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Elle demanda au roi d'Ă©difier sur une grève recouverte Ă marĂ©e haute une digue puissante. Les clĂ©s d'argent Ă©taient sous la protection de Gradlon qui les gardaient sur lui de jour comme de nuit. Grâce Ă cette construction, la ville s'Ă©tait enrichie, mais la population en fut GwĂ©nolĂ© se fâcha de cette corruption, mais ne fut pas jour un chevalier vint, Dahut fut sĂ©duite. Pour qu'elle lui prouve son amour, il lui rĂ©clama les clefs d'argent. Elle les subtilisa Ă son père amant alla ouvrir, en dĂ©but de tempĂŞte, les portes des Ă©cluses, et les eaux envahirent la ville d'Is. Gradlon, rĂ©veillĂ© par GwĂ©nolĂ©, rĂ©cupĂ©ra sa fille et tenta d'Ă©chapper aux eaux. Le saint lui demanda de jeter sa fille Ă l'eau pour dĂ©charger le cheval qui pourrait aller plus vite, et ils furent sauvĂ©s. Sa citĂ© fut cependant engloutie, intacte sous la mer, attendant que quelqu'un prononce les paroles qui la feraient resurgir dans toute sa splandeur. Cette lĂ©gende a Ă©tĂ© racontĂ©e pour la première fois Ă l'Ă©crit au dix-neuvième siècle, et transmise Ă l'oral depuis son origine. Il serait donc possible que cette lĂ©gende ne soit pas exactement du Moyen-Age, mais peut-ĂŞtre encore plus ancienne. Car comment, au Moyen-Age, Ă©tait-il possible de bâtir une ville protĂ©gĂ©e par des Ă©cluses qui se ferment Ă l'aide d'une clĂ© ??? Mais il est possible qu'Is ait vraiment existĂ©. On pense Ă©galement que cette lĂ©gende est allĂ©gorique Dahut reprĂ©senterait le paganisme, saint GwĂ©nolĂ© le convertisseur, et le roi, celui qui abandonne le paganisme pour le christianisme. Le conte marquerait donc le passage du paganisme celte au christianisme celtique car les druides se sont convertis au christianisme, sans pour autant que la religion ne les empĂŞche de diffuser leur savoir et de pratiquer leurs sciences telles que l'herboristerie, la divination, la mĂ©decine, .... Et que Is reprĂ©senterait la religion celte, engloutie, Dahut Ă©tant sa dernière reprĂ©sentante, ... Ils notent Ă©galement que, comme plus haut, l'implantation du christianisme ne donna pas lieu Ă des conflits. Il y eut une fusion. La classe des druides se rallia au christianisme et une partie de ses membres, ordonnĂ©e Ă la prĂŞtrise, dournit ses cadres au nouveau culte. Les Bretons dĂ©barquĂ©s en Armorique amenèrent leur Eglise mĂŞlĂ©e de culte chrĂ©tien et de culte druidique. Il est prĂ©cisĂ© que l'Eglise bretonne adhĂ©ra Ă l'Eglise romaine au neuvième siècle. En tout cas, Dahut m'a dĂ©jĂ convaincue, c'est donc qu'Is pourrait m'apparaĂ®tre ohooo quelle prĂ©tention !!!. TrĂŞve de vantardises, la parole est Ă vous ! AwenAdminNombre de messages 55Date d'inscription 30/09/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Mar 16 Jan 2007 - 1516 La lĂ©gende de la citĂ© d'Ys, est une lĂ©gende difficile d'interprĂ©tation... Elle a en effet Ă©tĂ© remaniĂ©e de nombreuses fois par le christianisme, oeuvre des hagiographes, qui tentèrent de se l'approprier afin de montrer leur souverainetĂ© sur le paganisme comme ils n'ont fait pour beaucoup de chose.... D'ailleurs je la connais sous plusieurs autres versions... Sinon, je pense que le fait de la rĂ©prĂ©senter comme le passage du paĂŻen au chrĂ©tien, est une bonne idĂ©e qui a dĂ©jĂ fait son chemin. En effet c'est au Ve siècle que la lĂ©gende parle de l'engloutissement de cette citĂ©. Hors, c'est aussi l'Ă©poque de la chutte de Rome et de l'empire Romain. Epoque confuse, qui laisse place au Christianisme et aux Francsen gros, très très gros rĂ©sumĂ© raccourcis... ^^. Il serait donc lĂ©gitime de voir ici