ass des retraites veuves et pre-retraites d f.n.r.g. arcapca la retraite sportive du centre var la meridionale amicale des retraites de casi unprg - ud 13 union des retraites des organismes sociaux d union

AprĂšs l’armistice de 1918, Braunschweig fait le tour des amicales pour essayer de relancer la fĂ©dĂ©ration. Des divergences de vue avec le prĂ©sident de Strasbourg Schulz empĂȘchent d’aboutir. Ce dernier reprend alors le projet Ă  son compte, mais ne peut rĂ©unir que 8 amicales 10 Ă©tant un minimum. En 1929, Rambaud Marseille fonde la SociĂ©tĂ© d’Amicales LĂ©gion France, Colonies et Etranger» qui est mise en sommeil Ă  la demande du colonel Rollet qui commande le 1er Ă  Sidi-Bel-AbbĂšs, et qui a de plus grandes ambitions. Il a remarquĂ© que les lĂ©gionnaires libĂ©rĂ©s aprĂšs 15 ans de service ont beaucoup de mal Ă  se rĂ©adapter Ă  la vie civile et estime que c'est le rĂŽle des amicales de les sortir de leur solitude et de les aider Ă  trouver du travail. Mais elles ne seront puissantes que si elles sont regroupĂ©es. En 1930, Ă  l’occasion des cĂ©rĂ©monies marquant le centenaire de l’AlgĂ©rie se rĂ©unit Ă  Paris un CongrĂšs oĂč Rollet, appuyĂ© par Maurer et Rambaud, expose ses idĂ©es et les fait adopter. Le 21 octobre 1930 est dĂ©cidĂ©e la crĂ©ation de l’ Union des SociĂ©tĂ©s d’Anciens LĂ©gionnaires de France, des Colonies et de l'Etranger» dont Maurer est Ă©lu prĂ©sident. Le lendemain, tout est remis en question par le dĂ©sistement de Rambaud qui dirige Ă  Marseille un Centre d’Entr’aide aux RĂ©formĂ©s et RetraitĂ©s de la LĂ©gion Ă©trangĂšre». En effet, ce centre fonctionne avec l’aide financiĂšre et sous le contrĂŽle de la Section Etudes» de l’ C’est Ă  dire l’EMA/2 et le capitaine Coulomb, qui en a la charge, interdit Ă  Rambaud d’affilier le centre Ă  l’ qui ne peut donc alors pas voir le jour. Mais Rollet, nommĂ© gĂ©nĂ©ral inspecteur de la LĂ©gion, n’a pas renoncĂ©. En 1931, Ă  la suite des festivitĂ©s marquant Ă  Sidi-Bel-AbbĂšs Camerone et le Centenaire de la LĂ©gion, se rĂ©unit un CongrĂšs dit du centenaire». Sous l’égide du marĂ©chal Franchet d’Esperey, en prĂ©sence des gĂ©nĂ©raux Rollet, ThĂ©veney, Stuhl sĂ©nateur de la Moselle et du colonel Nicolas commandant alors le 1er les 200 dĂ©lĂ©guĂ©s reprĂ©sentant 24 sociĂ©tĂ©s dĂ©cident, le 2 mai 1931, la crĂ©ation de l’ Les sociĂ©tĂ©s suivantes sont membres fondateurs de cette union le tableau ci-dessous rappelle leur date de crĂ©ation- -La LĂ©gion» sociĂ©tĂ© de secours mutuels 1898- Oran 1924- Belfort 1901- Metz 1925- Reims et Mulhouse 1907- Sidi-Bel-AbbĂšs 1930- Troyes et St-DiĂ© avant 1909- Rabat 1930- Marseille 1910- Bordeaux 1931- Nancy 1911- Vienne [Autriche] 1931- Lausanne et Bienne 1913- Casablanca et Marrakech 1930- Alger 1914- La Chaux de Fonds 1913- BĂąle 1915- Hanoi 1909- Luxembourg 1919- Nantes 1930 ? Le siĂšge de l’ est fixĂ© Ă  Paris, au 