ACAjaccio : La déception d'Olivier Pantaloni - "le deuxiÚme but de Rennes est arrivé trop vite". Ajaccio s'est incliné sur la pelouse de Rennes (2-1) dimanche. L'entraßneur du club promu, Olivier Pantaloni, a évoqué les débuts difficiles de son équipe en championnat et l'importance de s'acclimater rapidement à la Ligue 1.
Relation amoureuse De nos jours, les imposteurs du cƓur courent les rues. Entre le pervers narcissique, celui qui pense encore Ă  son ex, l’homme mariĂ© ou encore le dragueur invĂ©tĂ©rĂ©, personne n’est Ă  l’abri d’un homme toxique. Le hic, c’est qu’ils sont en gĂ©nĂ©ral trĂšs sĂ©duisants et qu’ils savent pertinemment comment nous attirer dans leurs filets. Ensuite, c’est extrĂȘmement difficile de se libĂ©rer de leur influence nocive. Alors, pour Ă©viter d’en arriver lĂ , Fourchette & Bikini dĂ©crypte pour vous le comportement de 10 hommes toxiques Ă  Ă©viter. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 10 profils d’hommes toxiques Ă  Ă©viter De nos jours, les imposteurs du cƓur courent les rues. Entre le pervers narcissique, celui qui pense encore Ă  son ex, l’homme mariĂ© ou encore le dragueur invĂ©tĂ©rĂ©, personne n’est Ă  l’abri d’un homme toxique. Le hic, c’est qu’ils sont en gĂ©nĂ©ral trĂšs sĂ©duisants et qu’ils savent pertinemment comment nous attirer dans leurs filets. Ensuite, c’est extrĂȘmement difficile de se libĂ©rer de leur influence nocive. Alors, pour Ă©viter d’en arriver lĂ , Fourchette & Bikini dĂ©crypte pour vous le comportement de 10 hommes toxiques Ă  Ă©viter. 2. Celui qui ne veut pas s’engager Relation amoureuse J’aime ta personnalitĂ© et ta façon d’ĂȘtre mais je ne suis pas prĂȘt Ă  m’engager rĂ©ellement. Mais je t’apprĂ©cie beaucoup, j’aimerais qu’on apprenne Ă  se connaĂźtre
 ». Ouah ! Il fait fort celui-lĂ . SĂ©rieusement, qui laisserait filer la potentielle femme de sa vie ? A part un homme auquel vous ne plaisez pas suffisamment pour lui donner envie de plus, personne ! Pourquoi le fuir ? Parce qu’il va vous faire tourner en bourrique en vous disant que peut-ĂȘtre un jour » il pourrait y avoir quelque chose entre vous. Ne vous laissez pas berner ! Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 3. Le pervers narcissique Relation amoureuse Le pervers narcissique est un homme qui a une image dĂ©plorable de lui-mĂȘme et qui fait tout pour dĂ©charger son mal-ĂȘtre sur une autre personne. En l’occurrence, vous. Plus vous serez gentille, gĂ©nĂ©reuse, adorable et attentionnĂ©e, plus vous serez une proie facile pour lui. Comment le repĂ©rer ? C’est simple, il passe son temps Ă  vous dĂ©valoriser et Ă  vous dire que tout ce que vous faites, c’est nul. Alors, un conseil, si vous ĂȘtes une personne trĂšs sensible et que vous avez dĂ©jĂ  eu plusieurs Ă©checs sentimentaux, fuyez, et vite ! Autrement, vous risqueriez de ne jamais vous en remettre. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 4. Celui qui a une ex dans les parages Relation amoureuse Vous avez craquĂ© sur un homme et cela semble rĂ©ciproque. Mais voilĂ , Monsieur a une ex qui rĂŽde encore dans les parages. Apparemment, elle lui a fait beaucoup de mal et il y pense encore beaucoup. La phrase qui doit vous alerter je t’aime beaucoup mais je ne sais plus oĂč j’en suis. J’ai du mal Ă  passer Ă  autre chose
 ». S’il a envie de recoller les morceaux de son vase cassĂ©, c’est son problĂšme. Vous, vous mĂ©ritez mieux ! Alors, mettez fin Ă  cette relation avant qu’il ne vous annonce qu’il se remet avec. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 5. L’éternel gamin Relation amoureuse Lors de votre premier rendez-vous, il vous a annoncĂ©, presque fiĂšrement, qu’il n’avait jamais eu de relation longue. La raison est simple il prĂ©fĂšre profiter. Seulement voilĂ , quand on approche de la trentaine et qu’on en est toujours Ă  ce stade, il y a un souci. Vous avez en face de vous un ado attardĂ© qui se lĂšve Ă  12h et ne prend rien au sĂ©rieux. Un conseil mĂȘme s’il vous plaĂźt beaucoup, oubliez-le avant de vous attacher car son immaturitĂ© vous fera souffrir tĂŽt ou tard. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 6. Le dĂ©pressif Relation amoureuse Ce mec passe son temps Ă  se plaindre, Ă  dire que rien ne va dans sa vie, qu’il est malheureux parce qu’il pleut, qu’il n’a pas confiance en lui, que personne ne l’aime
 Bref, il n’y a jamais rien qui va. Les Ă©motions sont contagieuses. Alors, fuyez avant qu’il vous contamine ! Une relation est censĂ©e vous apporter du bonheur et des Ă©nergies positives. Or lĂ , qu’est-ce qu’il a Ă  vous apporter ? De la morositĂ© et de la tristesse. Il est toxique, alors fuyez, et vite ! N’essayez pas de jouer les infirmiĂšres de l’amour, ça ne marche jamais. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 7. L’homme mariĂ© Relation amoureuse Plus toxique, tu meurs ! L’homme mariĂ© vous promet monts et merveilles pendant de longs mois mais rien ne bouge. Il a beau vous promettre de quitter sa femme, il ne le fera pas. Alors, ne gobez pas ses paroles, il ment. Parce que si ça allait aussi mal avec sa femme qu’il le prĂ©tend, il l’aurait quittĂ©e depuis longtemps. Fuyez, vous rencontrerez un homme qui sera libre pour une histoire d’amour. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 8. Le mec instable Relation amoureuse Ce mec-lĂ  est complĂštement paumĂ© dans la vie, il ne sait pas ce qu’il veut. Un jour c’est oui, un jour c’est non. Il n’est pas fiable et on ne peut pas compter sur lui. Alors, concrĂštement, comment pouvez-vous espĂ©rer construire une relation saine avec un homme qui n’a aucune idĂ©e de la direction qu’il veut prendre ? S’il n’est pas bien tout seul, il ne sera pas bien avec vous non plus. Alors, du balais ! Vous mĂ©ritez un homme fort qui a confiance en lui et qui sera prĂȘt Ă  partager des moments inoubliables avec vous. Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 9. Le parasite Relation amoureuse Tandis que vous vous battez pour gagner votre vie, que vous travaillez dur, il passe son temps affalĂ© sur le canapĂ© Ă  ne rien faire. Qui est-ce qui ramĂšne de l’argent Ă  la maison pour offrir une vie dĂ©cente Ă  son conjoint ? C’est vous. Cet homme est un parasite, un profiteur qui saisit l’opportunitĂ© dĂȘtre tombĂ© sur une bosseuse trop gentille pour l’entretenir. ArrĂȘtez net cette relation avant qu’il ne soit trop tard. Vous aurez beau vous montrer patiente, il ne changera pas
 Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 10. L’égoĂŻste au lit Relation amoureuse La sexualitĂ© est un bon indicateur de la personnalitĂ© d’un homme. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, un homme sain se prĂ©occupera toujours de notre plaisir avant tout. Il sera doux, aimant, attentionnĂ©, Ă  l’écoute de nos envies. A l’inverse, le connard ne se focalise que sur son ressenti Ă  lui. Il nous baise » comme on dit vulgairement. Le pire, c’est qu’il n’hĂ©site pas Ă  ĂȘtre vulgaire et Ă  exiger des choses tu peux me sucer ? », allez une petite pipe, ce sera gentil ». Cerise sur le gĂąteau, Monsieur se trompe de prĂ©nom. Oh oui Sarah ». Euh non, moi c’est Emilie
 Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! 11. L’homme invisible Relation amoureuse Si les mecs sont beaucoup moins obsĂ©dĂ©s par le tĂ©lĂ©phone que nous, une chose est sĂ»re, ils ne nous laissent pas poireauter lorsqu’ils sont vraiment intĂ©ressĂ©s. Alors, si il Ă©tait Ă  fond, qu’il vous harcelait de coups de tĂ©lĂ©phone et de SMS et que, du jour au lendemain, il disparaĂźt, c’est que vous ĂȘtes tombĂ©e sur un homme lĂąche et paumĂ©. Autrement dit, il ne veut plus voir et il ne rĂ©pond plus Ă  vos messages en espĂ©rant que vous allez comprendre toute seule
 Croq’Kilos, le programme minceur Ă  ne manquer sous aucun prĂ©texte ! Les derniers articles Relation amoureuse Je ne suis pas sĂ»re de mes sentiments 4 astuces pour y voir plus clair ! le 2 aoĂ»t 2022 Relation amoureuse DĂ©ception amoureuse 4 astuces pour vous reprendre en main ! le 26 juil. 2022 Relation amoureuse Le couple libre qu’est-ce que c’est, exactement ? le 29 avr. 2022 Relation amoureuse Être ensemble et indĂ©pendants comment rĂ©inventer le couple ? le 22 mars 2022 Relation amoureuse Petites attentions la clef d'un amour durable ? le 21 dĂ©c. 2021 Relation amoureuse Amour les 5 langages de l'amour le 17 dĂ©c. 2021 Relation amoureuse Les 7 preuves d'amour qu'aimeraient recevoir toutes les femmes le 13 dĂ©c. 2021 Relation amoureuse FĂȘter NoĂ«l en couple et son lot de compromis ! le 9 dĂ©c. 2021 Relation amoureuse S’aimer et dĂ©cider de ne pas vivre ensemble la clĂ© d’un amour durable ? le 30 nov. 2021 Relation amoureuse 7 conseils pour exister en tant que couple lorsqu'on est parents le 29 nov. 2021 Cest aussi un mĂ©canisme de dĂ©fense que nous employons pour ne pas souffrir de dĂ©ceptions en permanence. “Nous maintenir Ă  la marge” ou “n’attendre rien de personne” est une maniĂšre de nous protĂ©ger. Si nous n’avions pas la capacitĂ© de recourir Ă  la neutralitĂ©, si nous devions donner une rĂ©ponse positive ou nĂ©gative Ă  chaque stimulant que nous recevons, nous Il y a pour les enfants bien des raisons d’aller mal mĂ©sententes conjugales ; parents nĂ©gligents, maltraitants ou excessivement exigeants ; deuils ; soucis quant Ă  la santĂ© d’un proche ; traumatismes ; anxiĂ©tĂ© liĂ©e Ă  la prĂ©caritĂ© sociale ; excĂšs de stress dans la vie quotidienne 
 La liste est longue et divers facteurs peuvent soit se conjuguer, soit se succĂ©der dans le temps. Reste un cas de figure auquel nous, personnels des Ă©coles, ne pensons pas souvent et qui pourtant produit de considĂ©rables dĂ©gĂąts celui des mĂšres dĂ©pressives. Entendons-nous bien on ne parle pas lĂ  de mĂšres qui, de temps Ă  autre, connaissent des passages Ă  vide. ConnaĂźtre des passages Ă  vide me semble on ne peut plus normal 
 Disons mĂȘme que cela me semble constituer un gage de bonne santĂ© psychique seules les machines Ă©chappent aux Ă©tats d’ñme ; les ĂȘtres humains dignes de ce nom composent quant Ă  eux comme ils le peuvent avec la difficultĂ© d’ĂȘtre ! Ni des femmes passagĂšrement dĂ©primĂ©es, ni des femmes Ă©garĂ©es Celles que je qualifie, faute peut-ĂȘtre de termes plus appropriĂ©s, de mĂšres dĂ©pressives, font durant longtemps bonne figure. Elles se prĂ©occupent de leurs enfants. Elles ont le souci de leur devenir. Elles se savent responsables d’eux. Vis-Ă -vis de l’école, ce sont donc des mĂšres sans histoires elles n’oublient de venir chercher leur progĂ©niture ; elles ne s’amusent pas Ă  faire sans cesse des scandales ; elles ne se mettent pas non plus Ă  pleurer sitĂŽt qu’on leur adresse la parole. Quelquefois, leur dĂ©tresse, perceptible seulement si l’on prend de longuement parler avec elles, est mise au compte d’une sĂ©paration elles sont Ă©tĂ© quittĂ©es, disent-elles quand elles n’utilisent pas le terme d’abandon. Des annĂ©es plus tard, elles ne s’en sont pas remises. Ce qui donne Ă  penser que la sĂ©paration n’a pas Ă©tĂ© seulement une Ă©preuve mais qu’elle a ravivĂ© des fragilitĂ©s antĂ©rieures. D’autres fois, le couple subsiste. Le mari est Ă©voquĂ©. Si des reproches lui sont faits, ils sont mesurĂ©s. Mais on perçoit, concernant la vie conjugale comme vis-Ă -vis du reste de l’existence, une profonde lassitude. Le bonheur n’est pas rationnel. Il ne se dĂ©crĂšte pas. Quand le plaisir de vivre est cassĂ©, il ne reste qu’une existence Ă  traĂźner comme un forçat traĂźne son boulet. Tout ce qui, dans la vie quotidienne, fait le dĂ©lice des gens psychiquement bien portants bascule dans la grisaille, dans l’ennui, dans une fatigue sans fond. Contrairement Ă  celles qui connaissent des passages Ă  vide, les mĂšres dĂ©pressives ne pleurent pas beaucoup. Mais elles sont tristes, sans entrain. Elles sont comme absentes de leur vie. Quelquefois, insidieusement, elles se mettent Ă  boire en cachette. Leur alcoolisation n’est cependant pas bruyante elles n’arrivent en titubant Ă  la sortie des classes 
 Autant dire qu’elle peut passer longtemps inaperçue. Pour les enfants, ces situations-lĂ  sont terribles. D’abord parce qu’ils ne comprennent pas ce qui se passe ils sentent bien que quelque chose ne va pas ; ils voient bien que leur maman n’a le cƓur Ă  rien. Mais elle n’en fait pas moins tout ce qu’il faut et elle le fait mĂȘme comme il faut 
 Comment un jeune enfant pourrait-il se reprĂ©senter cette Ă©trange chose qui ressemble Ă  un dĂ©ficit de goĂ»t pour la vie ? Faire des bĂȘtises, ĂȘtre toujours plus gentil ou Ă  son tour s’éteindre Ensuite parce qu’ils n’ont de cesse que de vouloir ramener cette drĂŽle de maman toute triste vers un peu de joie de vivre, vers un peu de lumiĂšre 
 Les uns font des bĂȘtises pour attirer son attention. Les autres, plus nombreux, s’évertuent Ă  ĂȘtre gentils, toujours plus gentils, serviables, toujours plus serviables. Ils oublient au passage qu’ils ont aussi une vie, leur vie d’enfant, Ă  vivre la scolaritĂ© s’en ressent Ă©videmment fortement. D’autres encore tentent de rejoindre leur mĂšre dans la tristesse ils se ralentissent ; ils rasent les murs ; ils s’éteignent 
 Ils jouent la carte de la solidaritĂ© et ils dĂ©sertent le camp de la joie de vivre. Pour les Ă©coles, la situation n’est pas simple on peut reprocher Ă  un parent d’ĂȘtre maladroit ou nĂ©gligent ; mais on ne peut lui reprocher d’ĂȘtre dĂ©pressif ! Il est bien sĂ»r possible, dĂšs lors qu’on a fini par saisir la nature du problĂšme, de dire qu’il faut tenter de se soigner. Que si l’on ne le fait pas pour soi, il faut le faire pour les enfants. Mais le risque est alors de se faire proprement jeter de quoi vous mĂȘlez-vous donc, peuvent nous rĂ©pondre, non sans une certaine lĂ©gitimitĂ©, les mĂšres concernĂ©es. Il y a sans doute aussi des pĂšres dĂ©pressifs. Mais il me semble que le cas est plus rare. Et surtout qu’il est moins dĂ©vastateur. Face Ă  un pĂšre dĂ©pressif, les enfants bien sĂ»r s’essaieront Ă  susciter un peu d’attention. Mais ils n’auront pas, ou beaucoup plus rarement, ce dĂ©sir obsĂ©dant de le soigner, de le ranimer, de le rĂ©parer, de le rĂ©animer l’état dĂ©pressif d’un pĂšre n’interdit pas forcĂ©ment Ă  ses enfants de grandir, de construire leur vie. Celui d’une mĂšre me semble nettement plus toxique. Sylvie Blanchet