une allĂ©gorie de ce passage . La citĂ© d'Ys, empire PaĂŻen, gouvernĂ© par un Roi Guerrier, mais qui pour les chrĂ©tiens, en l'occurence reprĂ©sentĂ©s ici par Saint GwĂ©nolĂ©, abbĂ© de Landevenec, et Saint Corentin, premier Ă©vĂŞque de Quimper n'est que lieu de pĂ©chĂ©s qui souillent Dieu et qu'il faut Ă©radiquer pour laisser place Ă un empire d'autres hypothèses ont aussi Ă©tĂ© Ă©mises. La lĂ©gende de la citĂ© d'Ys devait ĂŞtre certainement une lĂ©gende celte avant d'ĂŞtre remaniĂ©e. Certain y voit une survivance du mythe celtique de la femme de l'autre monde elle est aussi appelĂ©e "Morgane" , une version de la banshee iralandaise dont on raconte qu'elle serait issu d'une dĂ©esse celte, Bandish, "la messagère de l'autre monde " le Sidh , annonciatrice de mort, dont nombre de ses amants en on fait l'essais... Certains aussi pense que la citĂ© Ă rĂ©element existĂ©, et cela ne m'Ă©tonnerai pas. Qu'y a t-il de si Ă©trange Ă avoir vĂ©cu un raz-de-marĂ©e au Ve siècle ? La cĂ´te Armoricaine n'est-elle pas connue pour lentement s'enfoncer sous les eaux ? Cela rendrait l'hyppothèse plus que plausible. Et de nombreux vestiges furent trouvĂ©s apportant la preuve qu'il existait bien quelque chose sous le niveau de la mer lors des grandes marĂ©es, la baie de Douarnenez une des supositions de l'ancien lieu oĂą se trouvait la citĂ© Ă parfois livrĂ©e des vestiges de construction en pierre ; ainsi que des restes gallo-romain d'Ă©tablissement sur les hauteurs avec des chemins/voies qui convergent vers la baie de Douarnenez et s'enfoncent sous la mer. Il y a aussi une autre ville qui dispute l'emplacement de la citĂ©, Lexovie dont CĂ©sar et d'autres auteurs nous parle . Mais je n'ai pas trop le temps de m'Ă©tendre lĂ dessus... Enfin voilĂ quelques petites rĂ©actions ! Et au fait, bienvenue Ă toi sur ce forum Boudicca! Sag'yh-ZaĂ«lMaitre PosteurNombre de messages 101Age 41Localisation Chevilly LarueDate d'inscription 27/12/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Mar 16 Jan 2007 - 1528 C'est vrai que j'ai dĂ©jĂ entendu des versions diffĂ©rentes Ă propos de cete fameuse lĂ©gende...Et oui bienvenue Ă toi Boudicca... d'ailleurs ça serait pas une bonne idĂ©e de mettre une rubrique prĂ©sentation... non ? Histoire de se "connaitre" un peu plus entre Celtes. AwenAdminNombre de messages 55Date d'inscription 30/09/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Mar 16 Jan 2007 - 1536 hummm... oui ca pourrait ĂŞtre une bonne idĂ©e, pour se dĂ©tendre un peu. Je vais ajouter cela d'ici peu dans la rubrique "au coin du feu"... Sag'yh-ZaĂ«lMaitre PosteurNombre de messages 101Age 41Localisation Chevilly LarueDate d'inscription 27/12/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Mer 17 Jan 2007 - 1700 chouette... BoudiccaUtilisateur sachant se servir du forumNombre de messages 16Age 32Localisation Parmi les Bituriges Vivisques bordelais et les PĂ©trocores pĂ©rigourdins non loin de Burdigala...Date d'inscription 04/01/2007Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Ven 19 Jan 2007 - 1605 Merci pour vos bienvenutages hĂ©hĂ© je suis adepte des nĂ©ologismes !!! ! On appelait la triple dĂ©esse sous diffĂ©rents noms en fonction de la gĂ©ographie en Hibernie la future Eire..., on l'appelait Morrigan, Macha et Badb, en Bretagne Britannia romaine, Brigantia, Nemain et l'autre nom m'Ă©chappe, et en Gaule... peut-ĂŞtre Bormana signifie la bouillante, Epona la dĂ©esse assimilĂ©e Ă AthĂ©na et Ă HĂ©ra et... ooooh, qui d'autre ??? Mais quelle lĂ©gende... en un sens ça fait rĂŞver, et dans un autre, elle rĂ©volte car le sacrifice de Gradlon Ă©tait