28 boulevard de Strasbourg dans le 10e arrondissement, oĂč elle est dĂ©clarĂ©e le 3 juin 1931. Son prĂ©sident en est Maurer, le bureau est fourni par la Mutuelle. Il est secondĂ© par 5 vice-prĂ©sidents dĂ©lĂ©guĂ©s rĂ©gionaux Sud Rambaud; Nord-Est Bermot, de Metz; Maroc vacant; AlgĂ©rie Debelle, d’Oran et Suisse Heger, de La Chaux de Fonds. L’Association des Anciens Combattants EngagĂ©s Volontaires dans l’ArmĂ©e Française, 14/18, dont Rollet fut un des fondateurs en 1916 n’est pas admise dans l’USAL, ni les EngagĂ©s Volontaires pour la durĂ©e de la guerre» dans les amicales. L’association RMLE 14/18 est reconnue d’utilitĂ© publique depuis 1926. Les adhĂ©sions se multiplient. En 1935, Ă  l’instigation du gĂ©nĂ©ral François, est créée Ă  Casablanca une Maison de retraite pour anciens lĂ©gionnaires, gĂ©rĂ©e par un directeur sous contrĂŽle d’un conseil d’administration. En 1936 admission des amicales de SaĂŻda et de Prague; le Centre d’Entr’aide de Marseille, en faillite, est transfĂ©rĂ© Ă  Paris et dissous; le prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration du Maroc,nouvellement créée , devient statutairement vice-prĂ©sident pour le Maroc; il en sera de mĂȘme pour la Suisse et, en 1938, pour le prĂ©sident de l'amicale de Sidi-Bel-AbbĂšs qui devient vice-prĂ©sident pour l'AlgĂ©rie. Quand il prend sa retraite en 1936, Rollet, pressenti pour prendre la prĂ©sidence de l’ refuse. En revanche, il accepte celles des Amis de la LĂ©gion Ă©trangĂšre»3, fondĂ©e par Ortiz, citoyen des Etats-Unis. Rollet sera aussi prĂ©sident des Gueules cassĂ©es». En 1936, Rambaud fait l’acquisition du Domaine de la VĂšde, Ă  Auriol, pour y installer une maison de retraite. AprĂšs des dĂ©buts trĂšs difficiles, Rambaud abandonne toutes ses fonctions en 1937, pour laisser les mains libres Ă  son successeur qui obtient des secours financiers Loterie nationale, Amicales, LĂ©gion d’active, etc.. permettant d’éponger les dettes. Le conseil d’administration d’Auriol comprend des personnalitĂ©s civiles et des officiers du centre de transit de Marseille. Pendant la guerre 1939/45, la maison est gĂ©rĂ©e par l’ex-adjudant-chef Schutte et son Ă©pouse, particuliĂšrement efficaces. Avec des prodiges d’ingĂ©niositĂ©, ils arriveront Ă  faire vivre leurs pensionnaires en engageant parfois leurs fonds personnels. L’Union compte 33 sociĂ©tĂ©s affiliĂ©es Ă  la veille de la seconde guerre mondiale. La fĂ©dĂ©ration et la plupart des amicales sont mises en sommeil pendant l’occupation. Il faut noter toutefois un Ă©vĂ©nement exceptionnel pendant cette pĂ©riode troublĂ©e et triste Ă  la mort du gĂ©nĂ©ral Rollet, le 16 avril 1941, l'occupant allemand autorise le transfert de sa dĂ©pouille en Afrique du Nord; elle sera inhumĂ©e dans le carrĂ© LĂ©gion de Sidi-Bel-AbbĂšs. Au dĂ©part de la LĂ©gion d'AlgĂ©rie, en 1962, elle sera transfĂ©rĂ©e Ă  Puyloubier.