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L’anxiĂ©tĂ© sociale est un vĂ©ritable handicap dans la vie de tous les jours. A tout le moins, pour celles et ceux qui en souffrent. Ainsi, se pose la question du traitement de l’anxiĂ©tĂ© sociale, aussi, et parfois, appelĂ©e phobie sociale. Il en va de mĂȘme en ce qui concerne l’ereutophobie peur de rougir ou la peur de parler en public glossophobie en font partie. MĂȘme peine et mĂȘme punition en ce qui concerne la laxophobie peur de la diarrhĂ©e ou, dans un autre registre social, l’agoraphobie peur de la foule. Chacune de ces phobies, symptĂŽmes d’anxiĂ©tĂ©, a son lot de consĂ©quences psycho sociales toutes plus pĂ©nibles les unes que les autres. C’en est parfois Ă©pouvantable pour les personnes qui en sont victimes. La plupart d’entre elles ne peuvent envisager aucune activitĂ© sociale, affective ou professionnelle, voire sentimentale. Je vais en avoir en exemple assez Ă©poustouflant le jour de la premiĂšre consultation de Lionel. Il me dit souffrir d’anxiĂ©tĂ© sociale. Quand ce dernier me tĂ©lĂ©phone pour prendre rendez-vous, j’entends une voix fluette, comme trĂšs lointaine, presque effacĂ©e. A peine s’est-il prĂ©sentĂ© que Lionel s’excuse. Il agit ainsi trĂšs souvent au cours de nos consultations. Comme lorsqu’il me tĂ©lĂ©phone pour me demander des prĂ©cisions Ă  propos d’exercices que je lui confie. Vraisemblablement, cela se confirme. Lionel souffre de phobie sociale. Il cherche un traitement le plus adaptĂ© Ă  son cas. DĂ©finition de l’anxiĂ©tĂ© socialeTraiter l’anxiĂ©tĂ© sociale L’inutilitĂ© des mĂ©dicamentsL’histoire familiale explique l’anxiĂ©tĂ© sociale Une histoire personnelle pathogĂšneUn contexte familial destructeurQuand l’intelligence est un frein au traitement de l’anxiĂ©tĂ© socialeAnxiĂ©tĂ© sociale Des diagnostics empiriquesLes causes de l’anxiĂ©tĂ© socialeAnxiĂ©tĂ© sociale ArrĂȘter de vouloir ĂȘtre parfaitAnxiĂ©tĂ© sociale Comment devenir autonome?AnxiĂ©tĂ© sociale Comment s’affirmer?Le risque d’une rechute annoncĂ©eLa libertĂ© succĂšde Ă  l’anxiĂ©tĂ© sociale traitĂ©eTraitement de l’anxiĂ©tĂ© socialeAller trop vite est nuisibleUne stratĂ©gie personnalisĂ©eFaire d’un problĂšme une solutionAnxiĂ©tĂ© sociale Le besoin de reconnaissancePourquoi avez-vous besoin de reconnaissance?Comment reconnaĂźtre un besoin de reconnaissance excessif?Les consĂ©quences d’un trop grand besoin de reconnaissanceComment se dĂ©faire de son besoin de reconnaissance?Comment lutter contre le manque de reconnaissance?Peur du jugement des autres Est-ce une phobie ou de l’anxiĂ©tĂ©?Comment s’appelle la phobie de se faire juger?Peur du jugement des autres Est-ce une phobie ou de l’anxiĂ©tĂ©?Quels sont les symptĂŽmes de la phobie sociale?Pourquoi a-t-on peur d’ĂȘtre jugĂ©e?DiffĂ©rences entre la peur du jugement et l’envie de plaireComment se dĂ©barrasser de la peur du jugement des autres?Peur du regard des autres La phobie du jugement socialBlemmophobie Le nom de la peur du regard des autresQuelles sont les origines de la blemmophobie?Pourquoi avez-vous peur du regard des autres?Peut-on vaincre la peur du regard des autres?AnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ©DĂ©finition de la timiditĂ©La timiditĂ© est un symptĂŽme d’anxiĂ©tĂ©TimiditĂ© Une source d’angoissesAnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© Des prises de risques dangereusesAnxiĂ©tĂ© sociale Les symptĂŽmes de la timiditĂ©Les symptĂŽmes physiquesLes symptĂŽmes psychiquesAnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© Comment ĂȘtre sĂ»r de soi?AnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© Comment ne plus en faire un problĂšme?AnxiĂ©tĂ© sociale Comment ne plus ĂȘtre timide? DĂ©finition de l’anxiĂ©tĂ© sociale LanxiĂ©tĂ© sociale, ou phobie sociale, est une incapacitĂ© Ă  ĂȘtre en relation avec les autres, avec tous les autres, et ce dans tous les domaines de sa vie. La personne affectĂ©e par cette phobie vit comme une douleur intense toute inter action avec les autres. A titre d’exemple, dire bonjour, ou acheter une baguette Ă  la boulangerie, relĂšve d’un exercice particuliĂšrement difficile et, dans certains cas, impossible. Les personnes victimes d’anxiĂ©tĂ© sociale, et qui cherchent dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  s’en sortir, ont toutes les peines du monde Ă  affronter le regard des autres. De façon quasi permanente, elles craignent le jugement des autres. Elles ont toujours peur de mal faire ou d’exprimer des choses inadaptĂ©es en des moments les plus inopportuns. Ces personnes souffrent d’un manque d’estime d’elle mĂȘmes. IsolĂ©es la plupart du temps, elles ressentent un trĂšs fort sentiment d’insĂ©curitĂ©. Le seul havre de paix qu’elles trouvent est gĂ©nĂ©ralement leur lieu d’habitation. Ce qui a pour effet de les isoler encore plus, et de nourrir encore plus leur anxiĂ©tĂ© sociale, et de rendre plus dĂ©licat le traitement susceptible de leur convenir. Souvent prise en charge par des mĂ©decins psychiatres, elles se voient prescrire force mĂ©dicaments anxiolytique, hypnotique, anti dĂ©presseurs, neuroleptiques en guise de traitement ce qui n’est pas trĂ©s opportun . Traiter l’anxiĂ©tĂ© sociale L’inutilitĂ© des mĂ©dicaments Dans tous les cas cliniques liĂ©s Ă  l’anxiĂ©tĂ© sociale dont je me suis occupĂ© depuis toutes ces annĂ©es, rares ont Ă©tĂ© les personnes qui m’ont affirmĂ© en avoir tirĂ© un rĂ©el bĂ©nĂ©fice. Comme je l’écris souvent dans ce blog, ce type de mĂ©dicaments ne fait qu’apaiser les symptĂŽmes – et encore, je suis loin d’en ĂȘtre convaincu – et en aucun cas ne rĂ©sout le problĂšme que reprĂ©sente l’anxiĂ©tĂ© sociale. Partant, les mĂ©dicaments ne constituent pas un traitement adaptĂ© Ă  ce type d’anxiĂ©tĂ© ou de phobie. Il n’est pas rare que les gens atteintes d’anxiĂ©tĂ© sociale cultivent d’eux une estime trĂšs basse. Ils conçoivent aussi une forte honte et une trĂšs forte culpabilitĂ© quant Ă  leur incapacitĂ© Ă  avoir une vie comme les autres. Ils souffrent terriblement de leur anxiĂ©tĂ© sociale et sont trĂšs souvent convaincus qu’ils sont responsables d’échouer lĂ  oĂč la plupart des autres rĂ©ussissent. Quant Ă  ce qu’ils pensent ĂȘtre une vie comme les autres, beaucoup reconnaissent qu’ils ne savent pas ce qu’est une vie normale. D’abord parce qu’ils frĂ©quentent peu de gens, voire personne, ou parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, c’est l’idĂ©e qu’ils se font d’une vie normale, Ă  contrario de l’anxiĂ©tĂ© sociale. Cela relĂšve trĂšs souvent du fantasme d’une vie oĂč ils pourraient s’affirmer, prendre des risques et en assumer les consĂ©quences. En bref, ne pas souffrir de d’anxiĂ©tĂ© sociale. Il faut avoir le courage de faire comme tout le monde, pour n’ĂȘtre comme personne » Jean-Paul Sartre L’histoire familiale explique l’anxiĂ©tĂ© sociale J’ai toujours Ă©tĂ© frappĂ© d’observer que ces personnes souffrant de phobie sociale et/ou d’anxiĂ©tĂ© sociale sont issus de familles dites dysfonctionnelles qui ont participĂ©, de façon directe ou indirecte, Ă  empĂȘcher la personne phobique de prendre des risques, Ă  l’empĂȘcher de s’affirmer en lui renvoyant le plus souvent de lui mĂȘme une image abĂźmĂ©e dans le genre Fais ce que tu veux puisque tu n’y arriveras pas! ». Maintenant, il est vrai que toutes les familles sont dysfonctionnelles par nature. Dans le cas contraire, il n’y aurait aucune nĂ©vrose, et encore moins de nĂ©vrose d’angoisse. L’anxiĂ©tĂ© sociale est donc un symptĂŽme. Le symptĂŽme d’une angoisse profonde, voire d’une angoisse chronique qui, le temps aidant est devenue une anxiĂ©tĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e. C’est dans toutes ces circonstances affectives et psychologiques, voire pires comme je vais vous le dĂ©montrer maintenant, que Lionel est entrĂ© la premiĂšre fois dans mon cabinet de thĂ©rapie comportementale et comment il a pu ainsi accĂ©dĂ© Ă  un traitement personnalisĂ© de son anxiĂ©tĂ© sociale. Une histoire personnelle pathogĂšne Quand Lionel se prĂ©sente Ă  moi, je rencontre un homme qui me semble comme blessĂ©. Il a la tĂȘte dans les Ă©paules, il est presque malingre, engoncĂ© qu’il est dans une veste en laine blanche et grise dont on pourrait avoir l’impression qu’il la piquĂ© Ă  un gĂ©ant! Lionel semble gĂȘnĂ© d’ĂȘtre lĂ . Sont-ce les prĂ©misses de son anxiĂ©tĂ© sociale? Il va bientĂŽt commencer Ă  s’excuser parce qu’il range ses petites affaires autour de lui. Il s’attarde sur le bon positionnement du sac qu’il porte en bandouliĂšre. La taille de son sac me fait penser Ă  celle de sa veste. Immense! Il prend le temps de sa caler au fond de son siĂšge puis m’adresse un sourire gĂȘnĂ© qui fait apparaĂźtre des dents abĂźmĂ©es. Il n’est pas rasĂ© ce qui, sur le teint livide qui est le sien, lui donne un air encore plus gris. Pendant une heure, Lionel s’emploie Ă  essayer de rĂ©pondre Ă  mes questions Ă  propos de ses symptĂŽmes d’anxiĂ©tĂ© sociale. Nous allons parler, il va souvent me dire qu’il ne comprend pas ce que je lui dis et parfois moins les questions que je lui pose. Un contexte familial destructeur SoignĂ© depuis des annĂ©es pour dĂ©pression, et ne bĂ©nĂ©ficiant pas d’un traitement pour l’anxiĂ©tĂ© sociale dont il est victime, Lionel me prĂ©sente le contexte familial comme un environnement assez destructeur entre une mĂšre castratrice et un pĂšre absent. La mĂšre, qui refusera toujours de venir me parler, semble s’ĂȘtre Ă©chinĂ©e Ă  empĂȘcher son fils d’évoluer, de sortir du nid, le prĂ©sentant comme une enfant chĂ©tif qu’il faut protĂ©ger de lui mĂȘme et du monde cela me rappelle l’histoire d’une jeune patiente Ă  qui sa mĂšre avait toujours dit de se mĂ©fier des hommes car ces sont tous des salauds, des pervers et des
 violeurs. Lionel me parle de ses difficultĂ©s scolaires. Non pas qu’il fut mauvais Ă©lĂšve, mais plus de sa grande difficultĂ© Ă  nouer des relations avec des camarades de classe, lui qui reste toujours seul dans un coin comme cachĂ©, Ă  l’abri de tous, en plus de faire souvent l’objet de moqueries, de quolibets comme Lionel aime Ă  le dire. Autre terrain d’expression de son anxiĂ©tĂ© sociale. C’est peu de temps aprĂšs sa derniĂšre hospitalisation que Lionel a dĂ©cidĂ© de venir me consulter. Nous mettons en place une stratĂ©gie progressive pour le sauver de sa anxiĂ©tĂ© sociale. cela a Ă©tĂ© dur, j’irais presque jusqu’à dire laborieux, mais Lionel, courageusement, s’est accrochĂ©. Et
 çà a marchĂ© ! Quand l’intelligence est un frein au traitement de l’anxiĂ©tĂ© sociale C’est au cours des deux consultations suivantes que je comprends que je n’avais pas Ă  remettre en cause ma façon de le questionner et la qualitĂ© de ma pratique. Plus tard, Lionel m’explique plus tard qu’il veut juste s’assurer qu’il comprend bien ce dont je lui parle tout en rĂ©flĂ©chissant aux sens de mes questions et, accessoirement, Ă  lĂ  oĂč je veux en venir Ă  propos de son anxiĂ©tĂ© sociale. Il est intelligent le bougre! Et mĂȘme trĂšs intelligent. Il manie avec une dextĂ©ritĂ© certaine l’humour au second degrĂ©, la dĂ©rision voire le cynisme Ă  propos de lui comme de son anxiĂ©tĂ© sociale. En ce qui concerne ce dernier point, comme le disait Benoit Poelvoorde 
 Le cynisme est la forme accentuĂ©e de la dĂ©sespĂ©rance
 . Il n’en demeure pas moins qu’en fait, Lionel se mĂ©fie. Et il a de quoi se mĂ©fier. Il a toutes les raisons de se sentir anxieux Ă  propos de ce premier entretien thĂ©rapeutique. Lionel veut se sortir de son anxiĂ©tĂ© sociale. Ce n’est pas simple pour lui, et le traitement de la phobie sociale qu’il recherche n’en n’a que plus d’importance. AnxiĂ©tĂ© sociale Des diagnostics empiriques Depuis des annĂ©es, Lionel est promenĂ© d’un psy Ă  l’autre, d’un psychiatre Ă  un autre. Personne ne semble d’accord sur un diagnostic. Pourtant, aucun d’entre eux n’évoque une Ă©ventuelle anxiĂ©tĂ© sociale. TantĂŽt psychotique, tantĂŽt borderline, tantĂŽt schizophrĂšne, tantĂŽt bipolaire, tantĂŽt hospitalisĂ© en hĂŽpital psychiatrique, Lionel est baladĂ© comme un touriste en terra incognita. Lionel a tout. En mĂȘme temps, il n’a rien. Mais il a quand mĂȘme quelque chose. Une affection. Mais laquelle? Les professionnels semblent ne pouvoir se prononcer. Ils prescrivent donc des actes en consĂ©quence. Il est hospitalisĂ© Ă  diverses reprises. Contre son grĂ©. Mais, qui se soucie de l’avis de Lionel quand lui revendique une anxiĂ©tĂ© sociale? Tout a commencĂ© des annĂ©es auparavant, Ă  la suite d’une altercation trĂšs violente entre Lionel et l’amant de sa mĂšre. Attention toute interprĂ©tation quant Ă  une Ă©ventuelle rivalitĂ© serait une erreur de diagnostic. Une de plus ! Cet amant semblait exprimer un certain mĂ©pris Ă  l’égard du fils de sa compagne. Laquelle femme a semblĂ© laissĂ© faire des annĂ©es durant avec d’autant plus de facilitĂ© qu’elle a toujours considĂ©rĂ© que son enfant Ă©tait quelque peu malade et qu’il ne pouvait ĂȘtre autonome et encore moins responsable. Il aurait donc eu besoin, au sens de la mĂšre, d’ĂȘtre coachĂ© par un adulte mĂąle rĂ©fĂ©rent
 L’amant