injustifiĂ© quand on aime sa fille, fut-elle aux moeurs dĂ©pravĂ©es et prĂ©tendument traĂ®tresse - car c'est le chevalier le fautif dans cette histoire... - on prĂ©serve sa vie, devant un adepte d'une religion Ă laquelle on n'adhère pas, qui plus est. Un paĂŻen obĂ©ir Ă un chrĂ©tien... on aura tout vu...En tout cas, je suis, moi aussi, pour cette nouvelle rubrique !! Vie, force, santĂ© au forum de Keltia ! certes, cette "formule" Ă©tait utilisĂ©e par les Ă©gyptiens, mais entre peuples aux origines antiques, on peut se permettre quelques emprunts par-ci par-lĂ AwenAdminNombre de messages 55Date d'inscription 30/09/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Sam 20 Jan 2007 - 2025 Gradlhon a fait certes un sacrifice injustifiĂ© en poussant sa fille du destrier qui l'emmenĂ© lui et St GwĂ©nael en dehors de la citĂ© en perdition... Mais, attention, a ne pas lui jeter trop rapidement la première pierre... Car d'en une autre version, ce n'est pas le Roi, mais bien St GwĂ©nael qui poussa la princesse. Gradlon voulant garder sa fille Ă ses cĂ´tĂ©s.... Ahh quelle version est la vrai ? Si un jour on invente la machine Ă remonter dans le temps... Je crois savoir quoi en faire.... CernunnosUtilisateur sachant se servir du forumNombre de messages 17Localisation TĂr na-nĂ“gDate d'inscription 03/10/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Jeu 25 Jan 2007 - 1313 Ys et l’Atlantide ? Le Royaume perdu de MĹ« ? Il y a aussi une lĂ©gende Ă©quivalente en Ulster, liĂ©e au gigantesque Lough Neagh, Ă quelques miles de Belfast, creusĂ© par la main puissante de Fionn macCumhaill. Des auteurs farfelus ? rĂ©cents font mĂŞme de l’Irlande l’inspiration de Platon, voyant dans Tara ou BrĂşgh na Boine Newgrange les temples dĂ©crits pas l’auteur...Mais surtout il faudrait peut-ĂŞtre plutĂ´t y voir une version christianisĂ©e et continentalisĂ©e de la lĂ©gende irlandaise de HĂ-Breasil c’était, en un temps immĂ©morial, la Cinquième Province, une grande presqu’île Ă l’ouest de l’Irlande, citĂ©e mĂŞme sur les cartes Ă partir du Moyen-Age. C’était une terre d’abondance au climat clĂ©ment, oĂą l’on ne manquait de rien, oĂą Hommes et dieux marchaient cĂ´te Ă cĂ´te ; ses palais Ă©taient d’or et de cristal. Mais elle fut balayĂ©e par Mananaan macLir lors d’un terrible cataclysme pour une raison mystĂ©rieuse qui change selon les versions. De HĂ-Breasil il ne reste de nos jours que quelques rochers, les Iles d’Aran, peuplĂ©es des derniers descendants des Fir Bholg, et la cassure nette des falaises de Moher oĂą se trouvait l’ lĂ©gende est reprise dans le Lebor Gabála Érenn, le Livre des ConquĂŞtes, et il existe des arguments Ă l’appui de cette thĂ©orie - la prĂ©sence d’une terre Ă l’ouest est gĂ©ologiquement possible, et ses cĂ´tes baignĂ©es par le gulf stream pouvaient lui faire bĂ©nĂ©ficer d’un climat doux qui lui donnait une agriculture riche et faisait d’elle a land of plenty’.- pourquoi tant de forteresses le dĂşn’, fort circulaire de pierres sèches, dont DĂşn Aonghusa reste l’exemple le plus spectaculaire, demi-cercle, puisque l’autre moitiĂ© est peut-ĂŞtre tombĂ©e avec le reste de la falaise s’il n’y avait lĂ que quatre Ă®les arides, sans arbres, sans eau, sans rien pour intĂ©resser un quelconque agresseur ? Par contre, si cet endroit Ă©tait l’entrĂ©e vers une terre riche, on comprend que l’on ait voulu construire un rĂ©seau de fortifications dĂ©fendable par une force rĂ©duite et qui, Ă©trangement, permet de laisser entrer une armĂ©e mais la prend en tenaille et lui rend tout repli impossible. Toutefois, il se peut que certains forts, construits Ă des