VictorHugo. « Maman est-ce que jâai quelque chose Ă moi qui ne soit pas Ă vous ? ». Emile Zola. « Une maman câest comme du coton : elle est douce Ă lâintĂ©rieur comme Ă lâextĂ©rieur et nettoie tous les maux. Aucune mĂšre nâest dupe quand on joue faux. ». Pam Brown. « Dans les bras de sa mĂšre tout bĂ©bĂ© est beau.
Perdre sa mĂšre lorsque ce jour arrive⊠MĂȘme si votre Ăąme est incomplĂšte, continuez dâavancer et concentrez-vous sur votre bonheur, rendez votre mĂšre fiĂšre, oĂč quâelle soit. Personne nâest prĂȘt Ă perdre sa mĂšre. MĂȘme si elle est due Ă un Ă©tat prĂ©visible, comme une maladie, la perte de cette personne, notre exemple le plus important avec notre pĂšre, est quelque chose qui nous affecte profondĂ©ment et nous change Ă jamais. Le chagrin de la perte de sa mĂšre est lâune des pires douleurs que nous ressentons, parce quâelle ne cesse jamais. Quand nous devons dire au revoir Ă notre mĂšre, nous enterrons une grande partie de notre Ăąme avec elle, et la vie ne sera plus jamais la mĂȘme. Nous nâaurons plus notre meilleure amie et confidente, qui a toujours Ă©tĂ© prĂȘte Ă Ă©couter nos problĂšmes, Ă nous conseiller avec sa sagesse et Ă nous rassurer avec son amour inconditionnel. Nous devrons faire face seuls Ă certaines situations de la vie. Notre mĂšre, qui a pour beaucoup, Ă©tĂ© toujours notre modĂšle de comportement et de raison, ne sera plus lĂ pour nous guider ou pour nous protĂ©ger de toutes les personnes et situations difficiles ou qui veulent nous nuire. Il est trĂšs difficile dâaccepter de perdre sa mĂšre, dâaccepter que la personne que nous aimons le plus soit partie, sans date de retour. Câest comme si notre monde entier sâĂ©tait effondrĂ© et que rien plus rien nâavait de sens. Nous passons beaucoup de temps Ă nous lamenter, souvent incapables de vivre normalement, car nous nâavons pas Ă©tĂ© prĂ©parĂ©s Ă cette journĂ©e la plus difficile. Cependant, mĂȘme sans une partie de notre Ăąme, nous devons trouver un moyen dâavancer, de transformer cette douleur en force et en motivation, et de garder lâamour et les conseils de notre mĂšre vivants dans nos cĆurs. Depositphotos Personne ne pourra jamais prendre la place quâelle a occupĂ©e si longtemps, mais nous devons retrouver la joie au quotidien, car câest ce quâelle aurait voulu pour nous. Lorsque nous perdons notre mĂšre, une partie de nous meurt aussi, et ce nâest jamais vraiment surmontable, nous trouvons simplement un moyen de continuer Ă vivre. Nous devons remplir nos cĆurs de courage et de force, et avancer, pour nous-mĂȘmes, parce que la vie ne sâarrĂȘte pas simplement parce que nous sommes tristes et pleurons . Nous pouvons encore ĂȘtre heureux et ĂȘtre Ă©panouis, mĂȘme sans la prĂ©sence de notre mĂšre, celle qui nous a donnĂ© un amour inconditionnel. Nous devons simplement garder sa prĂ©sence vivante Ă nos cĂŽtĂ©s, honorer toutes ses leçons et nous engager Ă ĂȘtre meilleurs chaque jour, comme elle nous lâa toujours enseignĂ©. La douleur de perdre notre mĂšre ne nous quittera jamais complĂštement, mais le temps permet au chagrin de cĂ©der progressivement le pas Ă lâapprentissage et Ă cette douleur de nous rendre plus forts. MĂȘme si votre Ăąme est incomplĂšte, allez-y et concentrez-vous sur votre bonheur, rendez votre mĂšre fiĂšre, oĂč quâelle soit. Une mĂšre ne voit pas que son fils vieillit surtout si lui-mĂȘme refuse de grandir. » PoĂšme pour une maman exceptionnelle. No Comment. Un poĂšme pour ma maman â poĂ©sie pour ma mĂšre. No Comment. Citation sur les mĂšres â Citation sur les mamans. No Comment . ModĂšle de texte fĂȘte des grand-mĂšres. No Comment. LettresLE SOLEIL SâEST COUCHĂ CE SOIR DANS LES NUĂES Le soleil s'est couchĂ© ce soir dans les nuĂ©es. Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ; Puis l'aube, et ses clartĂ©s de vapeurs obstruĂ©es ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts, Sur les fleuves d'argent, sur les forĂȘts oĂč roule Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux, et le front des montagnes, RidĂ©s et non vieillis, et les bois toujours verts S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne aux mers. Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tĂȘte, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux, Je m'en irai bientĂŽt, au milieu de la fĂȘte, Sans que rien manque au monde, immense et radieux ! Victor HUGO / Les feuilles d'automne
9vWR6. 68 150 1 438 199 434 98 409 226