 Les causes de l’anxiĂ©tĂ© sociale L’anxiĂ©tĂ© sociale, comme toute phobie, ou symptĂŽme d’angoisse, rĂ©pond Ă  des mĂ©canismes spĂ©cifiques. Ensemble, nous allons en explorer quelques-uns. Chaque cause de phobie sociale rĂ©pond aux facteurs suivants Perfection Autonomie Affirmation de soi PrĂ©vention de la rechute AnxiĂ©tĂ© sociale ArrĂȘter de vouloir ĂȘtre parfait AprĂšs que nous ayons fait le point sur le contexte de sa situation, je commence par demander Ă  Lionel de rĂ©flĂ©chir seulement Ă  deux questions Ă  propos de son anxiĂ©tĂ© sociale. Quand il me consulte pour la seconde fois, les questions font l’objet d’un nombre de rĂ©ponses telles qu’il nous faut beaucoup de temps pour les dĂ©crypter. Lionel met un point d’honneur Ă  rĂ©pondre d’une maniĂšre si prĂ©cise et circonstanciĂ©e que cela pose toute la difficultĂ© mĂ©canique de son problĂšme mais, surtout, met en lumiĂšre tout ce qui participe Ă  prendre le risque d’avoir de lui une image positive. C’est fondateur pour la suite de la mise en place d’actions stratĂ©giques que je souhaite mettre en place. Dans l’intervalle, Lionel me tĂ©lĂ©phone trĂšs souvent ou m’adresse des SMS. Il m’explique combien il est angoissĂ© voire anxieux Ă  l’idĂ©e de ne pas prĂ©cisĂ©ment faire ce que je lui demande. Je passe beaucoup de temps Ă  dire et rĂ©pĂ©ter Ă  Lionel que je n’attends pas de lui le mieux. Et que, tant qu’il veut tendre vers cette perfection comportementale, il en est quitte pour des troubles anxieux et autres angoisses rĂ©pĂ©tĂ©es, comme de son anxiĂ©tĂ© sociale. AnxiĂ©tĂ© sociale Comment devenir autonome? Les sĂ©ances passent, deux puis trois puis quatre. L’atmosphĂšre thĂ©rapeutique se dĂ©tend franchement ce qui me permet de demander Ă  Lionel ce qu’il aimerait faire s’il avait de lui une image positive et s’il se sentait suffisamment en confiance, en sĂ©curitĂ©. AprĂšs rĂ©flexion, il m’explique qu’il aimerait quitter le domicile familial et avoir son appartement. Dans le mĂȘme temps, il m’explique que sa mĂšre cherche vraisemblablement Ă  l’empĂȘcher de partir. En agissant de la sorte, Lionel convient que sa mĂšre est dans sa logique et qu’il est stĂ©rile d’essayer de la faire changer d’avis. Je demande donc Ă  Lionel de rĂ©flĂ©chir aux moyens qu’il pourrait trouver pour poser les bases de son autonomie qui marquerait le terme de son anxiĂ©tĂ© sociale. Je prĂ©cise Ă  Lionel que je ne souhaite pas qu’il prenne un appartement trop vite. Je souhaite juste qu’il cherche des moyens pour prĂ©tendre Ă  la location d’un bien immobilier. Tout en sachant combien cela lui est difficile puisqu’il n’a aucun revenu. En plus d’un statut de travailleur handicapĂ©. Et des allocations qui ne lui permettent pas de prĂ©tendre Ă  quoi que ce soit Ă  propos d’un lieu de vie. AnxiĂ©tĂ© sociale Comment s’affirmer? De mĂ©moire, le vacances d’hiver ont passĂ©. Ce n’est qu’un mois plus tard que je revois ce cher homme. Toujours vĂȘtu de son immense veste en laine et de son immense besace. Et c’est Ă  ce moment, tout sourire, que ce patient m’annonce qu’il a trouvĂ© un travail caissier dans un hypermarchĂ©. Cela lui permet d’observer les inter actions sociales entre les ĂȘtres humains. Venant de lui, je trouve cela plutĂŽt cocasse. Je ne suis pas trĂšs Ă©tonnĂ© qu’il ait cette dĂ©marche anthropologique. Le comble de l’anxiĂ©tĂ© sociale! Je suis quand mĂȘme stupĂ©fait – positivement – de son audace! Il va mĂȘme jusqu’à me dire qu’il a repĂ©rĂ© une jeune femme qui ne le laisse pas indiffĂ©rent. L’anxiĂ©tĂ© sociale serait-elle en passe d’ĂȘtre dĂ©finitivement vaincue? Le risque d’une rechute annoncĂ©e Au terme de la consultation prĂ©cĂ©dente, je demande Ă  Lionel de lever le pied. De ne pas tant s’en demander. Ceci, bien qu’il soit comprĂ©hensible qu’il veuille en finir avec sa phobie sociale. Sa prise en charge thĂ©rapeutique, qui a vocation Ă  apporter une solution Ă  son anxiĂ©tĂ©, n’est pas une course contre la montre. Ce n’est pas une compĂ©tition. Lionel sourit d’une façon d’autant plus encourageante qu’il a repris des couleurs et un peu de poids. Des semaines passent. Un jour il me tĂ©lĂ©phone pour me demander mon avis quand Ă  satisfaire Ă  une offre qui lui a Ă©tĂ© faite. Cette offre est habilement prĂ©sentĂ©e comme quasi obligatoire par une Ă©quipe thĂ©rapeutique. IntĂ©grer un appartement thĂ©rapeutique. Je fais montre d’un ton cordial. Bienveillant mais assez ferme. Je dis Ă  Lionel que je n’y vois aucune inconvĂ©nient. Cependant, je lui demande quand mĂȘme quel est l’intĂ©rĂȘt de rĂ©pondre favorablement Ă  une telle offre. Effectivement, elle est formulĂ©e par l’institution. S’il y rĂ©pond par l’affirmative, il confirme Ă  ces gens qui le disent malade qu’il est malade. Il prend ainsi le risque de confirmer qu’il est incapable d’ĂȘtre adulte et autonome. Lionel me dit que j’ai raison puis me raccroche quasiment au nez. Je me moque d’avoir raison. Je veux juste qu’il bouge. Lionel a montrĂ© ses capacitĂ©s progressives au changement. Mais il est entrain de s’affaisser. Il se laisse manipuler par ses angoisses. Par ses peurs. Par son anxiĂ©tĂ© sociale. Et aussi par ses proches. Pour se sĂ©curiser eux mĂȘmes, ils sont prĂšs Ă  ne lui laisser aucune chance de s’affirmer. Comme cela, chacun est Ă  sa place et tout le monde se sent sĂ©curisĂ©. Sauf l’intĂ©ressĂ©. La libertĂ© succĂšde Ă  l’anxiĂ©tĂ© sociale traitĂ©e Des semaines durant, je n’ai aucune nouvelles de ce patient. Ni coup de tĂ©lĂ©phone, ni SMS, ni mails. Jusqu’au jour oĂč je reçois un mail m’invitant Ă  aller regarder quelque chose sur internet. Je ne sais pas de qui vient ce mail. Ce n’est pas nommĂ©ment prĂ©cisĂ©. C’est une invitation assez originale, tant par sa prĂ©sentation elle mĂȘme que par son contenu. Ce n’est que plusieurs jours plus tard que j’y satisfais Ă  la faveur de l’annulation d’une consultation par une patiente. Ce que je dĂ©couvre me laisse bouche bĂ©e. Belle typo aĂ©rĂ©e. C’est simple. C’est clair au premier coup d’Ɠil. Et, en plus il y a des vidĂ©os dont une m’est dĂ©dicacĂ©e. C’est Lionel. Il parle de son nouvel appartement. De son parcours thĂ©rapeutique. De sa nouvelle vie en totale autonomie. Le tout d’une voix calme, posĂ©e. Lionel a créé sa chaine sur Youtube. De façon gratuite, il explique comment utiliser des logiciels trĂšs techniques. Je ne lui connaissais pas cette compĂ©tence. Lionel a avancĂ© Ă  pas de gĂ©ant. Ce dĂ©but de rĂ©ussite, c’est Ă  lui, et Ă  lui seul, qu’il le doit. MalgrĂ© toutes les difficultĂ©s, il s’est mis en danger pour s’affirmer. Lionel a courageusement tout mis en Ɠuvre pour juguler son anxiĂ©tĂ© sociale. Un pas aprĂšs l’autre, sans se bousculer. Il a compris tout les bĂ©nĂ©fices qu’il pouvait retirer Ă  analyser chaque pas, Ă  l’assurer pour passer au suivant. Lionel a compris. Le reste suivra. C’est juste une question de temps. Lionel est rentrĂ© dans une dynamique que plus rien ni personne ne peut entraver. Lionel est libre. Quant Ă  moi, je viens de perdre un patient. Çà me fait content! Traitement de l’anxiĂ©tĂ© sociale Cela n’a pas Ă©tĂ© une simple affaire thĂ©rapeutique que d’aider Lionel Ă  ne plus souffrir d’anxiĂ©tĂ© sociale. Non seulement parce qu’avec son parcours tant personnel que psychologique, il me faut y aller doucement. Je dois aussi composer avec Lionel lui mĂȘme. En effet, il oublie parfois de m’informer de ce qu’il fait et des projets qu’il mĂšne. Il aura fallu que je lui demande d’utiliser trĂšs prĂ©cisĂ©ment des exercices comme celui de la PSE ou, de façon progressive, apprendre Ă  transformer ses problĂšmes en solutions. De fait, comment utiliser l’anxiĂ©tĂ© sociale comme un avantage. Lionel Ă©tait littĂ©ralement bloquĂ© sur ses relations affectives – familiales – qui entravaient son dĂ©veloppement personnel. Il lui aura donc fallu faire la paix avec son passĂ© grĂące Ă  des exercices que je formaliserais plus tard. C’est comme cela qu’il apprendra Ă  s’affranchir de son anxiĂ©tĂ© sociale , de ses pensĂ©es obsessionnelles et que, petit Ă  partir, il fera diminuer le handicap que lui infligeait sa timiditĂ©. Lionel Ă©tait bloquĂ© sur des situations qu’il pensait inextricables. Ces mĂȘme situations nourrissaient sa phobie. Elles obĂ©raient le traitement de l’anxiĂ©tĂ© sociale. Il avait fini par se convaincre qu’il Ă©tait malade. A preuve, l’institution n’avait elle pas diagnostiquĂ© chez lui des pathologies psychiatriques graves qui nĂ©cessitaient des traitements lourds et un contrĂŽle thĂ©rapeutique spĂ©cifique cf appartement thĂ©rapeutique. Aller trop vite est nuisible Sa derniĂšre hospitalisation sous contrainte lui a fait prendre la mesure du danger qu’il coure. Il exprime son dĂ©sir de ne pas ĂȘtre celui que l’on veut qu’il soit. Il met fin Ă  sa honte et Ă  sa culpabilitĂ©. Pour ce faire, il satisfait Ă  des exercices thĂ©rapeutiques assez non conventionnels qui lui rĂ©ussissent. Cela lui a tellement rĂ©ussi que je me souviens avoir bataillĂ© avec lui pour qu’il ralentisse le rythme de ses projets. Je craignais que s’il rencontrait des difficultĂ©s cela le bloque de façon dĂ©finitive. J’avais peur de la rĂ©surgence de son anxiĂ©tĂ© sociale. J’ai pu constater que cela aura eu l’effet contraire. En se libĂ©rant de ses contraintes liĂ©es Ă  son anxiĂ©tĂ© sociale, Lionel a progressivement mis en place des façons de s’affirmer. Cela lui a aussi permis d’objectiver Ă  propos de ce que les gens peuvent ou non penser de lui. Une stratĂ©gie personnalisĂ©e Parfois, nous communiquons Ă  l’aide de certains rĂ©seaux sociaux. J’apprĂ©cie beaucoup l’humour et la dĂ©rision dont il fait preuve Ă  son endroit. Il a rĂ©ussi Ă  s’inscrire dans une dĂ©marche active pour apprendre Ă  se sĂ©curiser et Ă  retrouver confiance en lui. Enfin, Lionel est la preuve vivante que ce n’est pas en utilisant des mĂ©thodes rationnelles que cela se rĂ©sout. Il lui a trop longtemps Ă©tĂ© assĂ©nĂ© par certains psy qu’il suffisait de se convaincre de ne pas tenir compte de ce que les gens pouvaient penser. Facile Ă  dire et totalement inepte thĂ©rapeutiquement. Ce patient ne faisait pas exprĂšs de souffrir d’anxiĂ©tĂ© sociale. Pas exprĂšs d’avoir peur des autres, ni peur du jugement des autres. Ou peur du regard des autres. Il n’est pas non plus responsable de ne pas avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un traitement de l’anxiĂ©tĂ© sociale qui lui convienne. C’était sa rĂ©alitĂ©. Des personnes comme des Ă©vĂšnements rĂ©pĂ©tĂ©s se sont chargĂ©s de le convaincre. Lui faire croire qu’il est incapable d’avoir un comportement normal et d’ĂȘtre autonome. Aujourd’hui, je sais que Lionel est convaincu que l’avenir lui appartient. Qu’il lui suffit juste d’y aller doucement. De ne pas s’en demander plus qu’il ne peut en supporter. Lionel sait comment faire quand cela va mal ou qu’il bute sur quelque chose. Il lui suffit de rĂ© utiliser tout ou partie des exercices que nous avons utilisĂ©. Utiliser son traitement de l’anxiĂ©tĂ© sociale de sorte Ă  ce que les situations se dĂ©bloquent. Un jour Ă  la fois. Faire d’un problĂšme une solution Gregory Bateson disait, je cite la vie est une succession de problĂšmes . Il avait bien raison. Dans cette suite plus ou moins continu de problĂšmes, nous essayons de nous adapter pour les rĂ©soudre. C’est le fruit de nos rĂ©alitĂ©s respectives. C’est exactement ce que ne savait pas faire Lionel. Il a donc appris Ă  s’approprier son anxiĂ©tĂ© sociale, et ainsi ne plus en souffrir. Comme tout le monde! En trouvant une solution Ă  son problĂšme de phobie sociale, Lionel est-il devenu un homme normal, presque banal? Lionel s’est-il – enfin – dĂ©barrassĂ© de son besoin de reconnaissance? AnxiĂ©tĂ© sociale Le besoin de reconnaissance Le besoin de reconnaissance est une nĂ©cessitĂ© naturelle et logique. Mais ce besoin n’est pas sans consĂ©quences sur votre Ă©panouissement. C’est un trait de caractĂšre constitutif de nos personnalitĂ©s qui nous permet de nous organiser en sociĂ©tĂ©s cohĂ©rentes. NĂ©anmoins, un besoin de reconnaissance excessif peut devenir une source de souffrance. C’est aussi souvent le signe d’un manque majeur de confiance en soi qui pousse Ă  vivre Ă  travers le regard des autres. Pourquoi avez-vous besoin de reconnaissance? C’est un fait acquis, nous avons tous besoin de reconnaissance. Nous grandissons en nous laissant guider par la reconnaissance et les encouragements de nos parents et, d’une façon gĂ©nĂ©rale, de nos pairs. Pendant les premiĂšres annĂ©es de notre vie, le regard de notre entourage est la seule chose qui nous permet de distinguer le bien du mal. C’est Ă  travers ce regard que l’on apprend Ă  grandir et Ă  construire nos premiĂšres relations personnelles. Plus tard, le besoin de reconnaissance nous pousse Ă  collaborer et Ă  vivre en sociĂ©tĂ©. D’ailleurs, les signes de reconnaissance sont si importants dans nos relations interpersonnelles qu’on pourrait presque les qualifier de monnaies d’échange. Nous passons nos journĂ©es Ă  donner et recevoir des signes d’apprĂ©ciation et de reconnaissance, d’un simple merci » Ă  un compliment plus Ă©laborĂ©. MĂȘme les critiques sont des signes de reconnaissance puisqu’elles tĂ©moignent d’une attention que l’on nous porte. Normalement, le besoin de reconnaissance nous pousse Ă  prĂ©fĂ©rer recevoir des critiques qu’à ĂȘtre ignorĂ©e, preuve justement que le besoin de reconnaissance et essentiel Ă  notre dĂ©veloppement. En revanche, quand ce besoin devient trop important et pathologique, le processus s’inverse. La critique devient vite insupportable, et mĂȘme si ĂȘtre ignorĂ©e est douloureux, on le prĂ©fĂšre Ă  une remarque qui nous blesse. GĂ©nĂ©ralement, le besoin de reconnaissance atteint ces degrĂ©s pathologiques quand l’utilitĂ© de cette reconnaissance a Ă©tĂ© dĂ©tournĂ©e par les parents de l’enfant. En effet, certains parents utilisent le besoin d’amour et de reconnaissance de leurs enfants pour les manipuler et leur faire du chantage. Ce qui laisse un vide difficile Ă  combler ensuite Ă  l’ñge adulte, et donc un besoin de reconnaissance excessif. Comment reconnaĂźtre un besoin de