Ă©poques diffĂ©rentes, n’aient Ă©tĂ© que des endroits cultuels. A dĂ©faut de dĂ©couvertes marquantes, on peut rĂŞver... - les lĂ©gendes ont toujours parlĂ© de cinq provinces en Irlande, or aujourd’hui il n’y en a que quatre, Munster, Connacht, Leinster et Ulster. Selon certains historiens, Temhair Tara aurait Ă©tĂ© une province en elle-mĂŞme, comme Washington DC qui est un Ă©tat en plus d’être une ville afin qu’aucun autre Ă©tat ne la revendique. Mais pour d’autres, Temhair n’aurait jamais constituĂ© une province autonome, et il faudrait donc chercher cette cinquième partie ailleurs... donc Ă l’ouest, au couchant, dernière Ă©tape vers TĂr na n-Ă“g, la terre de l’éternelle jeunesse et des morts heureux, formant ainsi un lieu de passage vers le monde des morts qui n’est pas sans rappeler l’origine du Mont Saint Michel, ancien Mont Tombelaine Tumulus Beleni, de Belenos, dont Michel est Ă peu près l’équivalent dans le panthĂ©on chrĂ©tien. Et pour ceux qui ne sont pas convaincus, allez donc, comme je l’ai fait, vous pencher au bord de la falaise de DĂşn Aonghusa, par la nuit de Samhain, Ă minuit, et observez les brumes. Peut-ĂŞtre que, Ă la diffĂ©rence de moi, vous pourrez voir les domes dorĂ©s de HĂ-Breasil et entendre les chants et les musiques de cet autre monde... Et mĂŞme si vous ne voyez rien, cet ultime refuge du celtisme vaut largement le ce qui est des dĂ©esses, il est difficile d’être si prĂ©cis, les celtes Ă©tant par nature avares de confidences le mot Ceilteach, en Irlandais, veut encore dire Ă la fois celte’ et cachĂ©, dissimulé’ et ne laissaient pas leurs dieux porter des Ă©tiquettes comme les grecs ou les romains. Ainsi, la Brigantia gauloise est connue en Éire sous le nom de Brighidh, devenue Sainte Brigid, sainte patronne avec Pádraig et Columcille de l’Irlande. Mais parfois, elle se rapproche de Anu Ana, Dana, Danu, celle des Tuatha DĂ©, devenue sainte Anne ; et parfois non. Quand Ă la Grande Corneille, dĂ©esse de la mort et de la guerre, Ă©pouse de NĂ©t, elle est en effet triple, mais certaines versions l’appellent la Badhbh pron. BaĂŻv, carrion crow’, divisĂ©e en MĂłrrigháin grande reine des morts, Macha la jument, qu’on retrouverait dans l’anglais nightmare’, cauchemar ? et la vierge Nemhain, mais d’autres fois elle est connue comme la MĂłrrigháin, divisĂ©e en Badhbh, Macha et Nemhain... Bref, pas facile de s’y retrouver, surtout qu’elles changent de forme, tantĂ´t jolies pucelles, ou harpies proches des sorcières de Macbeth autre hĂ©ros celte historique dont on pourrait parler Ă la suite de Vercingetorix ou Vindex, ou mĂŞme en farcouches guerrières rappelant les Walkyries. Peu importe, de toutes façons on peut imaginer que l’on ne connait aucun des noms rĂ©els et secrets des dieux, et que seuls subsistent leurs surnoms, souvent locaux. Alors tel ou tel dieu peut ici se rapprocher de X, et lĂ de Y. Un dieu peut avoir plusieurs nom comme un nom peut ĂŞtre l’épithète de plusieurs dieux... Bon courage pour les correspondances !CearnĂşn MĂłr BoudiccaUtilisateur sachant se servir du forumNombre de messages 16Age 32Localisation Parmi les Bituriges Vivisques bordelais et les PĂ©trocores pĂ©rigourdins non loin de Burdigala...Date d'inscription 04/01/2007Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Ven 26 Jan 2007 - 1302 Alors lĂ ... j'en reste coite... Ovation, s'il vous plaĂ®t...Tant de connaissances... Tant de poĂ©sie... Tant de spiritualitĂ©... Les mots manquent. Tu ferai - si ce n'est pas dĂ©jĂ le cas - un excellent professeur d'archĂ©ologie... Mais oĂą trouver toutes ces informations, car le peu de documents que