\n \n amicale des retraites de la societe generale

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Marthe Pichorel, nĂ©e Marthe Collard en 1878 Ă  Cherbourg[1], morte Ă  Paris en 1968, est une syndicaliste et une fĂ©ministe française. En 1920, elle est Ă©lue, comme supplĂ©ante, au comitĂ© directeur du Parti communiste, qu'elle quitte trĂšs rapidement. Elle est surtout connue pour son engagement au Syndicat national des instituteurs dont elle fut une responsable de premier plan dans l'entre-deux guerres. Biographie Son pĂšre est commandant de marine Ă  la prĂ©fecture maritime de Cherbourg. En 1907, elle adhĂšre Ă  la FĂ©dĂ©ration des amicales d'instituteurs. Cinq ans plus tard, aprĂšs le congrĂšs de ChambĂ©ry de cette organisation, elle s'inscrit au Syndicat des instituteurs de la Seine tout en demeurant Ă  la direction de la FĂ©dĂ©ration, oĂč elle a la responsabilitĂ© de la trĂ©sorerie. Avant la PremiĂšre Guerre mondiale, elle crĂ©e l'Action FĂ©ministe Universitaire et Ă©crit dans la Voix des Femmes. En 1918, elle est Ă©lue au conseil d'administration du Syndicat des instituteurs de la Seine. En 1921, participant au congrĂšs de la FĂ©dĂ©ration des fonctionnaires, qui se tient Ă  Paris, elle demande la rĂ©versibilitĂ© des pensions des femmes de fonctionnaires sur le mari. De 1919 Ă  1923, par ailleurs, elle est membre du syndicat de l'Enseignement laĂŻque de Seine et Seine-et-Oise qu'elle quitte pour rejoindre le Syndicat national des instituteurs affiliĂ©s Ă  la CGT. En 1923, elle est Ă©lue au bureau du Syndicat national des instituteurs SNI. En 1930, elle devient membre de la commission administrative de la FĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale des fonctionnaires. Elle est aussi membre du Conseil supĂ©rieur de l'Instruction publique et, depuis 1925, supplĂ©ante au Conseil national Ă©conomique, au titre du SNI. Depuis 1919, Marthe Pichorel est Ă©galement membre de la commission exĂ©cutive de la FĂ©dĂ©ration socialiste de la Seine et s'enthousiasme Ă  l'annonce de la RĂ©volution russe. Également trĂ©soriĂšre de la FĂ©dĂ©ration fĂ©ministe universitaire, elle participe, en 1920, au congrĂšs de Tours et est Ă©lue supplĂ©ante au ComitĂ© directeur du Parti communiste PC. En 1925, elle est signataire de la Lettre dite des 250 adressĂ©e au comitĂ© exĂ©cutif de la IIIe Internationale. Elle rejoint, alors le Parti socialiste et, en 1932, elle y milite Ă  la section de Choisy-le-Roi. Parvenue Ă  la retraite, elle anime la SociĂ©tĂ© coopĂ©rative des maisons de retraites de la FĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale des fonctionnaires. Depuis 1936, elle Ă©tait secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la FĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale des retraitĂ©s. Son frĂšre est l'Ă©crivain et illustrateur Robert Lortac. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ Cherbourg-Octeville en 2000, puis commune dĂ©lĂ©guĂ©e dans Cherbourg-en-Cotentin depuis 2016. Source Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, Les Éditions de l'Atelier, 1997. Liens externes Notice sur WikimancheDerniĂšre mise Ă  jour du contenu le 23/07/2022.
Lesmutuelles adhĂ©rentes Ă  la FĂ©dĂ©ration nationale MutualitĂ© Française. Innovation Mutuelle. un site de la MutualitĂ© Française. L’actualitĂ© de. l’innovation. Les innovations. mutualistes. Annuaire des. acteurs innovants.
