?a de l'article unique de la loi no 83-550 du 30 juin 1983 relative ? la comm?moration de l'abolition de l'esclavage est remplac? par trois alin?as ainsi r?dig?s ??Un d?cret fixe la date de la comm?moration pour chacune des collectivit?s territoriales vis?es ci-dessus ; ??En France m?tropolitaine, la date de la comm?moration annuelle de l'abolition de l'esclavage est fix?e par le Gouvern... Droit commercial Article 6 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire permet de constater que les travaux ont ete ache- ves conformement au projet initial. La reception peut etre amiable ou judiciaire. La reception amiable le constructeur informe son client que les travaux sont acheves et fixe une date a laquelle la recep- tion pourra avoir lieu. Au cours de la visite, l'ac- quereur note tous les &- farts et non-conformites qu'il a constates et consigne ces remarques par ecrit. A l'issue de la visite, l'acquereur peut sort accepter l'ouvrage, avec ou sans reserv... Article 18 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire engagee. II peut s'agir, par exemple, du refus d'ins- crire des questions sup- plementaires a l'ordre du jour de rassemblee, du retard a contacter des en- treprises pour realiser des travaux urgents, de sa ne- gligence concemant la re- pression des infractions au reglement de copropriete commises par des occu- pants occasionnant un trouble. Le non-recouvre- ment des charges II appartient au syndic de recouvrer les charges au- pres des coproprietaires. S'il tarde deliberement ou exagerement a l... Article 18 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire 10 % du coot reel des tra- vaux. Ces travaux doivent remplirtrois conditions - leur montant doit etre au moins egal a la demiere armee de loyer ; - it doit s'agir de travaux d'amelioration et non de simple entretien, tant dans le logement lui-meme que dans lesparties com- munes de l'immeuble si ce sont les parties com- munes d'un immeuble en copropriete, seule la quote-part a la charge du bailleur estprise en compte ; - ils doivent avoir ete rea- lises au cours du bail initial ou depuis son... Article 8 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire Le montant du sous-loyer II est fixe, en fonction du loyer principal, au prorata de la superficie des locaux sous-loues. De surcrolt, le locataire devra, comme le locataire princi- pal, payer une part pro- portionnelle des charges. La sous-location ne doit pas donner lieu a une ma- joration de loyer dans les cas suivants - vous occupez suffisam- ment les locaux ; - vous etes age de plus de 70 ans ; - vous etes grand invalide de guerre ou invalide civil a 80 %; - vous sous-louez partiel- leme... Article 22 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire peut tirer profit de la somme qu'il detient. La restitution A la fin du bail, le proprietaire doit restituer au locataire le depot de garantie dans un Mai maximum de 2 mois suivant la remise des cies. Au-dela de ce delai, le depot produit in- teret au taux legal au pro- fit du locataire. Toutefois, le locataire attendra sou- vent le reglement des charges de copropriete de I'immeuble pour que son compte soit sold& En cas d'abus, it pourra se retour- ner contre le bailleur. Le proprietaire peut... Fiche droit administratif Exemple le plus connu arrĂȘt du 3 fĂ©vrier 1978 CFDT et CGT . relatif aux contraventions comportant des peines privatives de libertĂ©. CE voulait crĂ©er ces contraventions, tandis que le CC°L avait rejetĂ© la possibilitĂ© d'Ă©dicter par voie rĂ©glementaire des contraventions comprenant des peines d' il faut une loi pour prĂ©voir un emprisonnement et pas une mesure rĂ©glementaire, -malgrĂ© l'article 62 de la constitution en vertu duquel les dĂ©cisions du CC°L s'impose aux pouvoir... Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire - les parties de canalisa- tions propres a l'usage du local, a 'exclusion de 'installation du chauffage central ; - les installations sanitai- res ; - les installations de la cui- sine evier ; - les placards et pende- ries ; - l'encadrement et, le cas echeant, les dessus de cheminees. Les parties privatives sont la propriete exclusive de chaque proprietaire. Les cloisons separatives d'ap- partement, les separations des caves et garages sont mitoyennes entre les co- proprietaires voisins...»... Insanity planning Loi du 10 juillet 1965, article 3 commentaire Article de la loi du 10 juillet 1965 commentaire gistes entrainent des coUts trop eleves pour la copropriete, l'assemblee generale peut imposer au syndic de lancer de nou- veaux appels d'offres afin de selectionner les presta- taires proposant les prix les plus competitifs. Rene- gocier les contrats peut aussi permettre aux occu- pants de realiser de sub- stantielles economies. La repartition ille- gale Si un coproprietaire conteste le pdncipe merne de larepartition descharges par l'assemblee generale, ou s'il pretend que la majorite necess... Article 4 de la loi du 13 juillet 1979 commentaire Le Toyer Les plafonds de loyer sont fixes a 55 F/m2 par mois en Ile- de-France eta 45 F/m2 par mois dans les autres regions. Le loyer s'etablira en fonction des reve- nus du futur locataire et de sa situation familiale. Exemples - En Ile-de-France un ce- libataire paiera un loyer de 2 150 F pour un revenu mensuel de 12 000 F. Un couple avec deux enfants dont les deux conjoints travaillent paiera un loyer de 4 850 F pour des reve- nus mensuels de 25 000 F ; - Dans les autres regions un cel... Quintessence d'Alcools de Guillaume Apollinaire TD n°5 DISSERTATION Sujet La place de la loi dans la hiĂ©rarchie des normes. Dissertation L’ouverture du mariage aux couples homosexuels constitue-t-elle une Ă©volution ou une rĂ©volution ? ans, on passe d’une unique forme d’union a une plus grande diversitĂ©. Nous pouvons remarque qu’entre mariage, pacs et concubinage, les frontiĂšres s’estompent peu Ă  peu, pour faire ressortir un droit commun du couple ». Les rĂ©formes du droit de la famille ont adaptĂ© la loi civile aux changements des mƓurs. Ces Ă©volutions n’ont pas toujours plus Ă  tout le monde ni su convaincre la majoritĂ©. Des personnes demeurent trĂšs conservatrices, ou ont des opi... dissertation Sujet 1 CORRIGÉ 1. Dans ce texte, il s’agit pour Hobbes de dĂ©terminer ce que doit ĂȘtre une loi pour ĂȘtre une bonne loi. L’idĂ©e a pour elle la simplicitĂ© de l’évidence une bonne loi, c’est une loi qui satisfait aux exigences de ce qu’une loi doit ĂȘtre, c’est-Ă -dire qui en remplit la ïŹnalitĂ©. De mĂȘme que la maniĂšre la plus simple de dĂ©ïŹnir un marteau, c’est encore de dire qu’il s’agit d’un outil destinĂ© Ă  enfoncer des clous, de mĂȘme ici Hobbes entend dĂ©ïŹnir la loi par le but qui est le sien ; or... Article 5 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire jouissance des lieux ainsi que ses obligations paie- ment des charges recupe- rabies dependent en grande partie du regle- ment de copropriete. Le bailleur est tenu de corn- muniquer au locataire les extraits de ce reglement concernant la destination de l'immeuble, la jouis- sance et 'usage des parties privatives et communes. Le locataire doit aussi etre informe sur la quote-part de charges qu'il doit ac- quitter en plus de son loyer. Les references de loyer Le bailleur doit joindre ces ref... UNIVERSITE MONTESQUIEU - BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE DE DROIT E. Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire La decision de l'as- semblee generale Le projet de travaux doff etre approuve a la majorite des voix de tous les copro- prietaires presents ou re- presentes. Si la decision n'a pu etre votee, l'assemblee generale pourra se reunir une seconde fois pour sta- tuer sur ce point Et cette fois la majorite simple des coproprietaires pourra l'emporter. Criteres retenus L'assemblee generale se prononce en fonction de plusieurs criteres le pro- jet va-t-il contrarier la vocation initiale de l'im- me... Cours de droit Constitutionnel LA LOI D'ORIENTATION DU 10 JUILLET 1989 Fiche synthĂšse construite par Sylvain sylvain. professionnelles et 80 % au niveau du baccalaurĂ©at ». Il s'agit d'Ă©lever le niveau gĂ©nĂ©ral de formation de tous les jeunes. NouveautĂ©s introduites par la loi ‱ L'organisation de la scolaritĂ© en cycles 3 cycles, de la maternelle au CM2. =prendre en compte les diffĂ©rents rythmes d’apprentissage des Ă©lĂšves. Ils assurent la continu itĂ© des apprentissages. Le cycle des apprentissages premiers cycle 1 se d Ă©roule Ă  l’école maternelle, de la PS Ă  la GS. Le cycle des apprent issages fo... Article 1er de la loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 commentaire II est interdit d'intercepter, de detourner, de detruire ou de prendre connais- sance de mauvaise foi d'une correspondance privee. Cette interdiction porte sur les correspon- dances &rites, arrivees a destination ou non, et toutes les correspon- dances transmises par vole de telecommunication ecoutes telephoniques sauvages ». Les peines encourues sont de I an d'emprisonnement et 300 000 F d'amende ; - une reglementation particuliere vise toutes les personnes investies dune mission de service... Loi 91-647 de la loi du 10 juillet 1991 commentaire gralement pHs en charge. En cas d'aide partielle, l'avocat est en partie in- demnise par l'Etat et peut demander a son client un honoraire complemen- taire librement fixe, mais proportionnel aux possi- bikes de son client Demande Presenter un dossier retire en mairie ou dans les bureaux d'ac- cueil des tribunaux, avant ou pendant le proces, au bureau d'aide juridiction- nelle du tribunal de grande instance du domicile du demandeur ou du ressort dans lequel l'affaire dolt etre jugee. En cas de... dissertation la loi dans la DDHC la dĂ©claration des droits de l'homme et du citoyen ? Son impact est tr Ăšs important, c'est la raison pour laquelle nous allons l'etudier a travers les objectifs de la loi I, ainsi que sa pr Ă©sence qui se g Ă©nĂ©ralise II I les objectifs de la loi dans la DDHC La d Ă©claration des droits de l'homme et du citoyen se veux pr Ă©curseur du fondement du nouveau r Ă©gime, l'application de la loi permet de faire une v Ă©ritable rupture avec l'ancien r Ă©gime A, et d'etre aussi la base d'u... La loi est-elle l'expression de la volontĂ© gĂ©nĂ©rale sous la Veme RĂ©publique ? des constituants ou du peuple. Notre bicamĂ©risme est inĂ©galitaire. Le SĂ©nat n'est pourtant pas qu'une pĂąle copie del'AssemblĂ©e. Il est investi d'une fonction spĂ©cifique de reprĂ©sentation des collectivitĂ©s territoriales, comme stipulĂ©dans l'article 24, et tout projet de loi ayant pour principal objet l'organisation des collectivitĂ©s territoriales »doivent dĂ©sormais ĂȘtre soumis en premier lieu au SĂ©nat, selon l'article Cette fonction s'illustre Ă©galement Ă travers son mode d'Ă©lection.... Le pouvoir exĂ©cutif et le pouvoir lĂ©gislatif sous la Restauration et la Monarchie de Juillet question des rapports entre les ministres et le pouvoir lĂ©gislatif. L’article 13 de la Charte de 1814 stipule Lapersonne du roi est inviolable et sacrĂ©e. Ses ministres sont responsables. [