reconnaissance excessif? On aurait tort de penser que le besoin de reconnaissance est la consĂ©quence d’une prĂ©tention ou d’une vanitĂ© trop importante. Les gens qui ressentent ce besoin excessif ont en fait souvent peur de manquer d’amour. Ils essayent Ă  tout prix de plaire et craignent d’imposer leurs goĂ»ts ou leurs personnalitĂ©s aux autres, de peur de leur dĂ©plaire. Les personnes vaniteuses, Ă  l’inverse, auront tendance Ă  s’imposer en permanence ce qui tĂ©moigne d’autres faiblesses trĂšs diffĂ©rentes. Le besoin de reconnaissance est excessif Ă  partir du moment oĂč il vous place dans des situations inconfortables ou qu’il vous amĂšne Ă  vous oublier, Ă  vous nier, trop souvent. Rencontrer une personne Ă  qui on souhaite plaire que ce soit amoureusement ou non est parfaitement normal. En revanche, ĂȘtre prĂȘt Ă  taire ses dĂ©sirs et ses opinions pour plaire Ă  tout prix et ne pas la froisser, est aussi, et souvent, le signe d’un besoin de reconnaissance excessif. En psychologie, on parle Ă©galement souvent des transferts typiques chez les personnes qui souffrent d’un besoin de reconnaissance excessif. Par exemple, une personne qui a eu un pĂšre absent, manipulateur ou simplement incapable de transmettre la moindre reconnaissance, a tendance Ă  vouloir absolument s’attirer la sympathie de figures masculines plus ĂągĂ©es Ă  qui il prĂȘte une autoritĂ© excessive. Ce transfert n’a pas besoin d’ĂȘtre amoureux ou personnel. Les consĂ©quences d’un trop grand besoin de reconnaissance La principale consĂ©quence d’un trop grand besoin de reconnaissance est un ensemble de difficultĂ©s personnelles liĂ©es Ă  une basse estime de soi. Les relations personnelles deviennent difficiles et douloureuses, car le besoin de reconnaissance excessif est souvent impossible Ă  combler. Le rĂŽle des parents est essentiel parce qu’il est trĂšs rare qu’une autre figure dans la vie de l’enfant parvienne Ă  la remplacer, en tout cas quand elle est dĂ©faillante. Sur la santĂ© psychique, le besoin de reconnaissance a aussi des consĂ©quences profondes. Il use progressivement le moral et l’estime de soi. La personne qui en souffre se sent seule et isolĂ©e. Elle n’ose jamais prendre le moindre risque et vie dans la culpabilitĂ© et le regret constant. Si le besoin de reconnaissance est provoquĂ© par un parent manipulateur et violent, les consĂ©quences sont beaucoup plus importantes dans leur intensitĂ©. Dans la vie professionnelle, le besoin de reconnaissance n’est pas un atout. Il pousse certains Ă  travailler beaucoup plus que les autres, ce qui peut leur donner certaines armes pour rĂ©ussir. Malheureusement, le jour oĂč il faut assumer ses opinions et prendre des risques finit toujours par arriver. Un besoin excessif de reconnaissance devient alors trĂšs handicapant. Comment se dĂ©faire de son besoin de reconnaissance? Pour amĂ©liorer son rapport aux autres, valoriser son estime de soi et vaincre son anxiĂ©tĂ© permanente, il faut se tourner vers les diffĂ©rentes thĂ©rapies possibles. La psychothĂ©rapie dure plusieurs annĂ©es et accompagne efficacement celles et ceux qui ont besoin de vaincre leurs difficultĂ©s psychiques. NĂ©anmoins, la thĂ©rapie comportementale reste la solution la plus efficace, car elle ciblent prĂ©cisĂ©ment les problĂšmes Ă  l’origine de ce besoin de reconnaissance. Si vous considĂ©rez avoir un besoin de reconnaissance excessif, mais encore suffisamment sous contrĂŽle, vous pouvez aussi essayer de rĂ©gler vos problĂšmes vous-mĂȘme. Évidemment, il est toujours suggĂ©rĂ© de se tourner vers une professionnelle de la thĂ©rapie puisque des solutions existent pour rĂ©duire son besoin de reconnaissance. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il est conseillĂ© de toujours prendre la peine de donner plus de signes de reconnaissance Ă  son entourage. Sans tomber dans la flagornerie, ce processus vous aide Ă  voir ce qu’il y a de mieux chez les autres et Ă  vous dĂ©tourner ainsi de ce qui vous dĂ©plaĂźt en vous. Ensuite, il convient d’essayer de retourner ces signes de reconnaissance vers soi-mĂȘme pour se fĂ©liciter quotidiennement de ce que l’on a accompli, des choses les plus simples comme on a pris du temps pour soi. Comment lutter contre le manque de reconnaissance? Parfois, le besoin de reconnaissance n’est pas seulement un problĂšme psychique. Parfois, on a besoin de reconnaissance parce qu’on en manque. Par exemple, quand un parent ne nous donne pas suffisamment de reconnaissance on doit pouvoir ĂȘtre capable de s’en rendre compte pour en tirer des conclusions qui nous libĂ©rent. Pour cela, on doit comprendre que le besoin de reconnaissance dĂ©passe largement les apparences de reconnaissance. Un parent qui nous demande pĂ©riodiquement comment nous allons ne nous donne pas pour autant l’attention dont on a besoin. S’intĂ©resser Ă  quelqu’un nĂ©cessite de suivre sa trajectoire de maniĂšre active et pas seulement de lui poser quelques questions quand on le voit, comme le font deux amis qui se sont perdus de vue. Si vous constatez que quelqu’un dans votre entourage ne vous donne pas la reconnaissance dont vous avez besoin, vous ne devez pas nĂ©cessairement entrer en conflit avec cette personne. En revanche, vous devez prendre conscience de la nĂ©cessitĂ© de dĂ©tacher la construction de votre estime de vous-mĂȘme de toute opinion sur vous et les choses que vous faites de sorte Ă  faciliter votre dĂ©veloppement personnel. Il en est de mĂȘme au sujet de la peur du jugement des autres, autre facteur d’anxiĂ©tĂ© et, partant, d’anxiĂ©tĂ© sociale. Peur du jugement des autres Est-ce une phobie ou de l’anxiĂ©tĂ©? Nous souffrons tous, Ă  divers degrĂ©s, de la peur du jugement des autres. À certains Ă©gards, on peut considĂ©rer cette peur comme plutĂŽt saine puisqu’elle rend la vie en sociĂ©tĂ© possible. En effet, elle nous impose certaines limites de comportements. En revanche, chez cette certaines personnes, cette peur devient handicapante. Elle les empĂȘche de vivre et d’agir normalement, rendant parfois impossible le simple fait de manger devant quelqu’un. Comment s’appelle la phobie de se faire juger? Quand la peur du jugement des autres devient trop intense, on commence Ă  parler d’anxiĂ©tĂ© sociale. C’est un trouble anxieux qui toucherait environ 7 % de la population dans le monde. L’anxiĂ©tĂ© sociale rend le quotidien de ceux qui en souffrent parfois trĂšs compliquĂ©. Toutes les situations de performance, notamment quand on sait que l’on est – possiblement – observĂ©, deviennent trĂšs compliquĂ©es. Quand l’anxiĂ©tĂ© sociale n’est pas traitĂ©e, elle est susceptible de produire ce que l’on appelle une phobie sociale. La peur du jugement des autres devient alors impossible Ă  affronter et la phobie de se faire juger devient trĂšs handicapante. La personne qui en souffre peine Ă  faire de nouvelles rencontres et Ă  entretenir ses amitiĂ©s. D’un point de vue professionnel, la phobie sociale devient rapidement invivable. Celle ou celui qui en souffre ne supporte pas d’ĂȘtre placĂ©e dans des situations de compĂ©tition ou d’ĂȘtre remise en question par sa hiĂ©rarchie. Peur du jugement des autres Est-ce une phobie ou de l’anxiĂ©tĂ©? Nous souffrons tous, Ă  divers degrĂ©s, de la peur du jugement des autres. À certains Ă©gards, on peut considĂ©rer cette peur comme plutĂŽt saine puisqu’elle rend la vie en sociĂ©tĂ© possible. En effet, elle nous impose certaines limites de comportements. En revanche, chez cette certaines personnes, cette peur devient handicapante. Elle les empĂȘche de vivre et d’agir normalement, rendant parfois impossible le simple fait de manger devant quelqu’un. Quels sont les symptĂŽmes de la phobie sociale? La phobie sociale se caractĂ©rise, comme toutes les phobies, par un ensemble de symptĂŽmes typiques. Face Ă  l’objet de la phobie, le patient ressent les symptĂŽmes suivants AccĂ©lĂ©ration du rythme cardiaque Sueurs froides BouffĂ©es de chaleur DifficultĂ©s Ă  respirer Sentiment d’oppression Vertiges, voire Ă©vanouissements NausĂ©es Vomissements BrĂ»lures gastriques Etc. Cependant, la phobie du jugement des autres est particuliĂšre parce que l’objet de la peur n’est pas toujours bien identifiĂ©. À tel point que ceux qui souffrent d’anxiĂ©tĂ© sociale peuvent parfois sembler paranoĂŻaques. Un simple regard ou un mot mal interprĂ©tĂ© suffisent Ă  produire un enchaĂźnement sans fin de pensĂ©es ruminĂ©es impossibles Ă  contrĂŽler. La peur du jugement prend alors le dessus et un profond malaise psychique et physique s’empare du patient. La phobie sociale se caractĂ©rise donc aussi beaucoup par les stratĂ©gies d’évitement qu’elle produit. Le patient qui en souffre aura tendance Ă  se renfermer et Ă  limiter drastiquement ses activitĂ©s sociales. Il supporte mal d’avoir une conversation avec un inconnu ou de manger devant les autres. Bien souvent, la consommation d’alcool en compagnie d’autres personnes accentue ses inquiĂ©tudes. DĂšs le lendemain, il est convaincu que son relĂąchement passager l’a rendu ridicule aux yeux des autres. Pourquoi a-t-on peur d’ĂȘtre jugĂ©e? L’intĂ©rĂȘt que nous portons au regard des autres est l’un des fondements de nos sociĂ©tĂ©s. Sans cela, de nombreux comportements dĂ©lĂ©tĂšres sont impossibles Ă  proscrire. Avoir peur d’ĂȘtre jugĂ©e est donc naturel. D’ailleurs, dĂšs notre plus jeune Ăąge, on nous encourage et on nous rĂ©compense quand nous nous comportons correctement. Le renforcement positif dans l’éducation fait donc du regard et de l’opinion des autres sur nos comportements une donnĂ©e essentielle. Le problĂšme, c’est que chez certaines personnes, cette tendance va dĂ©gĂ©nĂ©rer et provoquer de l’anxiĂ©tĂ© et une phobie sociale. GĂ©nĂ©ralement, la phobie sociale est associĂ©e Ă  un manque pathologique de confiance en soi. L’avis des autres devient trop important parce que le patient ne parvient pas Ă  trouver l’assurance nĂ©cessaire pour s’affirmer. Or, s’affirmer en tant qu’individu implique d’accepter de dĂ©plaire Ă  certains. Une Ă©ducation trop stricte dispensĂ©e par des parents absents est une source frĂ©quente de phobie sociale. L’enfant cherche l’approbation de ses parents, mais il ne l’obtient jamais vraiment. Les parents trĂšs exigeants rendent difficile l’émancipation de l’enfant. L’émancipation passe toujours par l’affirmation de soi et certains parents ne supportant pas de voir leur enfant grandir multiplient les efforts pour Ă©craser cette tendance. RĂ©sultat, l’enfant ne prend pas confiance en lui Ă  des pĂ©riodes cruciales enfance, adolescence, dĂ©but de la vie d’adulte et l’anxiĂ©tĂ© sociale s’installe rapidement. DiffĂ©rences entre la peur du jugement et l’envie de plaire La diffĂ©rence entre la peur du jugement des autres et l’envie de plaire est parfois difficile Ă  faire. D’ailleurs, la phobie sociale est aussi souvent appelĂ©e blemmophobie. Or, on utilise souvent la blemmophobie pour expliquer le comportement de certains patients incapables de dire non, vivant avec la volontĂ© pathologique de plaire Ă  tout le monde. Difficile donc de faire la diffĂ©rence entre les deux. On peut alors tenter de dĂ©finir la peur du jugement comme une anticipation maladive de la critique. L’envie de plaire, de son cĂŽtĂ©, serait plutĂŽt le besoin de combler un vide par l’apprĂ©ciation des autres. Dans les deux cas, la peur du jugement et l’envie de plaire s’appuient souvent sur un manque de confiance en soi profond. Les patients qui en souffrent doivent apprendre Ă  vivre leurs relations sociales sans crainte du conflit et de la diffĂ©rence d’opinions. C’est une Ă©tape essentielle pour apprendre Ă  vivre sans craindre le jugement des autres. Comment se dĂ©barrasser de la peur du jugement des autres? La premiĂšre chose Ă  faire pour se dĂ©barrasser du jugement des autres, c’est d’apprendre Ă  contrĂŽler le sien. DĂšs lors, je vous invite Ă  cesser de vous juger aussi durement que vous le faites. Dans le mĂȘme temps, je vous suggĂšre aussi d’arrĂȘter de juger les autres parfois durement. Essayez d’apprendre Ă  porter un regard plus tendre sur le monde qui vous entoure, notamment en gardant en tĂȘte qu’il est rare que les comportements qui vous peinent vous soient personnellement adressĂ©s. Ensuite, donnez vous les moyens d’apprendre Ă  vous affirmer paisiblement, sans violence et sans agressivitĂ©. Affirmez vos opinions calmement quand elles diffĂšrent de celles des autres et, surtout, ne cherchez pas Ă  convaincre Ă  tout prix. Vous dĂ©couvrirez alors qu’une diffĂ©rence de point de vue produit plus souvent des conversations passionnantes que des crises de hurlement. À condition bien sĂ»r de rester maĂźtre de ses Ă©motions et de ne pas se laisser emporter. Vous dĂ©couvrirez aussi que l’on peut s’affirmer sans vexer ou blesser les autres. Bien sĂ»r, tout cela est beaucoup plus facile quand on est fier et heureux de la vie que l’on mĂšne. Ce qui induit cependant de faire preuve d’un minimum d’humilitĂ© pour ne pas verser dans l’arrogance ou la suffisance 😊. Avoir un travail qui vous plaĂźt et jouir d’une vie de famille qui vous convient permet de s’affirmer calmement sans souffrir des diffĂ©rences d’opinions qui existeront toujours. Enfin, si vous souffrez d’anxiĂ©tĂ© sociale depuis de longues annĂ©es et malgrĂ© tous vos efforts, je vous invite Ă  commencer par suivre une thĂ©rapie comportementale. C’est la mĂ©thode que l’Assurance maladie AMELI recommande en prioritĂ© pour se dĂ©barrasser de l’anxiĂ©tĂ© et des phobies. Sachez le un bon comportementaliste vous permet de vaincre votre blemmophobie en quelques semaines seulement. Si cela vous intĂ©resse, alors je vous invite Ă  regarder la vidĂ©o ci-dessous. Peur du regard des autres La phobie du jugement social Le regard des autres influence naturellement notre comportement. Nous