Lorsque la personne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait en activitĂ©, en tant que salariĂ©e ou non-salariĂ©e, ou en arrĂȘt maladie, en invaliditĂ© ou chĂŽmeur indemnisĂ©, ses proches ont le plus souvent droit Ă  un ou des capitaux dĂ©cĂšs. Ce capital est liĂ© Ă  la souscription, dans le cadre de l’activitĂ© professionnelle, d’une couverture contre le risque de dĂ©cĂšs. La personne dĂ©cĂ©dĂ©e peut aussi avoir souscrit en plus un contrat d’assurance en cas de dĂ©cĂšs prĂ©voyant le versement de capitaux ou de rentes en cas de dĂ©cĂšs de son souscripteur. Le capital dĂ©cĂšs pour les salariĂ©s du secteur privĂ© Au dĂ©cĂšs d’un assurĂ© social au rĂ©gime gĂ©nĂ©ral, ses ayants-droits bĂ©nĂ©ficient d’un droit au capital dĂ©cĂšs si, au cours des trois mois prĂ©cĂ©dant son dĂ©cĂšs, cette personne exerçait une activitĂ© salariĂ©e ; ou Ă©tait chĂŽmeur indemnisĂ© par PĂŽle emploi ; ou bĂ©nĂ©ficiait d’une rente accident de travail ou de maladie professionnelle avec un taux d’incapacitĂ© d’au moins 66,66 % ; ou percevait une pension d’invaliditĂ© articles L361-1 et suivants du Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Certains ayants-droits sont considĂ©rĂ©s comme bĂ©nĂ©ficiaires prioritaires du capital dĂ©cĂšs, lorsqu’elles sont Ă  la charge effective, totale et permanente de l’assurĂ© au jour de son dĂ©cĂšs par exemple une personne sans activitĂ© professionnelle. Si plusieurs personnes sont bĂ©nĂ©ficiaires prioritaires, le capital dĂ©cĂšs sera versĂ© dans l’ordre suivant le conjoint survivant ou le partenaire liĂ© par un Pacs, ou, Ă  dĂ©faut, les enfants, ou, Ă  dĂ©faut, les ascendants parents, grands-parents. Ces ayants-droits disposent d’un dĂ©lai d’un mois Ă  compter de la date de dĂ©cĂšs pour demander l’attribution du capital dĂ©cĂšs en faisant valoir leur droit de prioritĂ©. Au-delĂ  du dĂ©lai d’un mois, il est toujours possible de demander le versement du capital dĂ©cĂšs, mais en perdant le droit de prioritĂ©. Comme pour les bĂ©nĂ©ficiaires non prioritaires, la demande de capital dĂ©cĂšs doit ĂȘtre effectuĂ©e dans un dĂ©lai de 2 ans Ă  compter de la date du dĂ©cĂšs. Les bĂ©nĂ©ficiaires non prioritaires sont les ayants-droits qui n’étaient pas Ă  la charge effective, totale et permanente du dĂ©funt. Si aucun bĂ©nĂ©ficiaire prioritaire n’a fait de demande d’attribution du capital dĂ©cĂšs dans un dĂ©lai d’un mois, les bĂ©nĂ©ficiaires non prioritaires peuvent solliciter ce capital Ă  leur tour, dans un dĂ©lai maximum de 2 ans. Le capital dĂ©cĂšs sera versĂ© dans l’ordre suivant le conjoint survivant, non sĂ©parĂ©e de droit ou de fait, ou le partenaire liĂ© par un Pacs, ou, Ă  dĂ©faut, les descendants, ou, Ă  dĂ©faut, les ascendants. La demande d’attribution du capital dĂ©cĂšs doit ĂȘtre adressĂ©e Ă  la Caisse primaire d’assurance maladie CPAM dont dĂ©pendait l’assurĂ© dĂ©cĂ©dĂ©. Pour les bĂ©nĂ©ficiaires mineurs, la demande doit ĂȘtre prĂ©sentĂ©e par son