je possède se ressemblent tous plus ou moins... CintugnatosMaitre PosteurNombre de messages 62Localisation chez les AruerniDate d'inscription 03/10/2006Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is Sam 24 Mar 2007 - 1505 Salut Ă tous !Je profite de la journĂ©e portes ouvertes de mon Ă©tablissement pour vous envoyer ceci A propos de la ville d’Is, voilĂ en rĂ©sumĂ© ce que j’en sais je m’y intĂ©resse depuis tout petit, depuis que son histoire m’avait Ă©tĂ© racontĂ©e Ă maintes reprises par mes parents.Concernant le sens de Ker Is, il y a plusieurs interprĂ©tations. Les seules qui me paraissent intĂ©ressantes parmi celles que je connais sont les suivantes - Ker Is, contraction de Ker Izel/Isel Ville basse » cette explication se passe de commentaire. On peut toutefois prĂ©ciser que de nombreux vestiges d’époques antĂ©rieures de la PrĂ©histoire Ă l’époque gallo-romaine se retrouve aujourd’hui sous les eaux de la cĂ´te du fait de 2 phĂ©nomènes 1. la montĂ©e des eaux de l’ocĂ©an consĂ©cutive de la fin de la dernière grande glaciation cette explication est plutĂ´t valable pour les sites submergĂ©s prĂ©historiques la montĂ©e des eaux fut de 100 Ă 120 m, je crois me souvenir, ce qui noya par exemple toutes les terres maintenant sous la Manche et la Mer du Nord ; 2. L’enfoncement progressif du Massif armoricain qui fait que des Ă©tablissements gallo-romains se retrouvent aujourd’hui sous les plages voire sous les Ker Isis Ville d’Isis » qu’un culte oriental se soit implantĂ© en Armorique Ă l’époque romaine est parfaitement explicable par la prĂ©sence de lĂ©gionnaires venus de tout l’empire. voir Ă ce propos la fameuse statue frustre de dĂ©esse Ă©gyptienne de Baud, près de Vannes Morbihan, surnommĂ©e VĂ©nus de Quinipily ». Ker Isis aurait donc Ă©tĂ© le siège d’un culte oriental si le toponyme est prĂ©-breton, Keris » peut aussi ĂŞtre la simple translation phonĂ©tique d’un terme armoricain ou gallo-romain. Par exemple, La capitale des Coriosolites, aujourd’hui Corseul, avait Ă©tĂ© traduite par Kersol par les Bretons. Keris peut-il donc provenir d’une racine caris- » comme dans Carisopitum, ancien nom de Quimper ?L’existence d’une citĂ© armoricaine d’époque gallo-romaine voire plus ancienne ? qui, progressivement assaillie par les eaux, aurait construit une digue comme aux Pays-Bas n’est peut-ĂŞtre pas Ă exclure se pose effectivement alors le problème des fameuses Ă©cluses qui selon moi, Ă condition qu’elles aient bien existĂ©, n’étaient pas des Ă©cluses mais les portes d’accès de la voie romaine Ă marĂ©e basse ; bon, il ne faut sans doute pas prendre ce dĂ©tail pour argent comptant n’oublions pas, jusqu’à preuve du contraire, qu’il s’agit d’une lĂ©gende, sans doute inspirĂ© d’un fait, voire de faits, rĂ©els mais qui a très bien pu avoir lieu ailleurs, en Grande-Bretagne, la lĂ©gende ayant Ă©tĂ© ensuite importĂ©e par les Bretons.Toutefois, pour Ă©tayer l’existence d’un Ă©tablissement humain lĂ oĂą il n’y a aujourd’hui que sable, vase et eaux profondes, on peut dire que des vestiges de substructions des murs en l'occurrence ont Ă©tĂ© vus depuis des siècles sous les grèves lors des grandes marĂ©es Ă proximitĂ© de Douarnenez et de Sainte-Anne la Palud. De toute manière, la cĂ´te armoricaine, et celle de Douarnenez en particulier, est jonchĂ©e d’anciens Ă©tablissements gallo-romains villae, ateliers de fabrication de garum, ateliers de production de sel, thermes, …., notamment Ă cĂ´tĂ© et sous la plage du Ris Ris » comme Ker Is ?La toponymie pourrait aussi nous donner quelques indications. Ainsi, Douarnenez, pourrait venir de Douar nevez », Terre nouvelle, et pourrait indiquer que la population s’est dĂ©placĂ©e. D’un autre cĂ´tĂ©, il peut aussi s’agir des Bretons ayant quittĂ© la Grande-Bretagne et ayant trouvĂ© leur Terre neuve » en ces lieux. L’explication est donc ici problĂ©matique d’autant que d’autres sens ont Ă©tĂ© donnĂ©s Douarnenez pourrait venir de Tutuarn Enez », l’Ile de Tutuarn, Tutuarn Ă©tant un ermite du 5e siècle qui s’était installĂ© sur une Ă®le Tristan, Ă toponyme intĂ©ressant Sainte-Anne la Palud, palud » dĂ©signant des terres basses j'espère que ce rĂ©sumĂ© permettra d'apporter quelque lumière sur ce qui n'est peut-ĂŞtre pas qu'une lĂ©gende ...Pour ceux qui s’intĂ©ressent au problème, lisez toujours pour commencer l’article Douarnenez » dans Gwenc’hlan Le ScouĂ«zec, Le guide de la Bretagne mystĂ©rieuse, Coop Breizh rééd. 2002, article qui m’a beaucoup servi pour construire ce que j’ai Ă©crit ci-dessus. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re La lĂ©gende de la ville d'Is La lĂ©gende de la ville d'Is Page 1 sur 1 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumForum du magazine Keltia Culture Ancienne Contes, lĂ©gendes et mythologieSauter vers
Enl'honneur du fait historique lié à Clovis et à la bataille de Soissons en 486, la ville est surnommé « la cité du Vase », en raison du vase brisé durant le partage du butin. Associée à l'histoire de France depuis le Moyen-Age et plus particulièrement à celle des premiers rois, elle est classée parmi les villes d'art et d'histoire. Aussi, la cité regorge de nombreux monuments
Publié le 01/11/2016 à 0726 Les pierres sont grises et elles sont faites pour le rester. Mais la période de la Toussaint est l'occasion, pour les cimetières, de retrouver la couleur. Car cette fête catholique est aussi surnommée la fête des morts», et il est coutume de leur rendre hommage le 2 novembre. Ainsi, le cimetière de la Cité retrouve de la vie depuis quelques jours. Ces grandes croix qui se dressent devant les remparts continuent de se taire mais sentent à leurs pieds des bouquets rouges, oranges, jaunes, blancs, violets… Et le gris de la pierre, tâché par le temps, retrouve presque le sourire. Guy et Jacquie font le tour des cimetières tous les ans, à la même période. Pas seulement à Carcassonne. Nous faisons le tour des parents décédés un peu partout dans l'Aude. Dans les Corbières, et aussi un peu dans le Lauragais». Emmanuel, et sa famille, font également du chemin tous les ans. Depuis 2005, ils se déplacent du Lot-et-Garonne jusqu'ici, face à la tombe de leur père. Puisqu'on ne vient pas souvent, on apporte des fleurs qui peuvent survivre toute l'année. Et on donne un peu de couleur et de fraîcheur». Cette année, en les sortant des sacs délicatement, la famille rapporte des pensées, et des bruyères, ainsi que des fleurs artificielles. Oh, et cela aussi. C'est une giroflée. C'est ce qu'il préférait dans son jardin». L'immobile retrouve un peu de gaieté Pour peu que les flûtistes soient de sortie aux portes de la Cité, et que leur mélodie voyage jusqu'au cimetière, la balade se transforme en une douce errance. La roche disparaît de notre champ de vision et ne laisse en évidence que les attentions arc-en-ciel. Les roses pâles à tête baissée font de la place aux vases dans lesquelles se bousculent les couleurs éclatantes. Et l'immobile retrouve un peu de gaieté. Même si toutes les sépultures ne sont pas garnies de couleurs, cette période de la Toussaint est idéale pour les touristes et les visiteurs de la Cité Médiévale, qui sont nombreux à prendre le temps d'errer dans le cimetière, sur la place du Prado.