aurions tort de souhaiter nous dĂ©barrasser complĂštement et dĂ©finitivement de cette influence. Le regard des autres a des effets positifs sur nous, surtout quand il est bienveillant. En revanche, quand la peur du regard des autres devient paralysante, on parle de blemmophobie. On doit alors demander de l’aide pour guĂ©rir. Blemmophobie Le nom de la peur du regard des autres La peur du regard des autres est trĂšs rĂ©pandue et elle est bien naturelle. Sans cette peur, la vie en sociĂ©tĂ© serait totalement impossible. Le philosophe LĂ©vinas disait DĂšs que le visage de l’autre apparaĂźt, il m’oblige . Le visage n’étant pas seulement la face, mais l’ensemble de caractĂ©ristiques qui font de lui un ĂȘtre pensant et unique. Vivre avec les autres, c’est entrer dans une relation de nĂ©gociation constante. MĂȘme quand elle n’est pas exprimĂ©e, cette relation a un poids et m’interdit certains comportements. C’est ce que l’on appelle le poids du jugement des pairs. Un peur comme d’avoir peur d’ĂȘtre exposĂ©e au jugement des autres, aux critiques, quand on est sous les projecteurs comme les actrices, acteurs, et autres comĂ©diens. Le regard des autres, la peur d’ĂȘtre jugĂ©e est alors la mĂȘme quand on souffre de peur de parler en public la glossophobie. Ainsi, nous nous construisons tout au long de notre vie par rapport au regard des autres. C’est parce que nous recueillons les opinions des autres que nous parvenons Ă  produire notre propre capacitĂ© de jugement. Nous sommes constamment influencĂ©s par les autres, leurs idĂ©es, leurs comportements et leurs regards. Si vous vous prĂ©occupez du regard des autres, c’est tout Ă  fait normal. En revanche, dans certains cas, savoir que le regard des autres existe nous empĂȘche de vivre une vie normale. On ne parle pas ici de se retenir de faire tout ce qui nous passe par la tĂȘte, mais bien de ne plus ĂȘtre capable de rĂ©aliser des actions simples du quotidien. Par exemple, demander un simple renseignement Ă  l’accueil d’un lieu devient impossible, tant on craint d’ĂȘtre jugĂ© et dĂ©considĂ©rĂ©. Quand la peur du regard des autres atteint un tel niveau, on parle de blemmophobie. Comme toutes les phobies, elle repose sur l’émergence de pensĂ©es irrationnelles et l’incapacitĂ© du patient Ă  trier les informations pertinentes. Par exemple, le regard des autres ne devrait pas vous inquiĂ©ter quand ce n’est pas celui d’un proche ou d’une personne que vous estimez. Quelles sont les origines de la blemmophobie? La blemmophobie est une phobie assez rĂ©pandue. Parfois, elle est associĂ©e Ă  un autre trouble anxieux comme l’agoraphobie ou la phobie sociale. Les personnes qui en souffrent ont de grandes difficultĂ©s Ă  se trouver au milieu de larges groupes. Soit parce qu’ils craignent de ne pas pouvoir s’échapper facilement en cas de problĂšme. Soit parce qu’il ne supporte pas de sentir le regard des autres sur eux. MĂȘme manger en public peut devenir trĂšs compliquĂ©. Comme toutes les phobies, ces cas de blemmophobie et de phobie sociale apparaissent souvent aprĂšs un traumatisme. Quelle que soit la nature du traumatisme, il peut provoquer l’apparition de troubles anxieux qui, selon leur gravitĂ©, s’expriment notamment par l’apparition d’une phobie. Parfois, le lien entre la phobie et le traumatisme n’est pas Ă©vident Ă  faire. NĂ©anmoins, la blemmophobie est une phobie dont la majoritĂ© des cas semble liĂ©e Ă  l’éducation et au milieu dans lequel l’enfant grandit. Les enfants victimes de violences physiques ou psychiques dĂ©veloppent souvent des troubles anxieux Ă  l’ñge adulte. De mĂȘme, les enfants dont les parents souffrent de troubles anxieux sont Ă©duquĂ©s dans un milieu anxiogĂšne. On leur apprend Ă  avoir peur de tout et ils deviennent eux-mĂȘmes anxieux. À l’ñge adulte, l’anxiĂ©tĂ© que l’on n’a pas soignĂ©e produit les premiĂšres phobies sĂ©rieuses. On doit alors prendre des dispositions radicales rapidement, car toutes les phobies que l’on ne soigne empirent jusqu’à devenir vraiment handicapantes. Pourquoi avez-vous peur du regard des autres? On retrouve la crainte excessive de la peur du regard des autres chez les adultes qui ont reçu une Ă©ducation particuliĂšrement stricte, mĂȘme si elle ne le semblait pas. Un enfant que l’on encourage toujours Ă  se montrer calme et correct sans jamais lui offrir d’espace oĂč ĂȘtre lui-mĂȘme dĂ©veloppe plus facilement ce genre de trouble. On remarque Ă©galement que les enfants qui souffrent de l’absence d’un parent ou de son manque d’intĂ©rĂȘt pour lui ont du mal Ă  bĂątir un amour-propre suffisamment solide. Le parent absent devient alors pire qu’un parent strict puisque l’enfant n’est jamais assez bien pour attirer son attention. Parfois, le parent en question ne se trouve pas rigide du tout, mais s’il ne s’intĂ©resse Ă  l’enfant que pour le rĂ©primander, celui-ci intĂšgre la nĂ©cessitĂ© d’ĂȘtre transparent pour ĂȘtre aimĂ©. À l’ñge adulte, ces mĂ©canismes de dĂ©fense disparaissent si on a la chance de rencontrer les bonnes personnes et de vivre certaines situations positives. Malheureusement, dans un monde Ă©conomique oĂč les jeunes ont de plus en plus de mal Ă  s’affirmer par le travail et l’indĂ©pendance, ils ont Ă©galement du mal Ă  se dĂ©tacher de cette position d’enfant discret et malmenĂ© qui les fait souffrir. Ne plus avoir peur du regard des autres exige d’accepter de s’imposer – de s’affirmer – malgrĂ© ses difficultĂ©s. Peut-on vaincre la peur du regard des autres? La blemmophobie, comme toutes les phobies se soignent trĂšs bien, Ă  condition de se faire aider par un professionnel. Plusieurs solutions existent, mais elles n’ont pas toutes exactement la mĂȘme efficacitĂ©. De plus, leurs rĂ©sultats varient en fonction des patients. N’hĂ©sitez donc pas Ă  essayer plusieurs solutions pour vous assurer d’obtenir les rĂ©sultats que vous cherchez. La premiĂšre solution, et la plus efficace, c’est la thĂ©rapie comportementale stratĂ©gique et brĂšve de Palo Alto. Les exercices cognitifs et comportementaux permettent d’objectiver la peur et de la vaincre progressivement. PrĂšs de 90 % remarquent des rĂ©sultats dĂšs la premiĂšre sĂ©ance et se considĂšrent comme guĂ©ris aprĂšs quelques semaines seulement! En plus, certains comportementalistes proposent des solutions 100 % en ligne et toujours trĂšs efficaces. Ensuite, vous pouvez essayer la psychothĂ©rapie. Une analyse sur le long terme permet Ă©galement de venir Ă  bout des angoisses et des phobies. En explorant les sources de vos difficultĂ©s, vous apprenez Ă  prendre de la distance et Ă  lĂącher prise pour limiter leurs consĂ©quences sur votre quotidien. La psychanalyse, en revanche, demande un investissement plus important puisque la thĂ©rapie dure plusieurs annĂ©es. Je ne vous conseille cependant pas de suivre une psychanalyse en parallĂšle d’une thĂ©rapie comportementale. Enfin, l’hypnose est une autre trĂšs bonne solution. Elle est compatible avec les autres types de thĂ©rapies, mais elle ne fonctionne malheureusement pas sur tous les patients, loin s’en faut. Certains ne sont pas rĂ©ceptifs et on ne peut rien y faire Ă  contrario de la façon dont peut aider les personnes souffrant de timiditĂ©. En effet, bien utilisĂ©, ĂȘtre timide peut ĂȘtre une arme de sĂ©duction massive. AnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© J’ai longtemps souffert de timiditĂ©. Sans que pour autant je fasse le lien entre mes problĂšmes personnels et leurs consĂ©quences. Ce n’est que dans mon adolescence que je prends acte de cette rĂ©alitĂ©. J’apprends Ă  composer avec elle. C’est de façon bien surprenante que ce qui est un problĂšme depuis longtemps devient une solution. Je vous explique comment dans cet article comment de timide devenir quelqu’un de sĂ»r de soi. DĂ©finition de la timiditĂ© Jeune, je suis timide de façon presque maladive. Au sens oĂč cela m’empĂȘche d’avoir des relations agrĂ©ables et sereines avec les autres. DĂšs qu’une personne Ă  laquelle je me compare intervient dans ma vie, et ce qu’elle qu’en soit la façon, je suis incapable de conserver la place sociale et ou affective qui est la mienne. Je deviens incapable de m’affirmer. De participer Ă  la vie en gĂ©nĂ©ral. Je reste en retrait. Souffre de voir les autres exister et vivre sans difficultĂ©s apparentes. Je n’envisage le bien ĂȘtre que lorsque ces personnes qui m’intimident quittent mon environnement. L’autre est toujours mieux. Plus Ă  l’aise. Plus cultivĂ©. Mieux bĂąti. Sait faire rire. Amuser les autres. Et tutti quanti. Je suis comme fascinĂ© par leur aisance. Les envie. Je suis jaloux de leur capacitĂ© Ă  sĂ©duire. A crĂ©er des liens. Je me sens gauche. Ridicule. BĂȘte. Je dĂ©teste ma timiditĂ©. MĂȘme Ă  mes propres yeux, du moins pendant un temps assez long, je n’ai aucun intĂ©rĂȘt. La timiditĂ© est un symptĂŽme d’anxiĂ©tĂ© Pour me protĂ©ger, je finis par cultiver ma diffĂ©rence de façon toxique. J’adopte une attitude trĂšs en dehors. Quand j’observe les autres, je me tiens Ă  distance. J’essaie de de me convaincre que je suis au dessus de tout cela. Que nenni. Les annĂ©es passent. Je me rends bien compte que les autres avancent. Construisent. Prennent des risques. Alors que je demeure au mĂȘme point. Seul et triste. Toujours timide. TimorĂ©. Je m’intĂ©resse Ă  la psychologie C’est comme cela que je dĂ©couvre et comprends que la timiditĂ© n’est pas autre chose qu’un symptĂŽme d’angoisse. Je me rappelle combien j’ai peur de dire ou de faire des bĂȘtises dans mes relations avec les autres. Combien je suis dans la peur du jugement. InĂ©luctablement, cela affecte ma confiance en moi. M’empĂȘche de m’affirmer. Et, quand je m’affirme, je le fais parfois avec agressivitĂ©. Quand ce n’est pas, plus gĂ©nĂ©ralement, avec une telle maladresse liĂ©e Ă  ma timiditĂ©, que j’obtiens l’inverse de ce que je recherche. Sans pour autant faire un lien de cause Ă  effet. TimiditĂ© Une source d’angoisses A l’idĂ©e d’une invitation que je souhaite, en fonction des personnes que je sais ĂȘtre prĂ©sentes, je dĂ©cline l’offre qui m’est faite sous des prĂ©textes futiles. Quand je ne motive pas mon dĂ©part prĂ©cipitĂ© d’un lieu oĂč je suis invitĂ©, et invente des mensonges totalement infantiles. Longtemps, je pense que mes justifications convainquent les autres par leur dimension plus ou moins dramatiques. Pour quitter un lieu dans lequel je me sens mal Ă  l’aise, j’évite le problĂšme en prĂ©textant tout un tas de difficultĂ©s dont je ne suis jamais responsable. Mais toujours victime. Autant de symptĂŽmes criants de ma timiditĂ©. Bien sĂ»r, j’espĂšre que les personnes prĂ©sentes fassent tout leur possible pour me retenir. Ce qui me renvoie de moi une image positive. Mais, parfois, il me faut attendre longtemps. Quand ce n’est pas Ă©ternellement. Mes angoisses liĂ©es Ă  ma timiditĂ© rendent certains moments sociaux douloureux. Ils ne cessent que lorsque que je commence Ă  m’éloigner du lieu. L’épicentre de mes turpitudes. Plus je m’éloigne, plus je me sens en sĂ©curitĂ©. Mais plus ma tristesse grandit. Au fur et Ă  mesure de mon Ă©loignement gĂ©ographique. Las, je me retrouve seul. Plus en sĂ©curitĂ© affective parce qu’accompagnĂ© de moi seul. Seul avec
 ma timiditĂ©. Ce faisant, je me manipule. Je me convainc du bien fondĂ© de ma solitude. Mon image de moi mĂȘme s’altĂšre. J’essaie de me faire violence pour me confronter Ă  des situations que je redoute. Cela ne fonctionne pas. AnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© Des prises de risques dangereuses Je n’excelle que dans l’affrontement. Dans la prise de risques imbĂ©ciles. J’espĂšre que cela donne de moi aux autres une meilleure image. Parfois, j’aime en silence. Dans la douleur et la frustration. La seule idĂ©e de tenter de sĂ©duire ou d’ĂȘtre sĂ©duit me terrorise. Je ne peux m’en ouvrir Ă  personne. Non pas que je ne le veuille pas. Mais j’ai peur d’ĂȘtre jugĂ© Ă  ce propos. Que cela me mette encore plus Ă  l’écart que je ne m’y mets moi mĂȘme. C’est Ă  la faveur d’un moment social que j’essaye de prendre mon problĂšme en main. De faire de ma timiditĂ© un avantage. Aujourd’hui encore, il m’arrive d’ĂȘtre confrontĂ© Ă  des rĂ©sidus » de timiditĂ©. A ceci prĂšs que je me contente de le remarquer. Puis d’agir de sorte Ă  ce que cela n’altĂšre pas mon dĂ©veloppement personnel. Ou les relations sociales ou affectives au point que je souffre d’anxiĂ©tĂ© sociale ou de phobie sociale. C’est grĂące Ă  des techniques simples que je finis par faire de ma peur d’échouer un Ă©lĂ©ment moteur. L’élĂ©ment qui me donne la force de rĂ©ussir et m’affirmer. Et c’est ainsi que je peux, aidĂ© par certaines personnes bienveillantes, identifier les symptĂŽmes de la timiditĂ© et en faire une arme de sĂ©duction massive. AnxiĂ©tĂ© sociale Les symptĂŽmes de la timiditĂ© Ces symptĂŽmes sont autant physiques que psychiques. Les symptĂŽmes physiques DifficultĂ© Ă  respirer normalement calmement Transpiration BĂ©gaiement Douleurs stomacales Douleurs abdominales Mains moites Vomissement DiarrhĂ©es Boule au ventre Tremblements Les symptĂŽmes psychiques Peur Angoisse AnxiĂ©tĂ© AgressivitĂ© Isolement social ou affectif Manque d’affirmation de soi Manque de confiance en soi AnxiĂ©tĂ© sociale Phobie sociale Tristesse MĂ©lancolie DĂ©pression Ces symptĂŽmes sont l’expression commune Ă  la timiditĂ© comme Ă  un certain nombre d’autres sujets liĂ©s Ă  la confiance en soi comme au dĂ©veloppement personnel, l’angoisse ou encore la phobie comme symptĂŽme d’angoisse. AnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© Comment ĂȘtre sĂ»r de soi? In fine, ĂȘtre timide est une nature. De fait, ne pas ĂȘtre sĂ»r de soi n’est un problĂšme que si on le veut bien. Je m’explique. Aujourd’hui, il existe tout un tas de mĂ©thodes diverses et variĂ©es pour vous apprendre Ă  ne