reprĂ©sentant lĂ©gal ou, Ă  dĂ©faut, par le juge du tribunal d’instance. Mais le capital sera versĂ© sur un compte ouvert au nom du mineur. Le montant du capital dĂ©cĂšs est forfaitaire. Il est Ă©gal Ă  3 476 €. Pour les dĂ©cĂšs intervenus avant 2015, le montant du capital dĂ©cĂšs reprĂ©sentait environ les trois derniers salaires mensuels perçus par l’assurĂ© dĂ©cĂ©dĂ©. Le capital dĂ©cĂšs n’est pas soumis aux cotisations sociales CSG, CRDS, cotisations de SĂ©curitĂ© sociale ni Ă  l’impĂŽt sur les successions. Le capital dĂ©cĂšs pour les fonctionnaires Les ayants-droits d’un fonctionnaire dĂ©cĂ©dĂ© bĂ©nĂ©ficient d’un droit au capital dĂ©cĂšs si cette personne, au moment de son dĂ©cĂšs, Ă©tait en activitĂ©, en dĂ©tachement, en disponibilitĂ© pour raison de santĂ© ou sous les drapeaux articles D712-19 Ă  D712-24 du Code de la sĂ©curitĂ© sociale. Les bĂ©nĂ©ficiaires du capital dĂ©cĂšs pour les fonctionnaires DĂ©funt fonctionnaire mariĂ© ou pacsĂ© avec enfants Pour 1/3 le conjoint mariĂ© et non sĂ©parĂ© ou pacsĂ© depuis deux ans Pour 2/3 aux enfants du fonctionnaire, ĂągĂ©s de moins de 21 ans au jour du dĂ©cĂšs, ou infirme sans condition d’ñge, et non imposable Ă  l’impĂŽt sur le revenu. Si le dĂ©funt fonctionnaire mariĂ© ou pacsĂ© n’a pas d’enfant, le capital dĂ©cĂšs est versĂ© en totalitĂ© au conjoint mariĂ© et non sĂ©parĂ© ou pacsĂ© depuis deux ans. DĂ©funt fonctionnaire cĂ©libataire ou en concubinage avec enfants les enfants reçoivent l’intĂ©gralitĂ© du capital dĂ©cĂšs en l’absence de conjoint et d’enfant ou autres descendants, le capital est versĂ© aux ascendants parents, grands-parents
 Ă  la charge du fonctionnaire au moment de son dĂ©cĂšs. Ces ascendants ne doivent pas ĂȘtre imposables sur le revenu. La demande d’attribution du capital dĂ©cĂšs doit ĂȘtre adressĂ©e Ă  l’administration employeur du fonctionnaire dĂ©cĂ©dĂ©. Le montant du capital dĂ©cĂšs dĂ©pend de la date du dĂ©cĂšs et de la situation du fonctionnaire DĂ©cĂšs aprĂšs 2021 DĂ©cĂšs avant 2021 DĂ©cĂšs avant l’ñge minimum de dĂ©part Ă  la retraite DĂ©cĂšs aprĂšs l’ñge minimum de dĂ©part Ă  la retraite Montant du capital dĂ©cĂšs DĂ©cĂšs d’un fonctionnaire titulaire le capital dĂ©cĂšs est Ă©gal Ă  la derniĂšre rĂ©munĂ©ration brute annuelle indemnitĂ©s accessoires comprises. DĂ©cĂšs d’un fonctionnaire titulaire d’au moins 62 ans en activitĂ© le capital dĂ©cĂšs est Ă©gal au quart de la derniĂšre rĂ©munĂ©ration brute annuelle. DĂ©cĂšs d’un fonctionnaire non titulaire affiliĂ© Ă  l’Ircantec le capital dĂ©cĂšs correspond au gain perçu sur les 12 derniers mois prĂ©cĂ©dent la date du dĂ©cĂšs avec dĂ©duction du capital dĂ©cĂšs de la Cnav. Le capital dĂ©cĂšs est Ă©gal Ă  13 388 €. En cas d’accident de service ou d’une maladie professionnelle, le capital dĂ©cĂšs est Ă©gal Ă  12 fois le montant du dernier traitement indiciaire brut mensuel du fonctionnaire. Le capital sera versĂ© trois annĂ©es de suite si le dĂ©cĂšs fait