Villeturque surnommée ' Capitale de l'An Mil ' la cite du vase Celle de Socotra est surnommée extraterrestre En Arménie, elle est surnommée ' Capitale de l'An Mille ' Actrice suédoise surnommée la Divine Planète surnommée 'le Joyau des Mondes du Noyau' Une orchidée surnommée ' nid d'oiseau ' Emprunté pour aller de site en site et de cité en cité
Voici toutes les solution Ville surnommée la cité de Jean Bart ». CodyCross est un jeu addictif développé par Fanatee. Êtes-vous à la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planète Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les réponses pour ce jeu ci-dessous. La dernière fonctionnalité de Codycross est que vous pouvez réellement synchroniser votre jeu et y jouer à partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont données par les développeurs. Cette page contient des réponses à un puzzle Ville surnommée la cité de Jean Bart ». Ville surnommée la cité de Jean Bart » La solution à ce niveau dunkerque Revenir à la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues
Ladernière fonctionnalité de Codycross est que vous pouvez réellement synchroniser votre jeu et y jouer à partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont données par les développeurs. Cette page contient des réponses à un puzzle Ville surnommée « La cité des Vénètes ».
Publié le 10/08/2013 à 0927 Bernard de Freminville a dédicacé son livre à la librairie de la Porte des Mots Après plusieurs publications sur Anduze et ses environs, c'est à une promenade illustrée de la Porte des Cévennes que Bernard de Fréminville invite ses lecteurs. Ce petit livre, embelli des magnifiques photos de Michel Verdier, est à mi-chemin entre le guide touristique et le manuel d'histoire et constitue le deuxième volume de la nouvelle collection des éditions Alcide. Passionné d'Histoire et d'historiettes, l'auteur dévoile la ville, à travers les siècles, pour les gens d'ici et ceux d'ailleurs en racontant des bribes d'histoire attachées aux lieux les plus représentatifs de la ville. Au fil des pages, le lecteur découvrira que la petite ville, surnommée la Genève des Cévennes » n'a pas toujours été une cité tranquille. La place couverte, alors appelée place de l'Orgerie, a été le théâtre de règlements de compte, d'assassinats et d'exécutions publiques qui ont profondément marqué les esprits à une époque où le protestantisme s'implantait dans la région. Le parc des Cordeliers, si accueillant de nos jours, abritait le couvent de l'ordre des Frères Mineurs d'où a démarré la contestation en 1547. Truffé d'anecdotes qui rendent le récit vivant, le livre permettra au lecteur de retrouver les lieux géographiques, historiques, religieux, qui ont fait l'histoire de la ville. Afin de compléter la visite, impossible de quitter Anduze sans évoquer le célèbre vase, ses spécialités culinaires et le train à vapeur qui constitue une attraction touristique et permet de rejoindre la Bambouseraie toute proche. Visible de très loin sur sa colline, le château de Tornac a aussi connu son heure de gloire en particulier au XVIIIè siècle avec ses fabuleux jardins et les marcheurs qui emprunteront la calade pour y accéder jouiront d'une vue magnifique sur le Gardon. Le livre est en vente dans toutes les librairies de la région au prix de 9,90€
Soissons dont les habitants sont appelés les Soissonnais, est une commune française, située dans le département de l’ Aisne en région Picardie .. Il est à noter que Soissons, surnommée « la cité du Vase », est historiquement connue pour avoir été la première capitale de la France . Se trouvant dans un méandre de la rivière