plus ĂȘtre timide. Il nous est donc expliquĂ© que la timiditĂ© doit ^ter vaincue. Qu’elle peut ĂȘtre surmontĂ©e. Dont acte. Ce qui vous est proposĂ© pour vaincre la timiditĂ©, c’est de recourir Ă  des expĂ©riences qui vous exposent. Cela signifie qu’il vous est demandĂ© de vous mettre Ă  l’épreuve. Par exemple, aller chez le boucher pour lui demander de vous vendre une boite d’aspirine. Ce type de dĂ©marches, au-delĂ  de son cĂŽtĂ© dĂ©calĂ©, a pour fonction de vous montrer que vous ĂȘtes capable de dĂ©passer cette peur de vous affirmer. Soit. Vous contraindre Ă  vous surpasser, c’est vous faire courir le risque d’un nouveau blocage. En effet, ĂȘtre timide repose sur un mĂ©canisme qui associe l’image de soi, l’affirmation de soi, la confiance en soi. 3 Ă©lĂ©ments susceptibles d’alimenter la peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur et d’en assumer les o-consĂ©quences. Le rĂ©flexe des personnes timides est donc d’éviter ce qui leur pose problĂšme. Avec toutes les consĂ©quences que l’on peut imaginer. Je parle lĂ  d’isolement. Contraindre une personne Ă  faire quelque chose qui ne lui est pas naturel est un manque de respect. De sa part Ă  soi, vis Ă  vis de soi. Comme de la part des autres. C’est comme de contraindre une personne homo Ă  devenir hĂ©tĂ©ro. Ou l’inverse. Point n’est besoin de se normaliser pour ĂȘtre sĂ»r de soi. Il existe une mĂ©thode bien plus respectueuse que de jouer Ă  celle ou celui qu’on est pas. AnxiĂ©tĂ© sociale et timiditĂ© Comment ne plus en faire un problĂšme? Je connais un tas de personnes timide et qui ne cherchent pas Ă  ĂȘtre quelqu’un d’autre. Leur personnalitĂ© est empreinte de cette timiditĂ© qui fait leur charme. Ils ne cherchent pas Ă  changer pour devenir la personne qu’ils ne sont pas. En bref, ils s’acceptent. Mais, pour ĂȘtre honnĂȘte, cela ne s’est pas fait sans mal. Alors, comment font-ils? Quand nos parents sont timides et timorĂ©s, il semble vain d’envisager d’ĂȘtre une personne conquĂ©rante. Une personne qui s’affiche comme l’on dit dans le langage commun. Mais on peut ne pas avoir envie de trainer le poids de sa propre histoire. Il s’agit donc de se dĂ©faire de ses liens. Ceux-lĂ  mĂȘmes qui vous empĂȘchent de vivre votre sensibilitĂ©. Pour y rĂ©ussir, il est nĂ©cessaire de comprendre les mĂ©canismes Ă©motionnels qui justifient votre timiditĂ©. Ensuite, d’identifier comment vous inhiber vos comportements. DĂšs lors, identifier les diffĂ©rents contextes et situations au cours desquels vous n’arrivez pas Ă  vous affirmer. Ensuite, vous identifiez ce que vous vivez comme des Ă©vĂšnements traumatiques. Ceux-lĂ  mĂȘmes qui s’activent de façon rĂ©currente Ă  chaque fois que vous avez peur. Un peu comme s’ils vous disent en pareille circonstance Souviens toi ». Du coup, vous ĂȘtes en retrait. Vous n’osez pas. Pour traiter la timiditĂ©, il faut donc travailler les points qui prĂ©cĂšdent. Ensuite, travailler Ă  inhiber vos rĂ©actions. En quelques semaines, sans aucune contrainte, vous prenez place dans certaines situations que vous Ă©vitez. Ce qui hier est un handicap, devient une force demain. La rĂšgle est simple. Vous accepter pour qui vous ĂȘtes comme vous ĂȘtes. AnxiĂ©tĂ© sociale Comment ne plus ĂȘtre timide? Pour en arriver lĂ , il faut utiliser les bons outils. Du matĂ©riel qui fait ses preuves. Des techniques simples et rapides. A la portĂ©e de tous. Et, enfin, mettre cela en musique. Alors, je vous propose de crĂ©er une belle symphonie. Je vous offre de transformer un frein en ressources. Ainsi de participer activement Ă  votre dĂ©veloppement personnel. Pour faire une solution de ce qui est un problĂšme, je vous invite Ă  travailler sur la pĂ©riphĂ©rie du problĂšme. La timiditĂ©, c’est comme la sĂ©duction. Si on va trop vite, on se plante. Idem si vous allez trop lentement. GrĂące Ă  une mĂ©thode qui a fait ses preuves, vous progressez pas Ă  pas. Naturellement. Vous partez large, et resserrez votre Ă©treinte autour du problĂšme. Vous devenez un problĂšme pour le problĂšme. Lequel, du coup, perd de sa superbe, puis s’efface. Pour dĂ©couvrir comment redevenir le ou la chef d’orchestre de votre vie, je vous invite Ă  cliquer sur l’image ci-dessous. Vous allez comprendre en agissant sur vos troubles anxieux aujourd’hui, comment vous devenez une timide heureux et Ă©panouie demain. Merci de votre confiance et prenez bien soin de vous. N’oubliez pas. S’accepter pour qui l’on est, comme on est. sociale alors que ce peut ĂȘtre une arme e sĂ©duction massive. Article rĂ©digĂ© par FrĂ©dĂ©ric Arminot, coach comportemental SpĂ©cialisĂ© dans le traitement des problĂšmes dangoisse, d’anxiĂ©tĂ©, de dĂ©pression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualitĂ© de comportementaliste. Ancien grand anxieux, et victime d’angoisses aux multiples consĂ©quences des annĂ©es durant, il a créé un programme de thĂ©rapie comportementale en ligne Le Programme ARtUS Cette mĂ©thode thĂ©rapeutique rĂ©sout 16 cas sur 17, soit + 95 % de rĂ©sultats. FrĂ©dĂ©ric Arminot Dansun cas comme dans l’autre, quand un homme prend ses distances, il ne faut surtout pas lui courir aprĂšs en le harcelant de textos pour comprendre le pourquoi du comment de son comportement. Au contraire, laissez-le dans son coin, ne lui reprochez rien et occupez-vous de vous. Faites des choses qui vous font du bien et arrĂȘtez de penser
EDIT petite remarque avant que vous ne lisiez cet article, je ne vise personne en particulier. Une grosse partie de mes remarques concernent un peu tout le monde 😉 Il y a encore quelques mois, j’avais deux profils diffĂ©rents sur Facebook un profil professionnel sur lequel vous pouvez encore me retrouver, et un profil personnel avec mes amis, ma famille et des connaissances. Et puis un jour, j’en ai eu marre de facebook j’ai dĂ©sactivĂ© de maniĂšre dĂ©finitive mon profil personnel. Et croyez-moi, cela fait un bien fou. Pourquoi ? Tout simplement car je juge de plus en plus que Facebook devient un rĂ©seau social malsain chez une grosse partie de mes contacts. D’ailleurs, mĂȘme si je parle ici uniquement de FB, la quasi-totalitĂ© des remarques seraient potentiellement valables pour tous les autres rĂ©seaux sociaux. Ce besoin de s’afficher Commençons par les raisons Ă©videntes mais pas forcĂ©ment celles qui m’ont rĂ©ellement poussĂ©es Ă  partir. La premiĂšre chose que tout le monde constate facilement je l’ai d’ailleurs lu des dizaines de fois dans des articles qui parlent de quitter Facebook », c’est ce besoin que certains individus ont Ă  obtenir une reconnaissance sociale constante cette fameuse course aux j’aime » ! L’addiction Ă  Facebook Certaines personnes semblent chercher Ă  tout prix Ă  avoir cette sacro-sainte reconnaissance personnelle, comme si leur vie et chacune de leurs actions Ă©taient systĂ©matiquement dignes d’intĂ©rĂȘt et qu’il fallait que les autres s’y intĂ©ressent. PĂȘle-mĂȘle, vous retrouverez parmi eux des personnes qui Ă©crivent tout ce qu’ils font et dont tout le monde se fout, et ceux qui tournent autour du pot pour capter l’attention des autres, par exemple avec ce type de statut En pleine rĂ©flexion sur ma vie. Que faire ? Bref, rien de tel qu’un bon coup de pelle pour se dĂ©barrasser de ce type d’individus je rigole, hein
. Voyeurisme et frustration Je te vois Un des autres Ă©lĂ©ments qui font de Facebook un rĂ©seau social malsain, c’est ce besoin de voir ce que font les autres. J’avoue en avoir Ă©tĂ© victime, et cela peut parfois devenir addictif pour certains mĂȘme si au final rien n’est intĂ©ressant, vous allez regarder ce que font les autres. Cela devient ensuite une habitude, et vous ĂȘtes mĂȘme parfois frustrĂ© quand il ne se passe rien d’ailleurs, dans ces cas de figure, il ne se passe rien non plus chez vous
. Vous avez d’ailleurs sans doute eu ce rĂ©flexe dĂ©bile de recharger la page avec F5 ou en cliquant sur le magnifique logo de Facebook, juste pour voir ce qui s’est passĂ© depuis une minute ou si vous avez de nouveaux like si vous faites partie de ceux qui veulent flatter leur ego. D’ailleurs, vous ĂȘtes aussi parfois vu sans le vouloir, avec des contacts qui vous identifient dans leurs statuts et photos. DĂ©pression en vue Pire encore, ce rĂ©seau peut devenir une rĂ©elle source de frustration et de mal-ĂȘtre. Pourquoi ? Tout simplement car parfois, votre vie n’est pas satisfaisante, et voir ce que font vos contacts peut ĂȘtre une rĂ©elle source de dĂ©pression. Cela commence par exemple par les photos de vacances de vos proches alors que cela ne se passe pas bien Ă  votre travail, et que vous, vous n’ĂȘtes pas en congĂ©s. Mais cela peut devenir beaucoup plus gĂȘnant, comme par exemple quand on n’arrive pas Ă  avoir d’enfant et qu’on voit le bĂ©bĂ© trop chou de tel ou tel contact Ă  longueur de journĂ©e, ou qu’on se prend des Ă©chographies dans la figure sans y avoir Ă©tĂ© prĂ©parĂ©. Ou alors, vous allez vous plaindre d’un Ă©lĂ©ment futile je suis le premier Ă  le faire, alors que certains de vos contacts ont peut-ĂȘtre perdu un proche, sont gravement malades ou viennent d’ĂȘtre renvoyĂ©. Vous ne saurez jamais ce qui se passe dans la vie des autres, donc apprenez Ă  ĂȘtre prudent dans vos publications. Un tĂ©lĂ©phone vissĂ© Ă  la main Ces rĂ©seaux sociaux sont partout, y compris maintenant dans nos tĂ©lĂ©phones et tablettes. En soi, rien de gĂȘnant cela l’est beaucoup plus quand cela vous coupe systĂ©matiquement de votre entourage. Qui n’a jamais Ă©tĂ© en soirĂ©e avec des amis en train de discuter de tout et de rien, puis certaines personnes sortent leur tĂ©lĂ©phone et s’excluent du groupe. Je peux comprendre que lorsque l’on s’ennuie on cherche Ă  faire autre chose. Mais j’estime qu’il y a un minimum de respect Ă  avoir avec les personnes avec qui l’ont est. Des tĂ©lĂ©phones addictifs J’avoue l’avoir fait certaines fois, avec mes amis ou avec ma famille. J’avoue aussi le faire encore de temps Ă  autre avec d’autres rĂ©seaux sociaux ou applications. Mais promis, j’essaie de me soigner. On le voit d’ailleurs trĂšs vite chez ses proches ceux qui ont leur tĂ©lĂ©phone dans leur main ou posĂ© sur la table, et ceux qui ont la dĂ©cence de le ranger ailleurs. Chez certains proches, je sais d’ailleurs que ce sera systĂ©matique il ne se passera jamais une soirĂ©e ou une journĂ©e pendant laquelle ils ne passeront pas au minimum 10-15 minutes sur leur tĂ©lĂ©phone, alors que vous ĂȘtes Ă  un mĂštre d’eux. Chronophage et non pertinent Ce dont on se rend compte Ă©galement lorsque l’on quitte Facebook ou tout autre rĂ©seau sur lequel on est trop souvent actif, c’est que l’on gagne beaucoup de temps libre, et on se concentre sur d’autres activitĂ©s plus saines passez du temps avec sa famille, ses amis, lire, sortir, se reposer, regarder des films
 Vous n’imaginez pas le temps que vous passez sur Facebook avant de l’avoir mesurer. Cela rejoint d’ailleurs mon exemple sur ce fameux rafraichissement de page pour voir ce qui se passe de neuf. Essayez un jour les applications du type RescueTime , et vous verrez l’impact que ces rĂ©seaux peuvent avoir sur votre emploi du temps. Juge et bourreaux Une autre chose que je ne pouvais supporter, c’est que le fait que chaque statut ou action est jugĂ©e par tout le monde. Tout le monde a toujours un avis sur tout vos contacts vont ainsi commenter et critiquer ouvertement ou derriĂšre votre dos tout ce que vous faites ou Ă©crivez. Tous juges sur Facebook Je suis sĂ»r que vous avez dĂ©jĂ  eu au moins une fois des discussions plus ou moins houleuses avec certains contacts, et sur des sujets aussi variĂ©s que parfois puĂ©rile politique, religion, bien-ĂȘtre des animaux, Ă©cologie, humour
 Et la grosse problĂ©matique sur Internet, c’est que vous n’avez pas l’intonation qui va avec le texte. Pourtant, cela peut en dire long sur votre pensĂ©e rĂ©elle, notamment quand vous faites de l’humour. Pire encore, une simple phrase mal tournĂ©e peut ĂȘtre trĂšs mal interprĂ©tĂ©e par vos proches. Contrairement Ă  une discussion de vive voix, vous ne pourrez jamais Ă©changer de maniĂšre aussi sereine que dans la vie rĂ©elle. Je ne te respecte plus Et pour terminer le non-respect de vos contacts, de votre famille et de vos amis. Quand vous en arrivez Ă  un stade oĂč vous apprenez par Facebook des nouvelles importantes de votre entourage le plus proche, il y a de quoi l’avoir mauvaise, comme par exemple une annonce de mariage ou encore d’un bĂ©bĂ© qui va arriver dans 9 mois oui oui, avec la photo du test de grossesse qui vient de servir
. Si vous considĂ©rez tous vos contacts sur FB au mĂȘme niveau, et que passez les voir ou leur donner au minimum un coup de fil pour ce type d’évĂšnements est trop complexe, c’est que vous n’ĂȘtre peut-ĂȘtre pas si proches, ou alors que vous ne les respectez pas forcĂ©ment. Mais tu es encore sur Facebook ? Bref, plus le temps passait, plus j’avais l’impression de m’éloigner de plus en plus de mes contacts Facebook, alors que paradoxalement c’est ainsi que j’en savais le plus sur eux
 Alors oui, j’y suis encore, mais uniquement Ă  titre professionnel vous verrez parfois certains statuts plus lĂ©ger de ma part, mais plus jamais je ne partagerai d’élĂ©ments trop personnels. J’ai gardĂ© quelques rares contacts de ma famille et de mes amis sur cet autre profil, mais cela s’arrĂȘte-lĂ . A vrai dire, il y a une seule chose qui me manque et qui explique la prĂ©sence de quelques proches les conversations de groupes, car elles sont super pratiques pour organiser une soirĂ©e, un anniversaire ou des vacances. Je ne peux donc que vous conseiller une chose dĂ©sactivez votre compte Facebook ! Cela fait bizarre au dĂ©but, mais en rĂ©alitĂ© cela fait un bien fou ! Pour terminer, voici une petite vidĂ©o pour montrer l’impact que les rĂ©seaux sociaux peuvent avoir sur notre vie.