] ». L’article 55 prĂ©cise que lesministres ont une responsabilitĂ© pĂ©nale La Chambre des dĂ©putĂ©s a la droit d’accuser les ministres, et de lestraduire devant la Chambre des paire qui seule a celui de les juger. ». Mais qu’en est-il de la responsabilitĂ©politique ? La Charte n’apport... Dissertation en droit administratif La supĂ©rioritĂ© du droit international et communautaire sur la loi. A. Affirmation de la supĂ©rioritĂ© du droit international et communautaire sur la loi par la reconnaissance du contrĂŽle de conventionalitĂ© induisant un rapporthiĂ©rarchique entre les deux Le Conseil constitutionnel ayant donnĂ© en aval la possibilitĂ© aux juridictions ordinaires » d'effectuer un contrĂŽle de conventionalitĂ© des lois par voie d'exceptions,celles-ci s'empressĂšrent de l' Cour de cassation avec l'arrĂȘt SociĂ©tĂ© des CafĂ©s Jacques Vabre rendu en chambre mixte le 24 mai 1975, fut... Article 2 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire Article 21 de la loi du 6 juillet 1989 commentaire Les recours judi- ciaires Ce sont - La resolution devant le tribunal si le bail n'a pas prevu de clause reso- lutoire, le bailleur peut s'adresser au juge du tribu- nal d' le dossier des deux parties, et, le cas echeant, pronon- cera la resolution judi- ciaire. - L'expulsion lorsque le locataire a regu un cone pour non-paiement du loyer ou des charges et qu'il refuse de quitter les lieux, le proprietaire est en droit d'entamer une pro- cedure d'expulsion. Cette mesure... Article 5 de la loi du 10 juillet 1965 commentaire En ce qui concerne les frais d'entretien des vide- ordures circulent les insectes, la gaine et le local de reception au pied de la gaine constituent des par- ties communes. Les vidoirs situ& dans les apparte- ment sont en revanche consider& comme parties privatives. Toutefois, s'il existe une Porte de vide- ordures par etage desser- vant plusieurs locaux pri- vatifs, le vidoir ainsi que le local de vide-ordures d'etage sont parties com- munes. Les depenses de repara- tion et d'entretien des par-... Article 16-11, alinĂ©a 2, du Code civil introduit par l'article 5 de la loi n° 94-653 du 29 juillet 1994 relative au respect du corps humain tout au plus tirer du refus de soumettre l'aveu de la patemite ou au moins une presomption de mauvaise foi. Quand ? II est impos- sible d'avoir recours a 'iden- tification genetique dun indi- vidu en dehors de toute procedure judiciaire. Une personne ne peut donc avoir recours a ses methodes d'identification dans la simple intention de se rassurer. Seules les actions tendant soit a l'etablissement ou la contestation d'une filia- tion, soit a l'obtention ou a L suppression de subsides voir fich... Article 2 de la loi du 6 janvier 1986 Article 20 commentaire ture, le vendeur doit vous communiquer les statuts de la societe, le reglement de l'immeuble, ainsi que le tableau d'affectation des parts. Les charges de lo- gement Les charges concemant l'entretien des parties communes hall d'entree, couloirs, installa- tions sportives sont fixees proportionnellement aux parts acquises par l'ac- quereur. Les charges concernant les services collectifs comme le chauf- fage sont calculees en fonction de l'utilite que ces services representent pour chaque lot.... RĂ©vision Consititutionnelle 1 Le Conseil constitutionnel n'a pas eu l'occasion de se prononcer sur la question de savoir si la rĂ©daction issue du 1°de l'article 4 de la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 entre en vigueur au lendemain de la publication de cette loi constitutionnelle 25 juillet 2008 ou dans les conditions fixĂ©es par le I de l'article 46 de cette mĂȘme loi constitutionnelle. 2 La loi organique n°2013-1114 du 6 dĂ©cembre 2013 portant application de l'article 11 de la Constitution et prĂ©vue Ă ... Analyse Article 314 du code civil Chapitre III des actions relatives Ă  la filiation art. 318 Ă  337 1/ dispositions gĂ©nĂ©rales 2/ des actions aux fins d'Ă©tablissement de la filiation 3/ des actions en contestation de la filiation Chapitre IV de l'action aux fins de subsides art. 342 Ă  342-8 II - Le nouveau rĂ©gime de la filiation A- Dispositions gĂ©nĂ©rales Le premier article art. 310, issu le la loi du 4 mars 2002 relative Ă  l'autoritĂ© parentale, affirme l'Ă©galitĂ© des filiations "Tous les enfants dont la filiation est...