Sortir En Hauts-de-France Soissons Le petit train du coeur de ville Autres Evénements Divers à Soissons Non communiqué par l'organisateur du Samedi 11 Juin 2022 au Dimanche 25 Septembre 2022de 14h30 à 23h59 Aujourd'hui Le petit train touristique de SOISSONS est de retour avec deux parcours ! Le grand tours, et comtes et légendes. Venez re découvrir les monuments cathédrale, Saint-Jean-des-Vignes, cité de la musique et de la danse... Ainsi que leurs histoires racontées par Clotilde. Jusqu'au 31 août circule le mercredi, vendredi, samedi et dimanche à 14h30, 15h30, 16h30 Du 1er au 25 septembre circule le samedi et le dimanche à 15h30 et 16h30 Profitez gratuitement de la navette nocturne pour vous rendre à la Cité de la Musique et de la Danse ou au Pavillon des Arquebusiers dans le cadre de Soissons en Lumières les vendredis et samedis soir Source des données DATATourisme Autres idées sorties près de Soissons Soissons Soissons [ est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont les Soissonnais. Soissons est historiquement connue pour avoir été la première capitale de la France, après Tournai ville actuellement en Belgique. Elle est surnommée la cité du Vase ». source wikipedia
PRESENTATIONDE VENISE Surnommée la « Cité des Doges » ou la « Sérénissime », Venise est est une ville se situant dans la plaine du pô se situant au Nord-Est de l’Italie et bordant le Golfe de Venise. Inscrit dans le patrimoine mondiale de l’UNESCO notament grâce à sa Lagune, Venise fut fondée vers 528 et est désigné comme capitale pendant près de huit siècle (1001-1797) de
La Maison France 5 vous fait découvrir cette semaine, l’une des villes les plus attractives du sud-ouest. Située au pied des montagnes pyrénéennes, à mi-chemin entre le littoral atlantique et la côte méditerranéenne, cette cité profite d’un emplacement idéal. Capitale de la région Occitanie, elle est habituellement surnommée la ville rose ! C’est à Toulouse que nous faisons halte aujourd’hui !Remerciement plateauCartographie par Esri France – Avez-vous déjà pensé Géographiquement ? a tout, il ne manque que vous ! Offrez-vous un séjour à Toulouse riche en couleurs, en activités et en conseils personnalisés avec l’Office de les avantages et les multiples gratuités du Pass Tourisme, plus de 100 thématiques de visites guidées alliant incontournables et insolites, des sites uniques en Europe tels que la Cité de l’espace et les chaînes de montage d’Airbus, une effervescence culturelle et une joie de vivre incontestable, des exclusivités gastronomiques ou expérientielles à découvrir via la centrale de réservation de l’Office de Tourisme, Toulouse a tous les atouts pour vous séduire. À bientôt dans la ville rose !Archives des Toulousains de Toulouse et Amis du intervenants - Julien Tajan - architecte du patrimoineIl nous fera découvrir le quartier des Carmes, au cœur du centre historique de Virginie Lugol - architecte du PatrimoineVirginie Lugol est architecte du patrimoine. Elle vit au cœur du quartier historique dans un magnifique appartement, à l’origine d’anciennes chambres de bonnes qui ont été Frederic Delrieu vit depuis plus de 15 ans dans le quartier St Cyprien, un quartier populaire de Toulouse qui est devenu aujourd’hui très convoité. Il nous fera découvrir son intérieur mais aussi ses adresses fétiches l’atelier Zelij et Benoit Herouard Ferronier d’art.Novo Store – Ateliers Zelij Benoît Herouard - ferronier d’art Dominique Bertrand. Depuis plus de 30 ans, il voue une adoration sans bornes pour l’Amérique des années 50 Pour assouvir sa passion, il a créé une boutique et un resto ambiance, flippers, juke-boxes, plaques émaillées publicitaires, néons... Tout y est ! Gaëlle Alix. Elle aussi a adopté le quartier St Cyprien. Elle vit dans une ancienne fonderie qu’elle a entièrement réhabilitée pour y créer son lieu de vie, un gîte mais aussi son atelier de création en bijoux Sophie Malric est architecte d’intérieur, elle nous fera visiter une toulousaine, habitat typique de la ville rose, qu’elle a entièrement Malric architecte d’ Bernard et Jean-Pierre Capelle sont à la tête d’une entreprise qui fabrique la célèbre brique rose de Toulouse. Un savoir-faire perpétré depuis plus de six Capelle - Nicolas Lassabe nous présentera le Fab Lab qu’il a cofondé un laboratoire de fabrication au service de l’innovation et de la - sujetsLes suspensionsSentouSuspension Akari 120A de Noguchi en papier Washi blanc - structure en bambou. Suspensions Tom Rossau en lamelles de bouleau naturel ou alu coloré. Suspension Akura / Sentou Edition. Suspension en papier plié façon origami. Abat-jour Crinkle / Sentou Diffusion. 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