Dautre part, lorsqu’on rĂȘve d’ĂȘtre attirĂ© par un homme, cela rĂ©vĂšle le fait d’ĂȘtre attirĂ© par son cĂŽtĂ© masculin. C’est un rĂȘve qui marque une introspection, un intĂ©rĂȘt pour chaque aspects de nous-mĂȘme qui forment notre for intĂ©rieur. En
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Être gentil est souvent plus facile Ă  dire qu'Ă  faire. La journĂ©e peut souvent ĂȘtre difficile, devoir en plus faire l'effort de sourire aux inconnus et dire s'il vous plait » et merci » est parfois contraignant. Pourquoi donc le faire ? Simplement parce qu'en Ă©tant gentil, vous ferez plaisir aux autres et construirez de bonnes relations. Si cela n'est pas une raison suffisante, sachez que cela vous aidera Ă©galement Ă  obtenir ce que vous voulez. Les gens seront plus enclins Ă  vous aider si vous ĂȘtes gentil avec eux. Pour leur bien et pour le vĂŽtre, soyez gentil ! 1 Souriez. En souriant aux gens, vous leur montrerez que vous ĂȘtes plaisant. Regardez la personne dans les yeux et faites-lui un petit sourire ou mĂȘme un grand sourire, ce sera Ă  vous de voir. Vous donnerez ainsi le ton pour l'Ă©change et encouragerez votre interlocuteur Ă  vous sourire Ă©galement. S'il ne vous sourit pas, il se peut qu'il passe simplement une mauvaise journĂ©e. Cela n'est pas bien grave, ĂȘtre gentil ne suffit pas Ă  garantir une rĂ©ponse positive, mĂȘme si cela aide gĂ©nĂ©ralement grandement. Souriez lorsque vous croisez les gens dans la rue, lorsque vous payez quelque chose Ă  une caissiĂšre, lorsque vous entrez Ă  l'Ă©cole le matin ou dĂšs que vous croisez le regard de quelqu'un. Souriez mĂȘme lorsque vous n'avez pas le moral. Lorsque vous ĂȘtes de mauvaise humeur, vous pourrez tout de mĂȘme ĂȘtre gentille. Pourquoi transmettre votre Ă©nergie nĂ©gative aux autres ? Si vous ĂȘtes de mauvaise humeur et ne voulez pas Ă©couter les autres, essayez d'Ă©couter de la musique, de dessiner ou de faire quelque chose que vous aimez. Cela pourrait suffire Ă  vous empĂȘcher d'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able ou malpoli avec les autres mĂȘme si cela n'est pas votre intention. 2 Reconnaissez la prĂ©sence des autres. Lorsque vous croisez quelqu'un, mĂȘme un inconnu, reconnaissez sa prĂ©sence par un simple bonjour ! » MĂȘme un petit signe de la main ou un hochement de tĂȘte dans sa direction suffira Ă  montrer Ă  la personne que vous reconnaissez sa prĂ©sence. Montrer aux gens que vous les voyez est une gentille attention, et cela les amĂšnera Ă  se sentir spĂ©ciaux. Si vous marchez dans une rue bondĂ©e, il vous sera bien difficile de reconnaitre la prĂ©sence de tous les gens que vous croisez. Essayez au moins d'ĂȘtre gentil avec les gens assis Ă  cĂŽtĂ© de vous dans le bus ou dans l'avion ou avec ceux qui vous bousculent par inadvertance. Dites bonjour Ă  vos camarades de classe et Ă  vos professeurs ou Ă  vos collĂšgues, le matin, lorsque vous arrivez Ă  l'Ă©cole ou au travail. Vous aurez bientĂŽt la rĂ©putation d'une personne gentille. 3 Sachez Ă©couter les autres. Lorsque quelqu'un vous parle, Ă©coutez-le. Ignorer les opinions et les histoires des autres n'est pas gentil. Laissez aux gens le temps de parler, comme vous aimez qu'ils vous laissent le temps de vous exprimer lorsque la situation est inversĂ©e. Si quelqu'un se montre malpoli ou insistant avec vous, ne commencez pas Ă  vous ronger les ongles ou Ă  prendre une expression grossiĂšre. Attendez calmement que la personne finisse de parler et changez de sujet, une fois qu'elle a terminĂ© ce qu'elle avait Ă  dire. Être gentil ne veut pas dire se laisser marcher sur les pieds. Si vous parlez Ă  un inconnu qui commence Ă  vous mettre mal Ă  l'aise, vous avez tout Ă  fait le droit de vous excuser et de vous en aller. 4 Soyez courtoise, poli et serviable. Ayez toujours de bonnes maniĂšres, dites merci et s'il vous plait. Soyez patient, attentionnĂ©, observateur et prĂ©venant. Traitez les gens avec respect, mĂȘme ceux que vous ne souhaitez pas connaitre davantage. Proposez votre aide aux gens qui en ont besoin. Lorsque quelqu'un est sur votre chemin, dites pardon », plutĂŽt que dĂ©gage ! » Veillez Ă  ĂȘtre respectueux avec les autres. Nous sommes tous Ă©gaux. En Ă©tant respectueux avec les autres, ils agiront de la mĂȘme façon envers vous. Si vous ĂȘtes dans les transports en commun et qu'une personne ĂągĂ©e, handicapĂ©e ou une femme enceinte monte, proposez-lui votre siĂšge. Ce sera gentil de votre part. Si vous remarquez une personne qui a besoin d'aide, peut-ĂȘtre pour ramasser quelque chose qu'elle a fait tomber ou pour attraper quelque chose sur une Ă©tagĂšre, proposez-lui votre aide. 5 Faites preuve d'empathie. L'empathie est la capacitĂ© Ă  se mettre Ă  la place des autres. Ce n'est pas une qualitĂ© avec laquelle on nait, mais plutĂŽt que l'on dĂ©veloppe. Essayez de vous dĂ©tacher de votre propre personne et demandez-vous qu'est-ce que je ressens dans cette situation ? » L'objectif n'est pas ici de trouver la bonne rĂ©ponse. Il s'agit plutĂŽt de faire passer les autres avant soi-mĂȘme, afin de devenir une personne plus gentille et plus attentionnĂ©e [1] . Ne faites pas de discrimination. Soyez gentil avec tout le monde. Si vous ĂȘtes gentil avec vos amis et vos professeurs, mais pas avec les gens qui ne sont pas populaires ou cools », vous ne serez pas rĂ©ellement gentil. Ne jugez pas les autres en fonction de leurs origines, de leur Ăąge, de leur genre, de leur orientation sexuelle, de leurs capacitĂ©s ou de leur religion. 6 Ne dites jamais de mal des autres derriĂšre leur dos. Bien sĂ»r, vous devrez Ă©viter de critiquer les gens, de façon gĂ©nĂ©rale, mais il est parfois tout Ă  fait acceptable de dire aux autres qu'ils ont fait quelque chose de mal. NĂ©anmoins, il ne sera jamais bon de faire ces critiques hors de la prĂ©sence de cette personne. En disant du mal des gens derriĂšre leur dos, vous leur ferez comprendre que vous ne les respectez pas et traitez les gens diffĂ©remment lorsqu'ils ne sont pas lĂ . Les gens gentils savent qu'il n'est jamais apprĂ©ciĂ© de parler dans le dos des gens et vous donneriez l'impression de raconter des ragots. Si vous avez un problĂšme avec quelqu'un ou vous posez des questions Ă  son sujet, dites-le-lui ouvertement. Abordez le sujet avec l'intĂ©ressĂ©, afin de pouvoir rĂ©gler le problĂšme de façon plus facile et plus gentille. 7 Soyez attentionnĂ© avec tout le monde. Et pas seulement avec vos proches ! Tenir la porte Ă  un ami est certes trĂšs gentil, mais pour ĂȘtre une personne vĂ©ritablement gentille, vous devrez ĂȘtre prĂ©venant et aimable envers tout le monde. Tendez la main Ă  une personne qui en a besoin sur le trottoir ou aidez un camarade ou un collĂšgue Ă  ramasser les feuilles qu'il a fait tomber dans le couloir. Vous pourrez Ă©galement organiser l'anniversaire de quelqu'un ou apporter des donuts le vendredi, juste comme ça. Soyez gentil juste pour ĂȘtre gentil. Demandez aux gens comment ils vont. Prenez le temps de demander aux autres ce qu'il se passe dans leurs vies, sans ĂȘtre envahissant ou indiscret. Si quelqu'un ne semble pas avoir envie de vous en dire plus, n'insistez pas et ne le poussez pas Ă  vous en dire plus que ce qu'il vous dit. PublicitĂ© 1 Soyez positifve. Lorsque vos amis se tournent vers vous pour vous demander des conseils ou juste pour discuter, ne soyez pas nĂ©gatif ni critique. Cherchez le positif dans chaque situation. Remontez le moral de ceux qui en ont besoin. Il y a deux façons de voir chaque situation une façon positive et une façon nĂ©gative. Les gens gentils aident les autres Ă  voir le bon cĂŽtĂ© des choses. FĂ©licitez vos amis pour leurs rĂ©ussites. Si votre ami a une bonne note Ă  un examen ou remporte un prix, fĂ©licitez-le. Faites des compliments Ă  vos amis. Si une amie vous dit qu'elle n'aime pas ses cheveux, dites-lui qu'ils sont trĂšs bien. Ou faites-lui un compliment sur son joli sourire. MĂȘme si vous ne pensez pas tout Ă  fait ce que vous dites, vous serez tout de mĂȘme gentil. Si c'est un ami proche, vous pourrez dire quelque chose comme tes cheveux ne sont pas si mal, mais pourquoi ne pas les relever comme ceci » et lui faire une suggestion pour amĂ©liorer son look. Les gens ont parfois simplement besoin de laisser sortir leur nĂ©gativitĂ©. Vous pourrez vous montrer comprĂ©hensif et positif pendant qu'ils parlent. Il ne sera pas nĂ©cessaire d'ĂȘtre particuliĂšrement joyeux, assurez-vous que vos commentaires ne soient pas en complet dĂ©calage avec ce que vous dit votre ami. 2 Soyez humble. Avez-vous tendance Ă  regarder de haut les gens qui sont diffĂ©rents ou bizarres » ? Penser que vous ĂȘtes meilleur que les autres n'a rien de trĂšs gentil. Nous sommes tous Ă©gaux, nous avons tous nos problĂšmes et ĂȘtre gentils les uns envers les autres rend la vie plus facile Ă  tout le monde. En racontant partout combien vous ĂȘtes fantastique, vous donneriez l'impression de rabaisser les autres. Ne vous vantez pas et n'ayez pas un Ă©go dĂ©mesurĂ©. Si vous rencontrez une grande rĂ©ussite, vous avez tout Ă  fait le droit d'en ĂȘtre fier. Assurez-vous simplement de reconnaitre les gens qui vous ont aidĂ© Ă  en arriver lĂ . Ne jugez pas les gens avant de vraiment les connaitre. Ne vous faites pas une idĂ©e des gens en vous basant uniquement sur leur apparence ou leur façon de parler. Comprenez que les premiĂšres impressions ne rĂ©vĂšlent pas toujours la vĂ©ritĂ©. Comme dit le proverbe, l'habit ne fait pas le moine. 3 Soyez sincĂšre. Si vous vous montrez gentil pour avoir droit Ă  un traitement de faveur, vous ne seriez pas rĂ©ellement une personne gentille. Votre comportement serait trompeur, superficiel et cruel. Soyez gentil parce que vous voulez plus tard regarder derriĂšre vous et voir combien vous avez vĂ©cu avec gentillesse. Soyez gentil parce que vous le voulez vraiment. Ne soyez pas hypocrite. Ne vous vantez pas. Ne parlez pas des autres et ne soyez pas un traitre. En Ă©tant gentil avec les gens face Ă  eux, vous gagnerez leur confiance. En parlant derriĂšre leurs dos, vous dĂ©truiriez cette confiance. Ne prenez jamais part aux ragots sur les autres, que vous les aimiez ou non. Cela ne vous apportera rien de bon et vous apparaitriez comme une personne superficielle et pas trĂšs gentille. 4Remplissez vos journĂ©es de petits actes de gentillesse. Ces petites intentions de tous les jours, comme tenir la porte Ă  un professeur que vous ne connaissez pas ou sourire Ă  quelqu'un qui n'est pas toujours aimable avec vous, peuvent ne pas sembler avoir beaucoup d'importance, mais sur le long terme, elles feront de vous une personne gentille. 5Apprenez Ă  partager. Vous pourriez par exemple partager votre dessert pour en donner la moitiĂ© Ă  votre sƓur. Ou encore, faire profiter les autres de votre temps, de votre espace ou de votre savoir. Partager peut impliquer des actes de charitĂ© ou de petits gestes de tous les jours. La gĂ©nĂ©rositĂ© fait partie de la gentillesse. Essayez de ne pas prendre plus que ce que vous donnez et quand vous le pouvez, donnez plus que ce que vous prenez. PublicitĂ© 1 Proposez votre aide. Si vous remarquez que votre pĂšre ou votre mĂšre a du mal Ă  faire toutes les corvĂ©es de la journĂ©e, proposez-lui votre aide. Faites passer les autres avant vous, lorsque vous en avez l'Ă©nergie et le temps. Sur le long terme, vos actes de gentillesse seront rĂ©compensĂ©s. N'attendez pas que l'on vous demande d'aider pour apporter votre aide. Apprenez Ă  remarquer lorsque les autres ont besoin d'un coup de main. Trouvez des façons crĂ©atives d'aider les autres. Aidez vos frĂšres et sƓurs avec leurs devoirs, Ă©coutez les idĂ©es de votre Ă©pouse pour son nouveau projet professionnel, prĂ©parez le petit dĂ©jeuner pour toute la famille, promenez le chien, accompagnez votre petite sƓur Ă  l'Ă©cole. Ce ne seront que de petites tĂąches, mais vos efforts seront grandement apprĂ©ciĂ©s. 2 Soyez digne de confiance. Pour ĂȘtre gentil avec les membres de votre famille et les gens que vous aimez, vous devrez ĂȘtre lĂ  pour eux lorsqu'ils en ont besoin. RĂ©pondez aux emails, dĂ©crochez le tĂ©lĂ©phone lorsque l'on vous appelle, n'annulez pas les rendez-vous Ă  la derniĂšre minute et prenez le temps de discuter avec les gens qui ont besoin de parler. Si quelqu'un vous laisse un message, rappelez-le rapidement. Il n'est pas gentil de faire attendre les gens pendant des jours et des jours. Si vous dites que vous allez venir quelque part, allez-y. Si vous dites que vous allez faire quelque chose, faites-le. En vous dĂ©filant constamment, vous mettriez Ă  mal la confiance que placent les gens en vous, et ce ne serait pas une façon d'agir trĂšs gentille. Soyez impliquĂ© dans vos relations avec les autres. 3Soyez disponible pour les gens qui traversent un moment difficile. Lors d'une crise ou d'une pĂ©riode difficile, la derniĂšre chose dont les gens ont envie sera de cuisiner et de manger seul. Apportez un bon gratin et des cookies Ă  votre ami et passez la soirĂ©e avec lui. Si un ami proche traverse une rupture amoureuse douloureuse, proposez-lui votre aide pour ranger les affaires de son ex-partenaire, afin qu'il n'ait pas Ă  le faire seul. Les meilleurs amis et les personnes les plus gentilles sont ceux qui ne s'Ă©loignent pas lors des pĂ©riodes difficiles, mais qui sont lĂ  pour nous aider Ă  affronter les Ă©preuves. 