Textes: article 10-1 de la loi du 10 juillet 1965 et article 5 du dĂ©cret du 17 mars 1967 Consultez l'article de l'INC "Etat datĂ© : un document trĂšs cher demandĂ© lors de la vente d'un lot de copropriĂ©tĂ©". 9 - LA FORMATION D'UNE OPPOSITION LORS DE LA VENTE D'UN LOT DE COPROPRIETE. Le principe. Lors de la vente d'un lot, un avis de la mutation doit ĂȘtre donnĂ© par La question d'un parlementaire La question M. Maxime Bono interroge M. le secrĂ©taire d'État auprĂšs de la ministre de l'Ă©cologie, du dĂ©veloppement durable, des transports et du logement, chargĂ© du logement, sur les modalitĂ©s d'application de l'article 20 de la loi n° 2009-323 du 25 mars 2009 portant dispositions relatives Ă  la vente de lots accessoires de stationnement insĂ©rĂ© Ă  la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis, en son article 8-1, afin de prĂ©ciser l'organisation de la copropriĂ©tĂ© le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© des immeubles dont le permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© conformĂ©ment Ă  un plan local d'urbanisme ou d'autres documents d'urbanisme imposant la rĂ©alisation d'aires de stationnement peut prĂ©voir une clause attribuant un droit de prioritĂ© aux copropriĂ©taires Ă  l'occasion de la vente de lots exclusivement Ă  usage de stationnement au sein de la copropriĂ©tĂ© ». Il lui demande de prĂ©ciser Ă  quelle majoritĂ© des voix doit ĂȘtre adoptĂ©e, en assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires, une rĂ©solution qui viserait Ă  modifier le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© conformĂ©ment aux dispositions de la loi n° 2009-323. La rĂ©ponse L'article 8-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis prĂ©voit que le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© des immeubles dont le permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© conformĂ©ment Ă  un plan local d'urbanisme ou d'autres documents d'urbanisme imposant la rĂ©alisation d'aires de stationnement peut prĂ©voir une clause attribuant un droit de prioritĂ© aux copropriĂ©taires Ă  l'occasion de la vente de lots exclusivement Ă  usage de stationnement au sein de la copropriĂ©tĂ©. Dans ce cas, le vendeur doit, prĂ©alablement Ă  la conclusion de toute vente d'un ou plusieurs lots Ă  usage de stationnement, faire connaĂźtre au syndic par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception son intention de vendre, en indiquant le prix et les conditions de la vente. Cette information est transmise sans dĂ©lai Ă  chaque copropriĂ©taire par le syndic par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception, aux frais du vendeur. Elle vaut offre de vente pendant une durĂ©e de deux mois Ă  compter de sa notification ». Si le rĂšglement de copropriĂ©tĂ© ne contient aucune clause relative au droit de prioritĂ© concernant la vente de lots exclusivement Ă  usage de stationnement et que les conditions prĂ©vues par l'article 8-1 sont remplies, l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale peut dĂ©cider de l'insertion d'une telle clause dans le rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, Ă  l'unanimitĂ© des voix de tous les copropriĂ©taires. En effet, l'article 26 de la loi de 1965 prĂ©citĂ©e dispose que l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale ne peut, Ă  quelque majoritĂ© que ce soit, imposer Ă  un copropriĂ©taire une modification Ă  la destination de ses parties privatives ou aux modalitĂ©s de leur jouissance, telles qu'elles rĂ©sultent du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© », et la clause envisagĂ©e modifie bien les modalitĂ©s de jouissance des parties privatives, puisqu'elle impose au copropriĂ©taire qui vend un lot Ă  usage exclusif de stationnement le respect du formalisme nĂ©cessaire Ă  l'exercice par les autres copropriĂ©taires de leur droit de prioritĂ©, alors qu'une telle vente est libre en l'absence de la clause instaurant le droit de prioritĂ©. En revanche, comme l'insertion d'une clause prĂ©voyant le droit de prioritĂ© n'est pas une obligation mais une simple facultĂ©, il ne peut ĂȘtre fait application, pour insĂ©rer une telle clause dans le rĂšglement de copropriĂ©tĂ©, de l'article 49 de la loi de 1965 prĂ©citĂ©e, qui permet Ă  l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de voter Ă  la majoritĂ© simple prĂ©vue Ă  l'article 24 les adaptations du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© rendues nĂ©cessaires par les modifications lĂ©gislatives et rĂ©glementaires postĂ©rieures Ă  son Ă©tablissement. cRp8m. 495 256 137 74 38 219 32 271 119

article 10 1 de la loi du 10 juillet 1965