suite – Ă  un attentat ou d’une lutte dans l’exercice de ses fonctions – Ă  un acte de dĂ©vouement dans un intĂ©rĂȘt public ou pour sauver la vie d’une ou plusieurs personnes. Une somme complĂ©mentaire de 833,36 euros est versĂ©e Ă  chaque enfant bĂ©nĂ©ficiaire du capital dĂ©cĂšs. Le capital dĂ©cĂšs est Ă©gal Ă  3 476 € Aucune majoration pour les enfants bĂ©nĂ©ficiaires du capital dĂ©cĂšs. Le capital dĂ©cĂšs des mutuelles ou des sociĂ©tĂ©s d’assurance pour le compte de l’employeur Les salariĂ©s ayant le statut de cadre ou assimilĂ© cadre, affiliĂ©s en tant que tel au rĂ©gime de retraite complĂ©mentaire Agirc-Arrco, sont obligatoirement assurĂ©s contre le risque de dĂ©cĂšs, en complĂ©ment de la couverture de la SĂ©curitĂ© sociale. Les salariĂ©s non-cadres peuvent Ă©galement ĂȘtre assurĂ©s par leur entreprise dans le cadre d’un contrat de prĂ©voyance d’entreprise, comportant une garantie contre le risque dĂ©cĂšs. Les bĂ©nĂ©ficiaires du capital dĂ©cĂšs sont dĂ©signĂ©s par le salariĂ© lors de la souscription de la garantie. A dĂ©faut, le contrat prĂ©voit une liste-type de personnes, par exemple le conjoint non sĂ©parĂ©, Ă  dĂ©faut les enfants, Ă  dĂ©faut les ascendants
 ». Le montant du capital dĂ©cĂšs versĂ© en cas de dĂ©cĂšs du salariĂ© dĂ©pend du contrat souscrit par l’entreprise. Certains de ces contrats permettent de choisir entre un versement en capital uniquement ou le versement d’une partie en capital et l’autre partie en rente d’éducation, versĂ©e aux enfants de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e jusqu’à leur majoritĂ© ou la fin de leurs Ă©tudes. Le capital dĂ©cĂšs des commerçants, artisans, professions libĂ©rales Ces professionnels non salariĂ©s ont le plus souvent l’obligation d’adhĂ©rer Ă  un rĂ©gime d’assurance dĂ©cĂšs. Les conditions d’attribution et les bĂ©nĂ©ficiaires sont assez semblables Ă  celles relatives aux salariĂ©s du secteur privĂ©. Le montant des cotisations et celui des capitaux versĂ©s dĂ©pendent de chacun des rĂ©gimes concernĂ©s. Le capital dĂ©cĂšs des contrats de prĂ©voyance individuelle Les contrats d’assurance en cas de dĂ©cĂšs prĂ©voient le versement d’un capital ou d’une rente en cas de dĂ©cĂšs du souscripteur et au profit d’un ou de plusieurs bĂ©nĂ©ficiaires dĂ©signĂ©s. Selon les contrats, l’indemnisation en cas de dĂ©cĂšs peut ĂȘtre versĂ©e en cas d’accident, de maladie Ă  condition de ne pas ĂȘtre dĂ©jĂ  malade au moment de la souscription voire mĂȘme en cas de suicide aprĂšs une pĂ©riode de franchise variable entre 2 et 3 ans. Certains contrats peuvent aussi inclure une rente Ă©ducation qui permet, en cas de dĂ©cĂšs ou invaliditĂ© du souscripteur, d’assurer le versement d’un capital afin que ses enfants puissent terminer leurs Ă©tudes. Les bĂ©nĂ©ficiaires du contrat dĂ©cĂšs doivent ĂȘtre dĂ©signĂ©s Ă  l’avance. Dans le cas contraire, ce sera par dĂ©faut le conjoint non sĂ©parĂ© de corps ou les enfants nĂ©s ou Ă  naĂźtre.