4 Montrez l'exemple. Être gentil n'est pas toujours facile. Vous rencontrerez des situations dans lesquelles vous aurez bien du mal Ă  ĂȘtre une personne gentille. MĂȘme les personnes que vous aimez pourraient parfois vous laisser tomber, porter des jugements, ĂȘtre Ă©goĂŻstes, Ă©gocentriques ou simplement mĂ©chantes. Vous devrez Ă©viter de vous abaisser Ă  leur niveau. Ne passez pas de la gentillesse Ă  la cruautĂ© juste parce que votre patience a Ă©tĂ© mise Ă  l'Ă©preuve. Lorsque vous sentez la colĂšre monter en vous et pensez que vous allez agir avec mĂ©chancetĂ©, adoptez un comportement diffĂ©rent. Allez courir, frappez dans un coussin ou calmez-vous avec un jeu vidĂ©o. Vous avez le contrĂŽle sur vos actions et votre comportement. Souvenez-vous de toujours traiter les autres comme vous aimeriez ĂȘtre traitĂ©. Si vous respectez entiĂšrement la dignitĂ© des autres, automatiquement, davantage de gens verront en vous une personne gentille, attentionnĂ©e, digne de confiance et prĂ©venante. Vous devrez chercher Ă  ĂȘtre respectĂ© pour vos idĂ©es, vos points de vue et vos passions, mĂȘme si vos interlocuteurs ne les partagent pas. Vous devrez agir de la mĂȘme façon envers les autres. 5 Accordez votre pardon facilement. Ne soyez pas rancunier et ne continuez pas Ă  punir ou Ă  ĂȘtre en colĂšre contre quelqu'un qui vous a dĂ©jĂ  demandĂ© pardon. Pardonner, c'est se dĂ©faire du passĂ©, au lieu de laisser la rage et la jalousie dominer vos pensĂ©es. Cela ne veut pas dire que vous devriez immĂ©diatement faire confiance Ă  cette personne Ă  nouveau. Cela veut simplement dire que vous devrez arrĂȘter de ressasser votre rage une fois que la personne vous a demandĂ© pardon. Le pardon est un aspect important de la gentillesse. Les gens vous respecteront pour votre gentillesse et votre capacitĂ© Ă  pardonner. MĂȘme si la personne ne vous demande pas pardon, essayez d'aller de l'avant. Quelqu'un qui vous a fait du mal et ne vous prĂ©sente pas ses excuses ne vaut pas la peine que vous perdiez votre temps Ă  ressasser votre rancune [2] . PublicitĂ© Conseils N'oubliez pas d'ĂȘtre gentil envers les animaux. Si vous voulez ĂȘtre une personne rĂ©ellement gentille, vous devrez Ă©galement l'ĂȘtre envers les animaux. Aimez et respectez les animaux de compagnie, ainsi que les animaux qui vivent dans la nature. Les animaux mĂ©ritent notre respect. Ne vous moquez pas des erreurs des autres et ne faites pas remarquer leurs fautes trop durement. Plaisanter n'est bien sĂ»r pas mĂ©chant, mais faites preuve de bon sens, rĂ©flĂ©chissez Ă  ce que vous dites et sachez que ce n'est pas parce que vous ne prendriez pas mal une certaine remarque, que celle-ci ne pourrait pas blesser quelqu'un d'autre. Ne jugez pas les autres en fonction de vos propres standards. Ce qui est bon pour vous pourrait ĂȘtre mauvais ou blessant pour quelqu'un d'autre. Ne dites pas bonjour Ă  tout bout de champ, car cela pourrait devenir bizarre, en particulier si vous ne connaissez pas la personne. Si vous croisez souvent la mĂȘme personne dans les couloirs ou dans la rue, vous pourriez trĂšs bien vous contenter de lui sourire ou de lui faire un petit signe de la main. Si des amis se montrent mĂ©chants envers vous, n'agissez pas de la mĂȘme façon envers eux. Asseyez-vous avec la personne et demandez-lui ce qui ne va pas. Être comprĂ©hensif avec les autres est Ă©galement trĂšs important. Si une personne que vous connaissez est assise seule, allez vous assoir avec elle et apprenez Ă  mieux la connaitre. Traitez les gens comme vous aimeriez ĂȘtre traitĂ©. Faites des compliments aux autres. Un petit compliment pourrait redonner le sourire Ă  une personne qui vit une pĂ©riode difficile. Au bureau ou au sein d'une Ă©quipe sportive, un petit encouragement ou une tape sur l'Ă©paule fait toujours plaisir. Essayez de tenir davantage compte des sentiments des autres. PublicitĂ© Avertissements Ne laissez pas les autres profiter de votre gentillesse. Cela pourrait vous faire du mal et entrainer des regrets chez les autres. Sachez vous dĂ©fendre poliment lorsque c'est nĂ©cessaire, afin de vous Ă©viter des problĂšmes, Ă  vous et aux autres. Ne vous laissez pas marcher sur les pieds. Faire des compromis est une trĂšs bonne chose, mais vous devrez exiger d'ĂȘtre traitĂ© avec justice. N'ayez pas peur de dĂ©fendre vos intĂ©rĂȘts et ceux des autres. Si vous faites votre possible pour respecter le temps d'une personne, mais qu'elle n'en fait pas de mĂȘme pour votre temps, prenez vos distances aussi respectueusement que possible et Ă©vitez cette personne. On dit souvent que l'apparence ne compte pas vraiment et que c'est qui est Ă  l'intĂ©rieur d'une personne qui compte. Cela est en partie vrai, mais vous n'avez qu'une seule chance de rencontrer quelqu'un pour la premiĂšre fois. Si vous ĂȘtes sauvage la premiĂšre fois, vous pourriez ensuite avoir la rĂ©putation d'une personne sauvage. Si vous ĂȘtes gentil la premiĂšre fois, les gens sauront que vous ĂȘtes une personne gentille et sincĂšre. MĂ©fiez-vous lorsque vous souriez ou dites bonjour Ă  quelqu'un avec qui vous avez eu des problĂšmes dans le passĂ©. La personne pourrait penser que vous ĂȘtes sournoise et vous rĂ©pondre avec un commentaire dĂ©placĂ©. PublicitĂ© RĂ©fĂ©rences À propos de ce wikiHow RĂ©sumĂ© de l'articleXPour ĂȘtre quelqu'un de gentil, commencez par faire attention Ă  toutes les personnes qui vous entourent, comme vos collĂšgues de travail, vos camarades de classe, ou les gens que vous croisez dans la rue. Agissez au quotidien pour le bien des autres en tenant par exemple la porte ouverte Ă  quelqu'un qui arrive ou en laissant votre siĂšge dans le mĂ©tro Ă  une personne ĂągĂ©e. Évitez d'avoir des prĂ©jugĂ©s lorsque vous rencontrez quelqu'un pour la premiĂšre fois et partagez quand vous le pouvez. Si vous voulez avoir plus d'idĂ©es sur la maniĂšre d'ĂȘtre gentil avec votre entourage, poursuivez la lecture de cet article ! Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 135 396 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? Ily a ici une notion d’exigence envers soi-mĂȘme et de stress, loin d'ĂȘtre agrĂ©able". Notre psychologue dĂ©taille plusieurs critĂšres d'une personne trop gentille : Vous ĂȘtes toujours

Chez les hommes, on trouve plusieurs comportements amoureux, mais si on devait les classer en 2 catĂ©gories, on opterait d’un cĂŽtĂ© pour les hommes virils, sĂ»rs d’eux et qui assument leurs envies, et de l’autre pour
les Canards ! Si vous n’avez jamais entendu parler de ce syndrome du canard, on vous explique en quoi consiste cette attitude qui ne vous aidera pas avec les filles. Jouer les gentils garçons ne paye pas, alors apprenez comment vous dĂ©barrasser de cette attitude niaise, comment reprendre en main vos techniques de sĂ©duction et votre vie amoureuse ! Syndrome du canard mais qu’est-ce c’est ?Pourquoi faut-il se dĂ©barrasser de cette image de gentil garçon ?Techniques et astuces pour en finir avec le syndrome du canard !Commencez votre relation en douceurLimitez les attentions doucesVoyez d’autres filles !Prenez la mesure de son implicationCanard VS Connard trouvez le juste milieu Syndrome du canard mais qu’est-ce c’est ? Vous avez certainement un pote qui, lorsqu’il est cĂ©libataire, fait le malin et aime parler de filles, de sexe, et jouer Ă  l’homme viril. Mais dĂšs qu’il se met en couple, il change du tout au tout ! Il rĂ©pond au tĂ©lĂ©phone de façon mielleuse avec des Oui mon cƓur
, il ne passe plus de soirĂ©e entre copains sous prĂ©texte que sa dulcinĂ©e l’attend Ă  la maison, il prĂ©fĂšre les aprĂšs-midi shopping aux soirĂ©es jeux vidĂ©o
 Bref, il se transforme en canard ! Ce comportement, que l’on dĂ©finit comme le syndrome du canard, est valable autant pour un homme dĂ©jĂ  en couple que pour un mec qui drague. Dans ce dernier cas, notre cĂ©libataire va complimenter sa cible Ă  tout va, il va accĂ©der Ă  toutes ses requĂȘtes et tous ses caprices, il se prĂȘtera Ă  toutes les activitĂ©s qu’elle veut sans affirmer ses envies et s’excusera dĂšs qu’il a un geste ou une parole jugĂ©e dĂ©placĂ©e par sa potentielle copine. Pour simplifier la chose au maximum, il aura ce rĂŽle de gentil garçon, de brave type, voire de toutou dans les cas extrĂȘmes. Entre hommes, on parlera de canard ou de sans-burnes quand les femmes prĂ©fĂ©reront appeler ce genre d’hommes des bonnes pĂątes. Le problĂšme ? C’est une trĂšs mauvaise technique pour sĂ©duire une femme et pour la garder ! Pourquoi faut-il se dĂ©barrasser de cette image de gentil garçon ? Souffrir du syndrome du canard quand on drague peut avoir des consĂ©quences terribles. Une femme mal intentionnĂ©e pourra vous mener en bateau des mois durant, sans que vous ne preniez la mesure de la supercherie. Le canard va continuer Ă  la couvrir de cadeaux, Ă  l’inviter Ă  tous les restaurants et toutes les sĂ©ances de cinĂ© qu’elle dĂ©sire, et sera ce compagnon parfait. A quel prix ? Celui de votre libertĂ© ! Devenir fou amoureux vous rend aveugle ! Il est bon de garder une part de romantisme, bien sĂ»r, mais changer son comportement de maniĂšre radicale en oubliant l’homme que vous ĂȘtes est mauvais. D’une part, les filles finissent par se lasser de cette attitude, car elles s’ennuient si elles n’ont personne avec qui se confronter. A long terme, votre copine risque d’aller voir ailleurs, et de tomber dans les bras d’un homme qui s’assume. D’autre part, ce comportement vous Ă©loigne de vos potes et de vos proches, car la fille qui vous idolĂątrez reprĂ©sentera toute votre vie et occupera celle-ci en permanence. LĂ  aussi, les consĂ©quences sur le long terme peuvent ĂȘtre dĂ©sastreuses. Enfin, et ce n’est pas nĂ©gligeable, vous pourriez avoir du mal Ă  draguer si vous adoptez cette attitude de canard dĂ©couvrez nos sujets de conservation avec une fille. Trop bon, trop con, dit l’adage, et Ă  jouer les gentils garçons vous risquez de tomber dans la friendzone plus vite que prĂ©vu ! Techniques et astuces pour en finir avec le syndrome du canard ! Pour ne pas souffrir de ce syndrome du canard, il est important de se fixer quelques rĂšgles, qui vous permettront de ne pas foncer tĂȘte baissĂ©e dans une relation de ce type. Pour le bien-ĂȘtre de votre relation et pour votre propre estime, on vous recommande d’appliquer ces conseils anti-syndrome du canard ! Commencez votre relation en douceur Si dĂšs le dĂ©part, vous ĂȘtes Ă  100%, que restera-t-il pour la suite ? D’ailleurs, si vous dĂ©butez votre nouvelle relation sur les chapeaux de roue, vous risqueriez de vivre une passion forte mais Ă©phĂ©mĂšre, car une fois que vous aurez Ă©puisĂ© les techniques qui font de vous ce gentleman et ce prince charmant qu’elle aime tant, vous redeviendrez un homme banal et serviable dont elle profitera. Il est donc judicieux de mĂ©nager un peu vos ardeurs, en accordant Ă  cette fille une place dans votre vie, mais sans que cela ne se fasse au dĂ©triment de votre propre bien-ĂȘtre. Continuez les activitĂ©s juste pour vous, voyez vos amis sans elle, accordez-vous du temps pour construire cette relation petit Ă  petit sur une base solide, sans que cela n’aille que dans un sens le sien !. Limitez les attentions douces A trop vouloir la couvrir de cadeaux et de douces attentions, vous l’habituerez au top et elle pensera que tout lui est dĂ». Sachez que les compliments doivent rester occasionnels, pour que chacun d’entre eux fasse mouche. De la mĂȘme maniĂšre, un cadeau ou une invitation doit marquer les esprits, pour devenir un geste automatique que vous serez obligĂ© de faire par la suite. Sinon, elle vous reprochera de ne pas ĂȘtre aussi attentionnĂ© qu’au dĂ©but
 ! Voyez d’autres filles ! Pour garder votre virilitĂ© et votre confiance ne vous, ne cessez surtout pas de frĂ©quenter d’autres filles ! Il peut s’agir d’amies qui vous aideront Ă  ne pas sacraliser votre nouvelle copine, voir d’autres potentielles cibles que vous draguerez, au cas oĂč cette nouvelle relation ne soit pas aussi durable que vous ne l’imaginez. En cas de pĂ©pin, vous n’aurez pas perdu votre aptitude Ă  sĂ©duire et vous ne vous retrouverez pas la queue entre les jambes, dĂ©moralisĂ©, comme c’est trop souvent le cas chez les hommes souffrant du syndrome du canard aprĂšs une rupture. Prenez la mesure de son implication Et si elle n’était pas si impliquĂ©e dans la relation que vous ne le pensiez ? Et si elle profitait de votre gentillesse et de votre bienveillance en attendant de trouver le vrai homme qu’elle dĂ©sire ? Il est toujours bon de remettre en cause l’attitude de l’autre dans une relation, alors soyez attentif aux dĂ©tails et vĂ©rifiez que vous n’ĂȘtes pas le seul Ă  faire vivre cette histoire ! Canard VS Connard trouvez le juste milieu Terminons avec une comparaison qui a son importance celle entre le syndrome du canard et le syndrome du connard ! Si le premier dĂ©finit un homme trop gentil, bien brave et totalement soumis – ce qui lassera les filles assez vite – le syndrome du connard pourrait ĂȘtre l’inverse absolu. Un mec trop sĂ»r de lui, macho, bad boy mĂ©chant. Beaucoup pensent que c’est ce qui plaĂźt aux femmes
 Pourtant, cette attitude d’homme qui joue sur sa virilitĂ© ne va pas sĂ©duire les filles autant qu’on le pense. Mais que veulent-elles alors ? Et bien un mix parfait entre le gendre idĂ©al et le mec qui assume ses envies, ses besoins, et qui prend des initiatives pouvant aller Ă  contre-courant de ce qu’elle pense. A vous de bien calibrer votre comportement pour rendre les filles accrocs !

Iw1ce. 127 233 186 69 100 302 356 25 366

deception comportement marre d ĂȘtre trop gentille