AmicalePhilatelique Des Salaries Et Retraites De La Societe Generale Ă  Paris Associations culturelles, de loisirs : adresse, photos, retrouvez les coordonnĂ©es et informations sur le PubliĂ© le 07/08/2022 Ă  0506 L’Amicale des Chasseurs a rĂ©uni ses adhĂ©rents, pour l’assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale statutaire de l’association et la mise en ordre de marche de la nouvelle saison des Nemrods, au local de chasse de l’association. La rencontre a rassemblĂ©, autour du prĂ©sident Nicolas Testud, dix-sept adhĂ©rents. Parmi eux, le plus jeune 16 ans, qui a reçu la carte de chasse. Le rappel des consignes de sĂ©curitĂ© pour le grand et le petit gibier a Ă©tĂ© Ă©voquĂ©. Un sujet important, compte tenu du territoire d’évolution saint-privaden, qui enregistre un agrandissement de 10 % de sa rĂ©serve de chasse. Le petit gibier reprĂ©sente une part importante, pour lequel la sociĂ©tĂ© va procĂ©der Ă  des lĂąchers, de perdrix 75 et de faisans 45. Encore un peu de patience pour les chasseurs qui prĂ©parent l’ouverture de leur prochaine saison. Alorsque les rumeurs d'OPA perdurent, un administrateur de la banque a affirmĂ© que Daniel Bouton Ă©tait prĂȘt Ă  "Ă©tudier" une Ă©ventuelle offre amicale. Un porte-parole dĂ©ment. Daniel Bouton est maintenu Ă  son poste mais ne participera par au comitĂ© spĂ©cial mis en place pour gĂ©rer la crise.
Publié le 14 mai 2012 à 00h00 Au centre de la photo de gauche à droite Philippe DewÚvre, directeur du Groupe SG du FinistÚre, Patrick de Beauchamp, délégué régional de l'Amicale des retraités et Benoßt Auburtin, directeur du Groupe des agences de Cornouaille. Cette année, l'amicale des retraités de la Société Générale résidant dans le FinistÚre a réuni, jeudi dernier, ses membres, accompagnés de leurs conjoints, une nouvelle fois dans la Presqu'ßle pour leur repas annuel. Patrick de Beauchamp, délégué régional Bretagne de l'Amicale et Rémy Pouliquen, correspondant pour le FinistÚre, ont accueilli 87membres à l'Hostellerie de la mer, au Fret. Philippe DewÚvre, directeur du Groupe Société Générale du FinistÚre et Benoßt Auburtin, directeur du Groupe des agences de Cornouaille, ont présidé cette sympathique manifestation. AprÚs une minute de silence en l'honneur des retraités décédés depuis la derniÚre réunion de l'amicale, Patrick de Beauchamp a exprimé sa satisfaction de constater l'attachement des anciens à la Société Générale. Il a précisé que l'Amicale a enregistré sept nouvelles adhésions depuis la derniÚre assemblée.
RencontreAmicale des retraités de la Société Générale Septembre 2013; Vidéo Airbus A 400 M env. 4,20m; Vidéo IMAA Air Show 2011; Vidéo rencontre amicale mai 2011; Vidéo Voltige impressionnante

ADHESION Si vous ĂȘtes agent SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale, encore en activitĂ©, prĂ©-retraitĂ©, retraitĂ© ou titulaire d’une pension de rĂ©version du groupe SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale, il suffit de remplir le bulletin d’adhĂ©sion et l’adresser avec le rĂšglement correspondant au siĂšge de l’amicale SOCIETE GENERALEAmicale des RetraitĂ©s75886 PARIS CEDEX 18 La cotisation annuelle annĂ©e civile est actuellement de 25 € 20€ pour bĂ©nĂ©ficiaire d'une pension de rĂ©version SG. Les sommes Ă©ventuellement ajoutĂ©es aux cotisations sont versĂ©es Ă  un Fonds de Soutien’. La cotisation annuelle inclut de facto l’abonnement aux supports de communication avec nos quelques AdhĂ©rents qui est “L’ANCIEN DE LA BANQUE” publication trimestrielle et la lettre Ă©lectronique publication bimensuelle. Pour tout renseignement complĂ©mentaire n’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter. BIENTÔT EN RETRAITE ?

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